THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
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Definitely NOT! Politically correct
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Thursday, June 16, 2011

G.A. / E->2011 version.

English translation down below.


Quelques extraits...


''J'étais mec après mec, du genre fidèle, je les aimais tous et pour toujours, c'était un fait acquis qu'ils ignoraient, de nuit comme de jour lorsqu'ils revenaient en vassaux, enculer ma mémoire et m' honorer à nouveau.''


L'histoire enfin révélée de Gal Akerman.


''Une encyclopédie d'environ cinq mille pages ne suffisait pas à raison de deux en moyenne par page et sur quarante ans, à retracer, dépeindre et narrer toutes les queues si bien portées qui m'avaient culbutée. Je ne relatais que les plus grandes, les plus grosses, celles qui m'avaient marquée, et du mâle le plus beau, celui qui au mieux m'avait fait gueuler à m'égosiller comme une cinglée, tourmentée par ses infinies faiblesses de femme. En lavette ou en serpillière ou en putain du roi, ils m'avaient tous grandement abîmé, et je me devais à travers ces pages pour avoir été de tels mecs si glorieusement honorée, de leur rendre hommage. Leurs spermatos enfoncés comme un clou dans le bon trou de mes entrailles n'étaient jamais sortis de mon corps, et étaient depuis le temps, bien remontés et sans escale dans mon cerveau pour s'y loger définitivement. J'étais Jules après Jules, du genre fidèle, je les aimais tous et pour toujours, c'était un fait acquis qu'ils ignoraient, de nuit comme de jour lorsqu'ils revenaient en vassaux, enculer ma mémoire et m' honorer à nouveau. Je pensais de ces quelques chapitres, en avoir terminé pour ne pas trop saouler mes lecteurs de mon cul dilaté, mais je m'étais trompée. Car, après cinq ans, arrivait sur la toile avec sa guitare électrique sous les sunlights des projecteurs, un beau matin en un tout neuf ''Face Book Friend'', un revenant, qui n'avait cessé et je vous le jure, de me faire branler, et grave, toutes ces années durant, les jours de repos quand personne ne m'avait farcie. Son nom à lui seul portait déjà avant l'heure, toute la masculinité de sa puissance de surfeur qui avait mis la plus belle femme de la plage à ses pieds, une Bardot blonde aux parfaits nichons et petit cul dehors, une perfection de femme tout droit sortie de celle de Malibu et qui avait quitté elle, son Amsterdam natal pour venir se faire mettre pendant cinq ans, par cet infini et divin musicien surfeur qui lui était vital. Comment pouvait-on la blâmer? S'il m'avait fait se masturber dare-dare à en perdre haleine d'implorer son nom et sa bitte, il en avait été de même, c'est certain, pour toutes les autres petites de la plage qui à la vue de sa déesse, pensaient comme moi qu'il devait la baiser magistralement, en souverain, supérieur, pour qu'une telle beauté restât avec lui si longtemps alors que tout le monde divorçait pour des histoires de cul et d'argent. Il m'avait du temps de notre plage il y avait cinq longues années, souvent emmenée promener derrière les dunes de sable tandis que sa belle se reposait, mais ne m'avait jamais touchée, si ce n'est qu'une fois, mon cul tout bronzé dont il avait un peu bourré, ôté le maillot pour en admirer ses formes et la couleur et le caresser, ajoutant juste virgule après virgule que je n'avais de chacune d'elles jamais oubliées, que son hollandaise était trop blanche et craignait le soleil brûlant du Moyen-Orient. Lui toujours noir à surfer sur les vagues, si ces deux exceptionnelles beautés d'un homme et d'une femme allaient fort bien ensemble, le contraste de leur peau avait déjà illuminé toutes les cellules maitresses de ma libido. Jusqu'à ce jour, j'y pensais encore, avec le sentiment d'avoir raté comme une conne, l'occasion de lui ôter à mon tour il y avait bien longtemps, son maillot, pas pour une pipe, ce fut trop simple car sa garce devait très bien la lui tailler, mais de lui lécher aussi sec le trou du cul à pleine bouche et à fond de langue bien humide, et peu importe l'état des lieux; pratique de pédé qu'en bourgeoise elle ne devait pas faire, et lui en ignorer tous les délices. Il eut fallu alors, que je me surpassasse à lui faire découvrir en une seconde, de nouvelles sensations qu'un vrai mâle ne connaissait pas, afin d'être si non le number one, le number two. Grandiose, Gal Akerman fascinait tous les regards sur son passage, mais il était trop tard, devenu depuis un rêve vivant à mes esprits qui me faisait toujours gicler et tortiller sur mon lit, marmonnant le souffle coupé, mes conjurations à être prise et mes lamentations internes d'avoir été si stupidement comme une gamine, trop pudique.
