THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Thursday, June 16, 2011

Petite chirurgie / Minor surgery. E->

English translation down below this page. gs

Quelques Extraits...


''Mes trous étroits les régalaient; car ils avaient de fait d'une monture entaillée à sa tête, l'absolue nécessité d'une pression à chaque excavation, d'une résistance en bout de ligne qui entrainait, implacablement, d'un cuir oxydé devenu trop rêche, l'assaut sérieux et arrogant et sans condition, d'une attaque de vissage et de martelage de vive force qui les rendait plus sensitifs, pour enfin, faire jouir la structure.''


''Les vieilles teutonnes bedonnantes de Berlin et leur ennui de vieilles tantouzes blasées qui n'avaient plus rien à prouver, leurs histoires de grosses queues à savoir qui de la dernière avait baisé leur petit trou du cul au mieux, et celles du dernier petit étudiant qui s'était fait sucer le gland pour un peu d'argent, m'emmerdaient. Elles m'avaient toutes fait chié, assourdi, excédé ces pédales sans envergure, toutes des retraitées. Israël me manquait. Ici, il y avait le ciel, le soleil et la mer, et les circoncis, et je préférais cette chanson de François Deguelt à la leur exclusivement construite de culture gay aux prépuces bien camouflés derrière leur petite braguette. Ici, il y avait mes jeunes et virulents militaires qui m'ouvraient à l'infini de leur beauté de grands gaillards une mitraillette en bandoulière, les horizons du grand large avec leur gland coupé à vif de paillard. Ils m'éventraient de leur bitte de sémites circoncise qui elle, ne parlait jamais d'elle mais agissait, de partout, n'importe où, si habile, si toujours immédiatement prête à s'enfourner dans une quelconque rondeur sous le soleil qui tape pour se les vider sans tarder, et toujours un max. Elles m'avaient fait rester au pays ces bittes de guerrier. Elles m'y avaient fait revenir et je venais d'annuler mon retour sur Berlin. Cette absence de bout de chair m'y avait délicieusement contraint; elle les dotait d'une vertigineuse énergie de tous les astres réunis qui de leurs forces infinies me rendaient la lumière, empalé à tout bout de champ par leur bâton de berger, d'une solidité et d'une robustesse à toute épreuve, jamais égalées. Les Juifs de mes armées avaient fait de moi leur putain attitrée, et de fait oublier le temps sans retour possible des miroirs de ma ménopause. Belle et bronzée, ils étaient tous à mes pieds, sous leurs étincelants cheveux noirs et leurs épaules de géants musclées, bitte pointée en main derrière leurs larges treillis, toujours prête à canonner pour remplir mes orifices selon leur bon besoin. J'étais honorée. Glorieuse. Adulée. Sollicitée sans cesse. Les talents de ma bouche ouverte sur leur colonne abrupte les captivaient comme me captivait moi, la pièce de leur lichette sectionnée. J'étais leur reine. Le trou à foutre favori des mutilés. Une cuvette gloutonne dans laquelle ils pouvaient vider à chaque instant, leurs désirs de mâle trop gonflés et trop pleins de petites bêtes couleur blanc cassé et remplies d'histoire qui titillaient dans la canicule, vivement leurs couilles trop lourdes. Ils savaient tout de mon favoritisme et n'arrêtaient pas de défiler pour exploiter, et au plus juste, la distribution de mes avantages. À la plage, en voiture, en chambre ou derrière un palmier, dans un bus, nuit et jour ils pouvaient se les vider après une longue et sérieuse induction sur mon ouvrage, à aller des effets aux causes en une vaste élaboration de mes techniques à les faire jouir. À bout de souffle les lèvres musclées, je talonnais dur, la gorge foncièrement enfoncée. Leur petite chirurgie me faisait bosser dare-dare, en une folle frénétique, une bête de somme mythique. Trop frictionné depuis la naissance, leur gland et ses nervures étaient vite devenus au cours des années, une boule de béton armé qui démolissait tout sur son passage, carénée d'une irrigation sanguine sans faille, et qui elle, maintenait le cylindre du pilonne droit et fier, dur comme du fer. Mes trous étroits les régalaient; car ils avaient de fait d'une monture entaillée à sa tête, l'absolue nécessité d'une pression à chaque excavation, d'une résistance en bout de ligne qui entrainait, implacablement, d'un cuir oxydé devenu trop rêche, l'assaut sérieux et arrogant et sans condition, d'une attaque de vissage et de martelage de vive force qui les rendait plus sensitifs, pour enfin, faire jouir la