
Quelques Extraits...
''Le luxe, la luxure, mes besoins de jouir, l'extravagance de mes envies, la fréquence de mes besoins, ma continuelle quête de l'amour absolu, ma dévotion aux hommes, mes visions globales du monde et de ses sociétés ne connaissant au fond d'elles, que la pointe de leurs bites en érection dans mes trous divaguant mes pensées, je voulus, je voulais les étudier. Les étudier pour me connaître. Approcher au plus près d'une substance intérieure. De la substance intérieure s'il y en avait une. Mes deux orifices trop souvent en fonction, la bouche pleine et le cul élargi, l'esprit égaré en des rêves précis trop affairé à les vivre, je ne savais pas de quoi étaient faites les pulsions du moteur à injection de mon feu au cul. Ces pulsions électriques qui rechargeaient les batteries dès qu'elles étaient à plat ou même en plein chargement. Connaître la provenance des électrons au sein du matériau conducteur. En connaître le pourquoi de l'interaction avec la matière. Savoir ce qui animait l'animal à agir. Un période où j'étais un peu sur les pas de Somerset Maugham à découvrir le fil du rasoir que j'étais en train de vivre. Savoir quel côté il me fallait explorer, n'en concevant aucun. J'en avais mare de tout, du luxe et de la luxure et de ses manches à gros calibres en mouvance. Mare de mon Absolu Romantisme au seul homme imaginaire auquel je n'arrêtais de croire pour sans cesse être baisé par Lui, lui sorti d'un jeu de fortune qui me donnerait les bons numéros et qui, enfin, privilégierait toutes mes sensibilités, mon imagination, mes sentiments et sensations de ma vivace nature de salope. Cette quête en son tout m'isolait. Je voulais traduire le vrai sens d'une humanité qui me faisait douter. Et la mienne. Afin de me repérer. Me localiser en ses éléments que je connaissais trop, ou trop peu.''
''Luxury, lechery, getting pleasures of all kinds, the extravagance of my desires, the frequency of my needs, my quest of Absolute Love, my devotion to men, my global vision of the world and its societies whose only its cocks and knobs in my holes I really knew, making my mind too dizzy to think. I wanted to study them. I wanted to know why I had got a kick out of all this. I wanted to know why. Or at least try to get some answer back in order to know me. To try to reach at its finest the inner substance, if any, that was guiding me to act the way that I had been acting so far and still was now, rather on a razor's edge. My two orifices were way too far too full, dilated and filled, to let my mind understand why my ass was endlessly in fire and think about the electric pulses that were making the engine constantly running. These electric pulses that were recharging the batteries as soon as they were flat or even in the middle of it when charging. I needed to find out and explore the conductive material that had been activating the system to end to this edge of the razor. I had to know which side I had to explore, not conceiving any. I decided to follow Somerset Maugham' steps. I had enough of everything. Luxury and lechery and its big screwing tools. Enough of my Absolute Romanticism devoted to my one and only imaginary man whose I permanently believed in to be non-stop fucked by Him. He, coming out of a fortune game whose jackpot's number I would at last get, that would focus on all my sensitivities, on all of my imagination, on my vivacious nature of a slut's feelings and sensations. This quest in its whole was isolating me. I needed to locate myself within the walls of Humanity that made me doubt. I wanted to identify myself to its units I knew too well, -or too little.''
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