Mais il y avait pour mes prières, un Sauveur. Mon nouveau ''Face Book Friend'' venait de m'annoncer qu'il venait de la quitter, et venait ce jour en de courtes phrases bien sympathiques, me retrouver, et m'écrire d'une grammaire au féminin, qu'il ne m'avait jamais oubliée. Je n'en croyais ni mes yeux ni ma queue à lire cette invitation de venir prendre un verre chez lui. Frétillante de bonheur, déjà entrain de mouiller et les seins gonflés, je me branlais aussi sec devant sa photo pour calmer mon impatience et être en forme, sereine et classique, et filais de suite chez le docteur pour un parfait curetage et me faire chez l'esthéticienne épiler. J'allais au-delà de mes limites, tout prendre de lui, en poubelle tout ramasser, tout avaler, et me donner, en sorcière, en lavette ou en pute ou en planche à baiser, comme il le voudra, comme il le voudrait. Il savait en me disant après cinq ans bonjour, très bien ce qu'il faisait. Ma réputation d'alors sur la plage n'était plus à faire, suçant à la chaîne dans les douches, dans les chiottes ou derrière un rocher, ses collègues surfeurs égarés qui n'avait sur place pas de meuf immédiate à tirer et les couilles trop pleines. Ça, c'était la concession d'Israël, ma terre promise, à sortir le jus tout de suite dès qu'il fallait que ça sorte. Ça ne pouvait ici, -jamais attendre, et peu importe la fente pour se les vider.
Je l'avais un jour de Grand Pardon sur la plage isolée où nous avions cinq ans plus tôt tous trois campé, derrière un rocher vu pisser tout en me fixant les yeux dans les yeux, fier sans rien dire de me la montrer, et puis nous avions longuement marché à sa demande ce jour, après qu'ils ne se fussent tous deux engueulés. Et je n'avais jamais oublié depuis cet instant, la bitte de mortier de mon Gal Akerman sortie de ses shorts et qui dépassait tout entendement de la conception d'une bitte humaine. Le monstre au repos déployé pour pisser qu'il tenait à pleine main faisait bien vingt-huit centimètres, circoncis à souhait et très épais, n'avait jamais quitté ma mémoire. Cette image était gravée d'or et de lumières pour jusqu'à ma mort me faire baver, tout comme ses cheveux noirs d'un parfait gentleman golden boy, fils de banquier juif immensément riche, ses mâchoires carrées et son sourire et ses yeux de vicelard portés fiers du haut de son torse musclé et poilu que dessinaient d'un trait de maître, ses veines et ses muscles, et ses jambes d'acier auxquelles on pouvait s'accrocher. Ils avaient déjà conquis la terre entière dès lors qu'il sortait de l'eau son surf sous le bras et la peau bronzée luisant sous le soleil. C'était L'Homme du déjà, tout lui était acquis d'avance, mais ils n'avaient encore rien vu ni soupçonné de tout. Sa queue relâchée à nu descendait jusqu'à ses genoux. À son apogée horizontale, l'énorme boule circoncise au cuir solide et infatigable, ne pouvait que surplomber tous les sommets, rapetissant ainsi tous les autres à de minables alpages du haut de ses trente centimètres de lourd métal. Une telle taille était au Moyen-orient commune, je m'étais farci celles des bédouins et celles de mes palestiniens de Jéricho, m'étais tapé plus d'une fois dans le tas de tels membres, et ceux des juifs de Libye et de Crimée m'avaient tout aussi surprises de grandeur et fait rêver, et beugler, quand ils m'avaient prise en chambre. Lui par contre et pas des moindres, savait en absolu dictateur, la donner pour se la faire travailler en mâle salvateur, de seigneur à esclave en fermant sa gueule et ne l'ouvrir que pour donner ses ordres. Il ne pouvait d'un tel mâle, en être autrement. Je n'avais qu'à exécuter ma tâche et me tenir à ma place, enorgueillie de pomper en derrick, le fruit de sa vanité et la lui faire gicler. J'avais intérêt à bosser pour éviter les raclées. Il savait parfaitement à qui il avait à faire, ses potes de surf c'était certain, avaient du lui rapporter de mes exploits d'aspirateur à foutre, tous les commentaires, et de fait savait fort bien qui des autres pédés, pouvait faire l'affaire pour le sucer en entier et tout avaler direct et sans lambiner. Ce n'était pas un travail de petite fille, une telle beauté se méritait d'être vénérée, et peu importe le chirurgien à payer si mon larynx était trop esquinté. Il aimait se la faire tailler debout sans doute, moi en prière à ses genoux, encore une histoire de tapettes que les femmes connaissaient mal pour satisfaire à l'extrême, la vanité de la queue d'un mâle. Il ne s'y trompait point; il m'appelait à l'instant aussitôt mon message reçu, m'annoncer qu'il était devenu depuis célibataire, et vivait en libertaire, dépensant son pognon et jouant de sa guitare dans un groupe de rock célèbre de Tel Aviv, et qui vendait leurs disques par