structure. Agenouillée la gorge entaillée, ou les quatre pattes en l'air admirant mon juif forniquer, j'oubliais Berlin, totalement éventrée. Je buvais leur semence comme on avale une hostie en priant leur amour et leur délivrance. Leur jeune présence et leur délectation sous le soleil de plomb, lui et les vents chauds qui brûlaient ma peau de femme errante et désoeuvrée, me faisaient gueuler, et les implorer pour leur parfait bonheur, de me tirer encore plus fort. Ils escamotaient en mes boyaux tout de leur histoire et me transperçaient, rigoureux et inflexibles, sans considération ni limite, de leurs coups de bitte infernale, de gloire. Leurs mains sur ma tête ou tirant mes oreilles, communiquaient la cadence de mes succions à cette âpre surface abîmée et coriace, ou bien s'agrippaient aux barres et poignées de mes hanches pour m'enculer parfait, les nerfs érecteurs alors bien compressés dans le canal de mes parois qui en les raclant, se décapaient. Il était bien loin l'appartement de la Viktoria-Luise Platz. Il en avait vu lui aussi défiler des bittes, à la chaîne, les unes après les autres. Mais jamais d'aussi belles, jamais aussi puissantes, et toutes avec prépuce. Voilà qui aurait d'avantage plu à Monsieur Voltaire. Mais il n'y avait rien à faire. Je préférais le grandiose coït de mes dégénérés qu'il avait avec tant de fiel et de haine, décrits comme tels. Le cher homme n'avait jamais du se faire mettre. La virilité des sémites n'avait aucun égal. Aucun. Et ma féminité de salope qui avec eux s'était de fait, bigrement décuplée et les rendait tous folles, ces petits bonshommes sans bout de peau autour du gland. Et moi, de cette ablation, j'étais devenu une détraquée, une envoûtée totale par l'infinie vigueur que le forage exigeait, une maniaque obsessionnelle et visionnaire au service des amputés.
Tiens! ça sonne! Un autre appel d'une queue circoncise qui va m'empêcher de continuer à écrire. Je dois encore sucer, ou m'allonger, tout dépendra de lui. Cette fois-ci, au domicile de Jonathan, qui lui ne me parle que de ses gonzesses que je ne vois jamais et qui si mal, le pauvre, le sucent. À vingt-trois ans, il m'avait aussitôt, il y a longtemps, dans le bus mis la main sur ma cuisse en retirant sa mitraillette, puis l'avait longuement pelotée, caressée, ses genoux collés aux miens, et de son autre main sur la braguette de ses treillis verts, il avait essayé de cacher l'énorme bosse de sa barre de fer entrain de bander, me disant à l'oreille de sa barbe noire de troufion, qu'il avait un besoin subit et incontrôlable, d'éjaculer. Il fallait que ça sorte, l'incision de la blessure ouverte avait été trop frottée, et les frictions répétées sur ses pantalons l'avaient trop excité. Nous étions alors descendus au premier arrêt et je l'avais contenté, comme il le méritait, aspiré dans le cagibis d'une libératrice allée, le foutre de ses vingt centimètres qui n'arrêtait pas de gicler du haut de son rouleau d'acier, destiné par ses Dieux depuis tout gamin, à tout et sans pitié, laminer. Sa gueule esquintée de farouche guerrier des déserts tuant les arabes pour ne plus procréer, ses bras poilus et musclés des ténèbres qui me saisissaient immobile afin qu'il pût mieux me creuser, et son tronc d'absolu Maître en action commandée, valaient bien la chandelle de tout arrêter. Car il y avait un boulot dingue sur celle-ci. Un monstre rugueux et rêche de fermeté à traire. Un manche raboteux de rigidité à faire gicler. Il me rappelait de ses jambes arquées de footballeur en train de me tirer, l'impériale virilité dictatoriale de Zlatko de Battery Park. Pas une histoire de petite fille. Pas de temps pour penser. Ni de temps à perdre. Une besogne qui devenait une oeuvre d'art et qui me faisait inexorablement retourner à ma tâche d'artiste. Mon unique auspice.
Alors je vais pour l'instant vous laisser. Je dois retourner à mes occupations. Oublier, encore oublier, oublier Berlin et ses tantouzes handicapées. Oublier tout. Les amours vécus, les spotlights de Las Vegas et mon manque d'espérance. Ma vie était un enfer de oisiveté, d'impuissance et d'inactivité, que seules les salacités de mes militaires m'enseignaient avec brio de me défaire. Et, sucer des bittes estropiées, devenait la seule condition de mes vanités, la seule scène où je pouvais, engorgée ou enculée, exercer mon art, y être applaudi et adulé, jusqu'à la dernière goutte de leur divin et abondant liquide, de gloire inondée. ''



