THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Monday, June 13, 2011

An e-mail / Un autre e-mail E->

English translation below.


Un autre e-mail.


Un autre e-mail relatif à la fidélité de mes nombreux amants me renvoyait aussi le miroir d'un pourquoi auquel je ne pensais pas, mais qui, à la lecture des phrases me faisait plus tard réfléchir sur les motivations de ces messieurs à revenir se les vider dans mes orifices de femme ménopausée dont certains en tombaient amoureux, tandis qu'il y avait des centaines de jeunes et beaux garçons à la chair ferme qui eux en ville et non loin de mon palier, auraient aussitôt dit oui en fermant les yeux pour se faire mettre par mes beaux Jules à qui j'ouvrais chaque jour la porte en grand.
Ils revenaient, effectivement, tous. Ils remplissaient mes trous certes, et bien profond comme je l'aimais, sans complication et toujours avec panache, mais aussi m'invitaient à dîner et m'offraient les voyages qu'on offre à une maitresse de mon rang quand la place de leur épouse était vacante. Mes cernes, ma petite bedaine, l'odeur des cigarettes et du whisky en bouche, mes ongles rongés, le cul un peu flétrie, la peau du cou vieillie, tout comme les désaccords, les mésententes et les engueulades, ne leur faisaient pas peur. Ils pouvaient de leur queue entre mes cuisses vivre toute leur passion. Je savais d'une façon naturelle faire vibrer leurs couilles aussi bien que leur coeur et laisser s'envoler sans réserves leurs émotions, leurs rêves, les plus glorieux comme les moins bons qu'ils ne savaient ou ne pouvaient d'un jardin secret, d'un savoir vivre ''politiquement correct'', en famille ou en société exprimer. Moi, je savais recevoir le bien comme le mal, accepter tout d'eux en un seul bloc, en une seule masse pesante et dure autant qu'un magma pâteux et épais mal filtré, faible et fragile de sensibilités qu'ils dévoilaient près de ma table de nuit au grand jour. Du bien et du mal, je n'en attendais rien; je leur en laissais vivre le libre court sans escompter d'eux qu'ils ne fussent autre de ce qu'ils étaient. C'était ça mon succès. Ils ne refrénaient rien de leur être et des réactions aux choses que je provoquais de mots et de situations afin de leur faire découvrir le plus profond d'eux-mêmes et le faire vivre dans la même profondeur qu'ils empalaient mes orifices. Leurs lancées émotionnelles, passionnelles, intellectuelles et charnelles jaillissaient en ma présence de libertés accordées d'avance qui leur faisaient sortir tout de leurs tripes, qui, en fait, ils découvraient. Ils allaient au bout d'eux-mêmes, libres de réflexions subtiles ou de conneries sans avoir à me dire je t'aime. Je les libérais de leur foutre comme de leur âme sans rien commenter, sans aucune expectative, ils avaient tous les droits, sans promesses, sans espérances, sans attitude prudente ni réservée. Du bien comme du mal, ils étaient les uniques rois de leur royaume que leur virilité à forniquer une catin de mon calibre me faisait par admiration du Mâle, grandir. Oui, ils revenaient tous, de leur grandeur, affaiblir leur pute en perpétuelle instance de coïts, et ils revenaient, en sortant tout, corps et âme. Je n'avais jamais su dissocier l'un de l'autre. Je les rendais Libres.



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Someone asked me the other day at what time I was used to wake up when I was 25. I was still 25 and I answered as if twenty-five was yesterday when I was young;

At 25, I was a cabaret singer.

At the Moulin Rouge, Place Blanche, Paris, France, the most famous cabaret in the world.

I was the star of the show. And everybody knew my name there until today.

I was used to wake up at 3/4pm. After the two daily performances, show after show, night after night every single day of the year without respite,

I would spend my nights rue St Anne, at the chicer than chic 7 Club showing off my skills of a star to later end next door at the Pimp's gay bar sucking TV stars in the staircase on the way down to the disco floor below totally pissed, or, some other night all dressed up to go dreaming I would go to the elegant Elysée Matignon discotheque instead or at number 78 of The Champs Elysées just to show off the same that I was at the 7 Club, never blasé.

Back home pampered by a brand new cock every morning, I would finally, eventually fall asleep when the white powder had vanished from my blood and would sleep till mid-afternoon.

Fresh again and up, I would take a cab to go and buy some jambon à l'os, some pâté en croûte Richelieu, some caviar or sea food or some rabbit pickled pâté at Le Bon Marché or I'd slowly walk down the hill of Montmartre where I lived to shop with my one and only new companion of the day in the lively rue Lepic food market where everybody knew Pascal's fantasies and taste.

Delicatessens and discotheque stallions were the only objects of worship I could venerate in my temple.

Some cold Winter afternoon alone, I would take an other cab to show my ass around at the Continental Sauna Club opposite the Opera House to be the queen of the harem getting laid man after man in one of its room next to the pool, later sipping Champagne at the bar between two catch .

So was my life when I was twenty-five. Frivolous and free, the artistic life of a sexual maniac.

Your Janine.
Indeed, some people were used to call me Janine as I intended to stay humble and never mean.


Just an e-mail.



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