millions. Il ajoutait, ce petit con, parfait salaud qu'il était pour me faire baver, saliver et activer mes ovaires sublimées, qu'il avait en bout de ligne téléphonique, sa main dans les pantalons, pas assez grande même à deux pour tout contenir, et je n'étais pas certain s'il s'agissait d'un geste manuel à astiquer sa trique, ou bien alors il s'agissait d'un geste de moquerie, un pied de nez, une nique. Je ne le pensais pas vraiment, mais après ces interminables années à rêvasser de pouvoir enfin un jour me le farcir, j'avais les doutes d'une jeune adolescente en manque, mais effarouchée de se faire tirer par une bitte si puissante. Il voulait me revoir après cinq longues années quand elle venait de le quitter, il y avait trois jours, et congratulait au téléphone de mots habiles, notre amitié passée, me laissant deviner que même elle, ne pouvait, à fond de gorge et de la tête au pied de son poteau métallique, le sucer pour le laminer. Je m'étais donc en remerciant les cieux, trompée sur ses compétences de salope, et le laissais parler pour d'avantage encore, lui faire fourbir sa queue en besoin, c'était tangible, de jaillir, afin qu'il me demandât d'un élan certain et bien assez tôt, de venir sur le champ la lui faire dégrossir. En petite garce commençant moi-même à doigter mon vagin et mes seins, je pensais, fébrile, à ce qui allait m'arriver, et, en vue d'être parfaite et performante pour ne jamais, pas une seconde, le décevoir, je prenais une bouteille de champagne sans la boire, que j'enfilais à fond de bouche, raclant amygdales, tonsilles tubales et linguales, caressant au-deça de la luette, l'épiglotte pour atteindre la glotte et en décrasser tous les freinages, en oto-rhino-laryngologiste confirmé. Il n'était pas question de ne pas tout enfourner, c'était un must absolu que de lui faire cracher son foutre à fond de gosier, et direct en l'oesophage, tout de sa piqûre ingurgiter. Il allait adorer. Et, ça y est, déjà tous deux bien mouillés, le bout humide entrain de sécréter, il me demandait sans plus attendre de venir prendre un verre. Dans l'expectative d'autres de ses envies, je préparais d'huiles et de parfums et avec la même bouteille à fond de train dans mon tunnel, mon trou du cul ou cas où monsieur voudrait s'y aventurer, et j'appelais aussitôt après un taxi, persuadée que j'allais y passer; lui pompant le dard trop frugalement durant cinq longues années, j'imaginais mal sa petite s'être faite enculée autre que sa voie frontale classique et reconnue, et très bien mon pauvre gaillard être définitivement dans le besoin énorme de diligenter ses giclées et dont j'allais, c'était plus que certain, oeuvrer de tout de mes pouvoirs à lui en être le pourvoyeur en me rendant utile à sa queue, pour en devenir des années à suivre et je l'espérais bien, indispensable.
Mon histoire ne révélait pas jusqu'à ce jour, par vanité que je voulais conserver uniquement mienne, par peur aussi qu'une tapette aux trop grandes oreilles ne me piquât une si belle bitte, en lionne farouche et protectrice de son lionceau sur son territoire, s'il m'avait de son tronc défoncé le cul par derrière, mais en fait, non, il ne m'avait pas enculé aussitôt en arrivant, c'était clair. J'avais attendu la suite de cette histoire le temps de lui prouver mes talents afin que cette exclusive bitte-là n'y résistât point et plus tard demandât à me revoir, pour la raconter, la voix haute et fière, et c'était fait; depuis plusieurs semaines au lieu de se la prendre à pleine main pour se la branler ou de tirer la première gonzesse à se faire écarter les cuisses par cette verge sans pitié, c'était moi qu'il appelait. J'étais bien devenue indispensable, et savais désormais que je n'avais aucun égal, je pouvais donc tout dire et tout écrire. Après mes prières buccales agrippée à ses cuisses tel que je l'avais prévu, la tronche complètement déformée et l'estomac rempli à ras bord de ses glandes génitales qui avaient tout, et d'avantage, si rapidement déversé avant que de ne m'en refoutre une seconde fournée, il défonçait mon trou en poubelle avide de son liquide en une troisième percée à trois heures moins le quart pour s'en redéféquer dans le noir total de la nuit, assise à la renverse sur ses trente centimètres adossée à son torse, si fort et si violent, perdant tout contrôle de lui-même en me bourrant le cul sans me voir, frénétique et délirant, à coups de claques sur ma nuque et de crachas sur mon dos, il forniquait sa petite poupée gonflable aux limites de la démence, comme si mon étroit orifice était né pour n'être qu'un récipient. Il résistait aux percussions certes et ne se cassait point, mais tombait sous le choc de ces cinq années à avoir sublimé ses lumières enfin révélées, en syncope.