''My narrow holes feasted them; for they had in fact with a gear cut at its head, the absolute necessity of a pressure to each excavation, the need of a resistance at the end of the line that implacably, with an oxidized leather that became too rough, implied without any condition, the serious and arrogant assault as an attack by storm of screwing and hammering that made them feel more sensory to, at last, make the structure come.''


''The old fat bellied Teuton Berlin queers that with their faggot's boredom had nothing else to prove, together with their stories of big cocks telling who last had fucked their little ass hole best, and the ones of the last little student whose knob they sucked for some money, bored me stiff. They all shitted me off those impotent morons, they had all deafened me, exceeded me those retired broads. I missed Israel. Here, you had the sun and the sea, and the circumcised dicks, and I much preferred this surrounding rather than the one made of gay culture and well hidden foreskins behind their zipper. Here, I had my young and virulent soldiers that opened to me with their beauty of tall and strong guys a big gun across the shoulder, the horizons out to the sea with their lewd open cut acorn . They disemboweled me with their circumcised semite knob which never talked about itself but acted, everywhere, anywhere, so skillfully, always immediately ready to shove into some roundness under the burning sun to empty their balls, and to the max. These warriors' cocks had made me stay in the country. They has made me come back and I just cancelled my return to Berlin. This lack of flesh had deliciously forced me to do so; it endowed them of a dizzy energy of all the stars united together which with their infinite forces made me see the light, empaled around the clock by their heavy stick of an incredible solidity and robustness that never had been equaled. The Jews of my armies had made of me their appointed whore, and made me forget the no return possible mirrors of my menopause. Handsome and tanned, they were all at my feet with their shining black hair and their giant muscled shoulders, cock in hand pointing out behind their baggy army trousers always ready to cannonade to fill up my orifices according to their need. I was honored with glory, adored. The talents of my opened mouth encircling their abrupt column captivated them the way I was captivated from that piece of cut off nibble. I was their queen. The favorite cum hole of my mutilated guys. A greedy basin in which they could at any moment, empty their males desires that were too swelled and too full of historical off white little beasts that too heavily ticked in the heat, their far too heavy balls. They knew all about my favoritism and never stopped to come in a row and justly exploit, the distribution of my advantages. At the beach, in the car, in bed or behind a palm tree, in a bus, night and day they could empty them after a long and serious induction on my work at making them come with my huge technical elaboration. Out of breath and with my muscled lips, I heeled out tough, my throat thoroughly driven in. Their little surgery made me work the hard way, as a frantic loony, a mythical beast of burden. Too rubbed since birth, their acorn and its nervures had quickly become through the years, a ball of reinforced concrete that demolished everything on its way, careened by a reliable blood circulation that kept straight and proud, the cylinder of the pylon as hard as steel. My narrow holes feasted them; for they had in fact with a gear cut at its head, the absolute necessity of a pressure to each excavation, the need of a resistance at the end of the line that implacably, with an oxidized leather that became too rough, implied without any condition, the serious and arrogant assault as an attack by storm of screwing and hammering that made them feel more sensory to, at last, make the structure come. On my knees my throat engorged, or on all fours admiring the fornication of my Jew at hard work, I forgot Berlin as I entirely was disemboweled . I drunk their seed as you swallow a host preying for their love and deliverance. Their young presence and their delight at bumping me under the hot sun together with the winds that burned my skin of a wandering and idle woman, made me scream, and implore them for their absolute happiness, to fuck me even stronger. They conjured away deep in my guts all of their history and, inflexible, drastic, without any consideration or limit, with their thumps of infernal dicks, pierced me of glory. Their hands on my head holding firm my ears ordered the rhythm of my sucking on this sharp and tough surface, or grabbed to my hips handles to fuck me perfectly, the erected nerves then well pulled against the walls of my canal that cleaned them all of when scraping. My apartment at Viktoria-Luise Platz was damn far. And it had had its great deal of cocks dropping by, in a row, one after the other, but never such beautiful ones, never so powerful ones, and all of them with a foreskin. That would have pleased Mister Voltaire, but I could not do a thing. I preferred the grandiose coitus of my degenerated fellows he had with so much gall and hatred described to be so. The dear man had probably never been done. The virility of the Semites had no equal. None. And my feminity of a slut had with them, greatly increased in order to make these little men with no skin around their acorn, crazy. And I, out of this removal, I had become a loony, totally bewitched by the infinite strength the drilling required, an obsessed maniac and a visionary at the service of the amputated guys.