Et puis, tôt le matin, très tôt, moins de trois heures après qu'il ne m'ait couvert, la chaleur de sa queue encore envahissant mon cul et ma mémoire, il me secouait, sans délicatesse, de ses mains de mecs à me rouler sur le lit pour me réveiller, et me dire, que je devais foutre le camp et vite, et dans ces mêmes termes. Je le gênais, le perturbais, il s'était vidé de son jus et je devais déguerpir illico ne voulant pas être surpris avec un homme dans son lit par sa femme de ménage qui allait arriver. Il me dit, sèchement, de goujat à malotru; ''Tu t'es occupé de ma queue comme une vieille pute ma poule. Tu m'as fait jouir avec autant d'appétit que j'en ai des meufs, mais faut dégager maintenant.'', et ce monologue de parfaite queue de macho à se fourrer dans n'importe quel trou pour se vider me séduisait, les seins gonflés d'orgueil, que je lui demandais afin de l'exciter peut-être un dernier coup, de resucer vite fait pour vite bander afin que je lui en taillasse une dernière. Il refusait en se tripotant les couilles et en ajoutant que j'étais une véritable petite ordure, une vraie garce accro de sa queue de juif et de son abondant foutre d'obsédé, ce à quoi je répondais qu'il m'honorait et me faisait mouiller rien qu'à l'entendre, puis me levais, avec comme geste immédiat et précipité de me rendre dans la salle de bain me rafraîchir au cas où il me foutrait quand même, encore une dernière raclée, mon trou du cul était trop obstrué pour un deuxième round, mais il me bloquait la porte et renouvelait sa demande de partir, et vite, énervé et la voix autoritaire, quasi méchamment. J'exécutais alors son ordre et enfilais mes chaussures, et ainsi le quittais sans broncher ni qu'il ne me retouchât, sauf la main pour un au revoir froid et sans complaisance en ouvrant la porte me poussant dehors aussitôt ouverte, d'une tape forte et déterminée dans le dos, dédaigneux et distant comme un voleur qu'on fout à la porte. Un parfait salaud pour une parfaite putain. Il était clair qu'il avait honte de s'être farci une vieille tante qui au matin dévoilait le vrai visage de sa fatigue et de sa ménopause, pas rasée et pour seule odeur, celle de la nuit à avoir trop transpiré. Je me sentais en déboulant les marches de ses escaliers, une va-nu-pieds, gueuse, misérable luronne bonne à rien, sauf de bon à avoir astiqué sa bitte pour la faire grossir et dégouliner de ses liquides, pressée d'aller chier dans le premier café de sa rue. Il m'avait tellement tamponné que j'avais une fois de plus, des pertes que je ne pouvais contrôler, humectant ainsi d'odeurs peu discrètes sur ma croupe, les plis arrières de mes pantalons beiges qui changeaient de couleur pour devenir plus marron. Je ressentais de notre majestueux accouplement nocturne, le rejet mental de cette extraordinaire beauté de mâle à m'avoir culbutée, être total, à l'idée de son empressement trop subit de la veille qui entraîna ses lourdes couilles à être vidangées dans les trous d'un pédé. Circoncis à ras bord, son énorme bitte au gland de cuir quasi estropiée, le pauvre bougre ne pouvait se branler sans souffrir, et c'était bien uniquement là que hier soir, il avait fait appel à mes talents de petite garce pour intervenir. Et, de ces pertes en une gloire cérébrale d'avoir enfanté son rejeton, je vivais à présent les malheurs cruels des réalités d'une fausse couche.
Libérée de cette intervention chirurgicale, bien torchée et redevenue normale je reprenais mes esprits pour l'exciter à distance, bien décidée de lui remonter le levier afin qu'il m'appelât à nouveau une seconde fois en urgence. Un telle vigueur à l'ouvrage d'une maçonnerie d'art à replâtrer les fentes buccales et anales de tout ce qui bouge et y fourguer sans compter sa bitte de maître pour enfin se la ramollir, se devait au coin des prochaines pulsions de ses glandes génitales, de le déstabiliser, et à la lecture de mes courriels et SMS des plus odieusement salaces à venir, forcément lui faire rappeler sa petite pute qui en camion de poubelle à foutre, tous feux giratoires et sirènes activés, arrivera alors en courant, émerveillée, enchantée et honorée de le servir. Aussitôt rentrée, je m'y mettais, et l'informais d'un message sur son téléphone, de lire le courrier sur son ordinateur. Je lui écrivais ceci;
''Mon conduit est maintenant nettoyé, entièrement pompé de ses alluvions, aux parois lisses, toutes propres et huileuses d'un pipe-line tout neuf qui ne demandebqu'à transporter a nouveau et de port en port, ta royale cargaison de fuel.
Hélas! Ce sera celle d'un autre! On vient de m'appeler et je ne peux refuser; un troufion à récurer avant son départ pour l'armée. Une queue aussi énorme que la tienne, sans doute moindre, mais plus lourde peut-être. Il adore aussi que je lui lèche le cul, le lui bouffe la gueule grande ouverte en écartant bien ses fesses, à fond de langue et de menton sans se retenir de ses sécrétions. Tandis que je le branle en éclosant sa fleur, la main pleine de gel parcourant sa tige pour décrocher le pompon circoncis dans ma geôle, c'est comme si c'était déjà fait et que tu sois déjà là, à m'admirer travailler; il est si dommage que ton petit trou du cul, mais est-il si petit?, n'ait connu cette promiscuité d'une cohabitation pénible et sans issu. Vous pourriez être tous deux ici, accroupis, puis les pattes en avant, toutes deux l'esprit corrosif à m'offrir votre fleur devant mon visage affamé entrain de vous gouiner, ou toi, qui sait?, de me sodomiser aux sons des soupirs de la petite qui aime tant se faire lécher. Elle est belle et jeune tu sais, et aux besoins immenses; elle ne vient pas ici pour ma beauté de vieille tante, mais pour mes performances de pute à lui tirer le jus comme il aime et sans limite, se le faire tirer.
Mes meilleures pensées.''
J'attendais mon jeune et beau militaire comme a l'accoutumée, nue sur mon lit toutes portes ouvertes qu'il refermait a double tour derrière son passage, pour en uniforme, venir violer sa déesse en posant a mes pieds sa mitraillette qui me rendait folle. Il arrivait, la bitte deja sortie et pointée droit devant pour se la faire sucer d'abord avant que de ne se déshabiller, quand sonnait, le numéro inscrit sur l'appareil, mon Gal Akerman auquel je ne pouvais que répondre la bouche dégorgée de la queue de mon appelé en cessant aussitôt de me branler. Il venait de lire ce que je venais d'écrire et me demandais si j'avais commencé, et s'il pouvait venir, la bitte deja dure a l'idée de me voir lui bouffer son cul. Le militaire acceptait et allait rouvrir la porte d'entrée afin qu'il nous rejoigne de lui-même en pleine action, et je lui indiquais le chemin a suivre du salon. Je reattaquais mollo sur sa bitte en m'attardant sur les couilles, mais sur de moi dans l'action a la lui garder raide sachant que mon phénomène de parachutiste savait se retenir. Je pensais en lui léchant la croupe et descendant ses pantalons, comment j'allais aussi sec en maitre de cérémonie, m'occuper du Gal aussitôt arrivé. Les sucer tous deux leur deux bitte jointe en bouche en se roulant des pelles me semblait être un parfait début pour leur montrer de quoi de leur vieille tapette sans scrupule était capable. Je savais qu'ils ne résisteraient pas a un tel appétit de salope et sans avoir a regarder ma tronche de sorcière. Tous deux beaux et jeunes et de vrais Don Juan, je savais qu'ils allaient se plaire, et sans pouvoir se sodomiser, tous deux de vrais mâles trop actifs pour se faire enculer. Et c'est bien la, que mes pouvoirs de femelles en deux trous se confirmaient de gloire absolue. Ils ne pouvaient en s'adorant tous les deux, qu'enfourner leur queue dans les miens, le seul sac poubelle de la maison a balancer leur merde bien a fond dedans pour une vidange parfaite. Je continuais sur ses couilles en lui mettant un doigt dans le cul, lui debout moi assis sur le lit quand le beau Gal, arrivé a moto le casque a la main, entrait dans la pénombre de la chambre ou un seul rayon de lumière a travers les volets laissait voir nos visages avides de cul et de foutre a gicler. Seules au monde et nous trois sur terre, nos fonctions physiologiques comptaient. Tout en gardant mon doigt dans le cul de l'autre, je le prenais par la taille tandis qu'il embrassait aussitôt mon militaire, et lui défaisais sa braguette deja gonflée a bloc pour sortir son monstre que j'enfilais en bouche aussi avec avec le gland de l'autre. La gueule estropiée, je me donnais à fond de gosier comme une cinglée, et recevais déjà la reconnaissance de leurs glandes génitales à les faire mouiller comme des malades mentaux, la main de l'un et la main de l'autre toutes deux fortement serrées sur ma tête à me récompenser pour enfourner d'avantage, leur gland dans mes abîmes tandis qu'ils se roulaient des pelles. Je continuais ardemment ma tâche quand cette grande brute de motard se retirait de la bouche du militaire pour se retourner et m'offrir son cul à bouffer. Mon idée avait fait son chemin et je l'exécutais, la langue d'abord, puis le menton, à écarter les pétales, puis la bouche entièrement ouverte avec en son centre, mes lèvres entourant en sangsues le périmètre, son trou du cul déjà fortement dilaté maintenant à fond de langue empalé, et qui commençait à suinter tandis que l'autre se mettait à genoux pour le sucer en se branlant. Je me branlais aussi, fière d'entendre ce mâle pur jus, marmonner de délices avec ma salive en son orifice; il écartait lui-même ses miches afin que je n'en perdisse pas une miette.
Et cela durait un bon moment. À bout de souffle et de liquide salivaire, les muscles labiaux fatigués, la gorge de l'autre tout aussi asséchée et épuisée de sucer la queue du Gal à fond de train en nous branlant toutes les deux comme de petites gloutonnes affamées, je décidais de mener le jeu pour plus tard revenir en apnée sur leur trou du cul à tous les deux, mais j'avais besoin d'un break; ma langue commençant sérieusement à fourcher, il n'était pas question que je passe pour une idiote. Ma réputation de salope était en jeu. Vieille et défraîchie, que m'eut-il resté si non de ces jeunes mâles d'exception à venir se les vider chez moi si ma performance ne devenait que moyenne. Je devais garder ma ligne de conduite à les faire gicler comme personne d'autre, et la tête, hautes. Je laissais donc temporairement sa fleur éclose déjà très affectée de mes léchages, pour venir m'agenouiller aux côtés du militaire, et ainsi le délivrer de le sucer pour à mon tour prendre la relève, lui permettant de fait, de se relever pour l'embrasser et me laisser leur queue à pomper pour un peu de repos avant que de ne réattaquer, je ne savais encore quoi. Peut-être me faire en homme-sandwich, enculer debout par le bel Akerman en m'agrippant le dos bien abaissé, aux hanches du militaire pour lui bouffer le fion. Je laissais toute idée saugrenue traverser ma cervelle gardant chacune d'elles en considération, et c'était bien cette dernière qui venait à raison. Je me relevais en les branlant tous les deux pour de nos trois langues se rejoindre dans la communion, puis me plaçais au milieu, le dos contre le motard, sa queue et celle du militaire se percutant entre mes cuisses tout en se léchant, s'embrassant en geignant, avant que, je ne prisse les choses en main et sa bitte directe au centre de ma base de lancement dans le bon axe de départ. Je retournais de plein fouet mon beau troufion pour enfin imbiber comme il l'aimait, son petit cul trop à sec en attente de mouiller, et il ne se faisait pas prier pour illico, se le faire dévorer. Précisément incliné contre le mur s'y tenant à deux mains et la jambe relevée sur un tabouret pour mieux s'écarter, je me baissais alors pour mieux être enculée et atteindre sa rose, m'agrippant comme prévu à ses hanches, toutes deux bousculées par les poussées de l'autre dans mon dos qui me tirait, frénétique et sans concession en nous insultant de petites gouines attardées, me laissant par sa force de pénétration incontrôlée, menton et langue désordonnés par la cadence infernale de ses vas-et-viens en coups de queue sans pitié, lui enfourner dans son trou du cul, même le nez, tandis que nous continuions à nous branler. Les gémissements du militaire à avoir son petit trou si abondamment humecté et sans arrêt introduit, rendait mon motard plus violent, et sa grosse bitte à fond de cale commençait au plus haut degré, à esquinter mes parois, ne