Sorry! The phone's ringing! An other call from a circumcised dick that's gonna stop me from writing. I must suck again, or get laid, that will depend on him. This time at Jonathan's place, who only talks about his broads I never see and that so badly, pour guy, suck him. At twenty three years old, he had the minute he saw me, long ago, put his hand on my leg as he moved his rifle for me to sit in the bus, and had a long time pawed it, caressed it, his knees pressing mine, and with the other hand on the zipper of his green army trousers, he tried to hide the enormous iron hump that got so hard, telling me to my ear with his soldier black beard, that he suddenly felt the immediate and uncontrollable need to ejaculate. He had to throw, the incision of the open wound has been too scrubbed, and its repeated frictions against his trousers had excited him too much. We then had got off at the first stop and I had satisfied him, the way he deserved it, I had vacuumed off in some shed of a liberating path, the load of his eight inches that never stopped spurting from the top of his iron roller meant by his Gods since childhood, to wipe out everything that moved without mercy. His scarface of a fierce deserts warrior killing Arabs for them to stop procreating, his dark hairy and muscled arms that held me still for him to dig in better, and his trunk of an absolute Master under legal action were worth stopping everything. For I had o lot of work to achieve on that one. A rough and sharp monster to milk he was. One rough hose of rigidity to make blow. He reminded me with his bow legs of a footballer stewing me, of the imperial virility of Zlatko in Battery Park. No story for a little girl. No time to think. No time to loose. A job that became a work of art and that brought me inexorably, working back on my task of an artist. My one and only omen.

So I'm going to leave you for the time being. I must go back to my occupation, and forget, forget again, Berlin and its handicapped queers. Forget everything. My lived loves, the spotlights of Las Vegas and my lack of hopes. My life was an inferno of idleness, powerlessness and inactivity that only the salacities of my military guys taught me with brio to get rid of. And, sucking crippled dicks became the only condition of my vanities, the only stage where I could, engorged or fucked, practice my art and be, applauded and adulated, till the last drop of their divine and abundant liquid that flooded me with glory.''




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