me laissant de chance de gueuler mes souffrances, que celle de me goinfrer d'avantage dans le trou du cul de l'autre pour me ressourcer, tout en recevant maintenant ses fessées au son de ses insultes de sale pute qui allaient le faire jouir, ça n'allait pas tarder. Il venait de le dire, et je sentais qu'il était à bout de nerfs et allait tout larguer, nous ordonnant de nous astiquer plus fort encore, pour balancer, sous sa maîtrise, notre foutre de jeunes filles effarouchées. J'enfilais mon muscle buccal à l'apogée de sa puissance dans sa caverne, lèvres collées et indissociables de son bonheur anal qui lui faisait activer d'une pleine main sa grosse trique prête à gicler, et la mienne, idem, en pleine ébullition à faire sauter, manuel, le bouchon, juste quand l'autre derrière moi se baissait sur mon dos en me triturant les seins pour s'y tenir et balancer son sperme dans mon fion. Nous venions tous les trois synchro, d'inonder sol et plafond sous les gueuleries apeurées d'un tremblement de terre de mâles assouvis. Il retirait sa bitte de ma croupe bien amochée pour enfin la rendre à l'air libre encore ferme et solide, et moi ma bouche de son cul poilu, meurtri par tant d'acharnement, mais heureux. Nous nous relevions fières et droites en braves filles pour se rouler encore tous trois une dernière pelle d'un remerciement mutuel. Gal remballait aussi vite qu'il était arrivé ses attributs dans ses jeans toujours bien gonflés, et repartait le casque à la main, en insistant de remettre, et le plus tôt possible, une session identique. Mon militaire, lui, la queue pointant encore et encore les sommets comme si rien ne s'était passé, décidait de rester un moment, trop privé des deux semaines à venir de ne pouvoir se l'enfiler quelque part. Il tenait absolument à m'enculer, vite fait, avant de partir, et très volontiers je lui concédais mon orifice aussitôt la porte d'entrée refermée par Akerman. En levrette sur le lit la tête posée sur le matelas, je lui offrais mon cul en offrande tandis qu'il m'enfournait sa bitte toujours debout, mes deux mains sur la délicieuse froideur de sa toute puissante mitraillette. En trois temps trois mouvements dans mes parois humides et si franchement glissantes, il se finissait une seconde fois à l'idée, je le savais, de la grosse queue de Gal qui venait si grandement, de labourer le terrain pour mieux le servir. Nous pouvions maintenant, tous jets de foutre terminés, bien commencer notre journée.''


''I was guy after guy, the kind of faithful guy, I loved them all and all for ever, and that was a fact they ignored, night and day as soon as they came back as vassals, fuck my memory to honor me once more.''

''A five thousand pages encyclopedia was not enough to tell and narrate, if you consider an average of two per page and over forty years, all about the cocks of beautiful men that hit me. I only related the biggest, the thickest, the ones that had moved me, and about the males, the most handsome ones that had made me scream and shout like a loony, and tormented my infinite weaknesses of a woman. As a trash or as a floorcloth you wipe your shoes off on or as a whore of the king, they all had greatly damaged me, and I definitely had through what I wrote down, for having being so gloriously honored, to pay them tribute. The sperm they nailed up the right hole of my guts had never left my body, and had since long ago, gone up with no stop right to my brain to stay there for ever. I was guy after guy, the kind of faithful guy, I loved them all and all for ever, and that was a fact they ignored, night and day as soon as they came back as vassals, fuck my memory to honor me once more. I thought with the chapters I already wrote that I was through with it in order not to over intoxicate my readers with my dilated ass hole, but I was wrong. For after five years one morning, arrived on the web with his electric guitar under the spotlights, a brand new ''Face Book Friend'', a ghost that never had stopped and I sear it, haunting me to make me wank during the days off all those years when no one had screwed me. His name alone carried before time, all the masculinity of his power of a surfer who had put on the floor, the most handsome woman of the beach at his feet, one blond kind of Brigitte Bardot with perfect teats and little ass out, a perfection of a woman just coming out of Malibu who had left Amsterdam where she was born to come here, and get fucked over five years, by this divine musician and surfer who was to her absolutely vital. How could you blame her? If he made me wank like hell, breathless, and implore his prick, I'm sure it had been the same to the other girls of the beach who, at first sight of his goddess, thought just like me, he was an outstanding sovereign fucker, a superior one to have such an exceptional female beauty next to him for so long while everybody around divorced for reasons of lousy sex or money. He had taken me more than once, five long years ago, for a walk behind the sandy dunes while she rested, but had never touched me, only once when a bit drunk, he had taken my swimming pants off to admire the shape and the color of my buttocks, adding comma after comma I never foot since, the her Dutch girlfriend was too white as she feared the Middle-Eastern sun. My ass was as dark as his skin as he surfed the waves all day long, and if these two exceptional beauties of a man and a woman went indeed together well, the contrast of their skin had already enlightened the master cells of my libido. Until that day, I still thought about it, with the dreadful feeling to have missed then, like an idiot, taking his shorts down to suck him off, even though that would have been too simple thinking that that bitch probably did the head job right. The idea of licking full mouth his ass hole on the spot with my wet tong and chin deep in would have been a better thing to do, and never had left my mind, no matter that hole was clean or not; this typical queer practice was definitely unknown from that uptown girl, and he, ignored the delights of it. I should have then, over extend my skills of a slut to make him discover even for a second, new sensations a real male did not know, so I could be if not number one, number two. Grandiose, my Gal Akerman fascinated all looks on his way, but it had been too late, and had become since a living dream to mu spirits that still made me spurt and twist in bed, groaning with an on and off breathing, my conjurations at been fucked and my inner moaning to have been so stupidly like a little girl, fat too decent on that day.
But there had been to my prayers, a Savior listening, My new ''Face Book Friend'' just told me they just parted, coming that day into short phrases, to meet me again writing to me the feminine way, he never had forgotten me. I could not believe my eyes nor mu cock reading this invitation to come at his place for a drink. Shivering with happiness, already wet and my teats swelling, I plaid with myself in front of his picture to calm down my impatience and be in good shape, serene and neat, off to my doctor to get a perfect curettage and have at the beauty saloon, my hair removed. I was beyond all of my limits, take everything from him, swallow everything, and offer myself to him as a witch, as a trash or as a whore or as a fucking board, the way he will want, the way he'd like to. He knew by saying hi to me after five long years, very well what he was doing. My reputation at the beach then was not to be told, sucking in a row in the showers, in the loos or behind a rock, his lost fellow surfers who had no immediate girl to screw on the premises as their balls were too full. That was the concession of Israel, my promise land, getting the juice out as soon as it had to. Nothing here, -could wait, and no matter which slot they had to shoot their load in.

I had seen him on a Yom Kippur day on an isolated beach five years ago where the three of us camped, pee, behind a rock as he stared at me still, eye to eye, proud to show it to me, before we started a long walk after they had have an argument. And I never had forgotten since this moment, the mortar prick my Gal Akerman took out of his shorts, passing all bounds of understanding when it comes to the conception of a human cock. Fully out, the monster he hold full hand to pee proud in my direction, right here, right in front of me dying for it, was at least ten inches long, real thick, circumcised to the max just the way I loved it, never had left my memory. This luminous image was golden printed in it till I die for me to slaver, just as his black hair of a perfect gentleman and golden boy made me slaver, on top go that with the idea of him being the son of a very rich Jewish banker, with square jaws and a killer smile and kinky eyes that proudly looked down on me from the top of his surfer muscled hairy chest that underlined like a master drawing, his veins and his iron legs to which I could grab myself to. He already conquered the entire world as soon as he got out of the water with his surfing board under his arm and his tanned skin shining, wet, under the sun. He was in fact, The Man of the already; everything was granted to him in advance, but they, hadn't seen anything yet, nor guessed the tremendous power of his rod. Naked and loose, it got down to his knees. To its horizontal apogee, the enormous circumcised solid leather and tireless bowl could only overhang all heights, shrinking that way all others into miserable mouton pastures from the top of his eleven inches of heavy metal. Such a size in the Middle-East was quite common; i had been stuffed by my Bedouins' and Jericho's men, and I got lost among the ones of Libya and Crimea Jews which amazing sizes had surprised me with greatness, and had made me dream and scream fucking me in doors. Him on the other hand and not the least, knew as an absolute dictator, give it to have it worked on as a saving male, a lord to his slave shutting his mouth in order to only open it back at his command. It simply could not be any other way with such a man. I only had to comply my task and stay where I belonged, priding myself to pump as a derrick, the fruit of his vanity and make it spurt. I'd better work hard to avoid trashing. He knew perfectly well who he was dealing with as his fellow surfers that was for sure, must had told him my performances of a cum vacuum cleaner and given him all comments of my insane sucking, therefore he knew damn well who could do among the other queers, to suck his eleven inches entirely and swallow directly without making any fuss. That was no little girl job though, and such a beauty deserved to be adored, no matter the cost of the surgeon to pay if my larynx was badly hurt. He probably liked to be sucked standing, me on my knees praying his dick, an other story of puffs women did not know well to satisfy to the extreme, the vanity of a cock of a male. And he did not go wrong; he called me straight after he received my message, telling me he now lived as a libertarian bachelor, spending his money around and playing guitar in a famous Tel Aviv rock band selling records by millions. He added, that swine, as a perfect bastard he was to make me slaver more and activate my sublimated ovaries, he had at the end of the telephone line, his hand in his trousers, and that even the two of them were not big enough to hold it all, asking me if I remembered what I once saw as he peed, the guy hadn't forgotten either me seeing it, quite aware of my greediness to have it all for me as now, he was asking for help, telling me he was in pain alone to wank, feeling hornier than horny, hotter than hot, burning with desires. He needed a hole. I did not really think, after theses endless five years of dreams, that one day, the day he'd stuff me with could happen as I had the doubts of a young teenager girl in need, but frightened to be fucked by such a powerful dick. He wanted to see me again five years later as she just left him, three days ago, and congratulated with kind and subtle words on the phone, our passed friendship, letting me guess somehow that she, deep throat from the bottom to the top of his metallic pylon, could not suck him off dry. I then thanking the gods, realized I had been wrong about her skills of a slut, letting him talk more about it while polishing his dick up, that was tangible, in bad need to spurt, so he would ask me in a burst soon enough, to come on the spot to make it rough out. As a little bitch beginning myself to finger my pussy and my teats, I though, weakening, of what was going to happen to me, and, in order to perform better than ever not for a second, disappoint him, I took a bottle of champagne without drinking it I dug deep throat, scraping tonsils and tong, caressing beyond my uvula, the epiglottis to reach the glottis, cleaning up all braking on the way, as a confirmed noise and throat specialist. No way he was not going to shove all of it into my gob; that was an absolute must to reach to make him spit his load deep throat and get it right into my stomach, swallowing all of hi injection. He was going to love it. And, that was it, both of us already getting real wet, the top of the humid knob exuding yet, he asked me to rush and come for a drink. Waiting for eventual other envies of his, I prepared with oils and perfumes and with the same bottle, the darkness of my tunnel deep down, just in case mister would wander around into my ass hole, and once cleared, I called a cab at once, quite sure I was going to be done; sucking his cock far too frugally over five long years, I could hardly imagine his ex girl being screwed other than through her frontal and classical acknowledged lane, and imaging him, poor guy, being definitely in an enormous need to hasten on his spurts, and of which, that was for sure, I was going with all my powers, to strive to be the useful supplier of his dick, so I'd become for years to come I hoped, indispensable. My story did not reveal till that day, by vanity I wanted to keep only mine, and by fearing too some alerted queers that would nick such a prick off me, as a fierce lioness protecting her lion cub on her territory, if he had fucked with his trunk my back, but in fact, he did not fuck me as soon as I arrived, that was quite clear. I had waited for the remainder of my full story to tell loud and clear, given myself the time to prove him my talents so that exquisite cock will never resist to them and ask me later, to come back over and quickly. That was already done; since weeks instead of taking it in his hand and wank, or shoot the first broad coming along that would open her legs to be pierced by this no mercy rod, it was me he called.
I indeed had become indispensable, and now knew I had no equal, so I could say and write down everything. With my oral prayers grabbing his legs such as I had thought it, my face totally out of shape and my stomach filled to the top by his genital glands he so quickly poured out and more, overflowing my canals before he started a second batch, he broke in my hole as a greedy cum trash in need of his liquid as a third breakthrough at a quarter to three, and defecated again his load in the total dark of the night, when sitting backwards on his cock entirely empaled by his eleven inches of hard flesh fucking my ass without seeing me, frantic and delirious, thumping my nape and spitting on my back, fornicating his little doll to the limits of decency, as if my little hole was born to only be a recipient. It resisted indeed to the bumping and did not break, but was in chock after five long years at having sublimated his lights at last now revealed, fainting.
And, early morning, very early in the morning, less than three hours after he covered his mare, the heat of his cock still invading my ass and my memory, he threw me off the yoke by pushing me rough with his butch hands rolling me over the bed to wake me up, and say I had to hurry and go and, quick, and he said it in the same firm terms. I disturbed him, annoyed him, he got rid of his juice and I had to leave at once as he did not want to be surprised with a man in his bed by his cleaning lady who was to arrive. He said, tartly, boor to churl; '' You made me cum with as much appetite I feel for girls, but you must piss off now'', and this perfect monologue of a macho dick fucking any hole that moved to empty his balls seduced me so much, that I asked him, sitting on the bed, my teats swelling with pride, in order to, may be, excite him one last time, if he did not want to step forwards right in front of me so he could get a fresh morning head job to be cleared for the day. He refused that bastard, while playing with his balls and adding that I only was a greedy nymphomaniac bitch addicted to his Jewish dick and opulent cum of an obsessed sexual maniac, to which I answered, he honored me by saying it and got me wet, then I stood up, with the immediate reaction to go to the bathroom and refresh myself as my ass hole was too obstructed for a second round, just in case he'd somehow fuck me once more, trashing me one last time, but he blocked the door with his arm and insisted frankly, to get off and quick, upset and with an authoritarian voice, almost wickedly. I complied his order and put my shoes on straight away to leave, and left speechless without being touched again, only by his hand saying goodbye with a strong thump on my back pushing me out like a beggar you kick out. A perfect swine for a perfect slut he was. It was clear he was ashamed to have stuffed an old puff who in the morning, really showed her fatigue and the real face of her menopause, unshaved and as for only smell, the one of the night sweat. I felt as I ran down the stairs, like a beggar indeed, a beggar that I was, a tramp, one miserable moron good for nothing, with the only good in me to have his prick magnified and cleaned off its liquids, and I hurried to go and poop in the nearest cafe of his street nearby. He bumped me so that I had once more, droppings I could not control, dampening with indiscreet smells on my rump, the back creases of my beige trousers changing colors into a more brown one. I felt out of our majestic nocturnal mating, the mental reject of this extraordinary male beauty having screwed me, being total, to the idea of his sudden rush of the last evening that led his heavy balls to empty themselves into the holes of a queer. Circumcised to the max, his enormous fat dick with a leather knob almost crippled, the poor chap could not wank without suffering, and it was precisely there the reason why last night, he called my talents of a slut to intervene. And, with these droppings as a cerebral glory to have given birth to his descendant, I now lived the cruel disasters of the realities of a miscarriage.''




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