THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
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Thursday, June 16, 2011

Réveil / Waking up. E-> 2011 version.

English translation soon on line.


Quelques extraits...


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''Chaque matin, à ci
nq heures, le soleil déjà brûlant me réveillait en caressant ma peu de ses flammes au son des oiseaux qui chantaient parmi les roses du jardin et dont les parfums, mélangés à ceux de l'air marin de la grande bleue en face de moi, me faisaient se lever en une Alice aux pays des merveilles, en petite gamine toute heureuse d'être en vie, en une star de Bel Air sans contrat à la Metro-Goldwyn qui s'emmerdait d'être inactive, et en avait plus que marre de rêvasser sur des insectes qui butinent. Elle ne pensait aussitôt éveillée, qu'à sa vie utérine en besoin constant et immédiat d'être inondée par la plus grosse queue possible et inimaginable qui la remplirait, peu importe par qui elle était portée. Ses tétons fermes et franchement pointés vers l'horizon criaient au monde à qui voulait l'entendre, leur exigence régulière à être sucés et mordillés à la pression labiale exacte, de leurs besoins. Elle cambrait alors sa poitrine pour les offrir encore d'avantage à l'épicier de la veille, au plombier d'hier, au garagiste du lendemain, au chauffer de taxi ou au libraire du jour, bref, à n'importe quelle bitte de beau ou moins beau mâle qui avait bien à un moment ou à un autre, une envie comme elle, de se les vider un max, illico. J'aimais jouir comme une envie de chier. Et je cherchais à chaque fois, chaque matin, plus tard à l'heure du thé, à celle du déjeuner ou au hasard d'un supermarché, mes chiottes, où je pouvais déféquer, chez moi, au hasard d'une rue, au volant de la voiture, dans un ascenseur, un restaurant, dans un parc, à la plage, au ski, au théâtre, dans une boutique, en avion, dans un train, là où le temps et l'espace de ma vie vaginale se trimbalait afin d'être clair et net, apaisée, jusqu'à ce que les cellules de son col de l'utérus reprennent de plus belles leurs activités pour être à nouveau et vite, étouffées par un bâton énorme qui garnirait mon trou affamé. Mon cerveau et ma cervelle n'en avaient plus rien à foutre de savoir et de philosophie, ils étaient en entier envahis de leurs neurones, d'une vision en un diagramme formant de long en large, une gaillarde verge de vingt centimètres sur cinq, au moins, robuste et infrangible, déployée au paroxysme de sa puissance et qui portait en trophée, son gland circoncis en béton armé, toujours paré à m'abreuver de sa source en lisant les pages de mon unique bible. Mes besoins de baise étaient immenses, maladifs et chroniques, ils me rongeait à chaque chapitre comme un cancer, et aucune chimiothérapie ne pouvait rien y faire. Des ongles des pieds à la pointe de mes cheveux, j'étais foutue, complètement ravagée. Il n'y avait que le foutre de mes mecs qui en permanence, pouvaient de leurs piqûres me curer, mais seule une grosse aiguille, les petites n'y faisant rien, pouvait me transfuser d'un abondant sérum qui soulageait pour un moment, toutes mes souffrances. Je recommençais aussitôt peu après, à avoir mal, encore et encore, dévorée corps et âme par cette maladie qu'aucun docteur ne pouvait guérir, sauf s'il sortait de ses jeans derrière sa blouse blanche, son énorme bitte, détruisant déjà de sa force au sortir des sous-bois, tous les soldats des armées à liquider. Dès que je voyais une ceinture arriver, un bouton à défaire, une braguette trop gonflée, je divaguais de bien être avec sur ma table de chevet, déjà tous les médicaments nécessaires qui allaient me calmer. Et j'avalais chaque pilule une à une, m'en délectant encore mieux que du caviar d'Iran. Leurs années d'études à tirailler sur cobayes de ports en parts les salopes maitresses de leur éducation, leur avaient appris, et sans répit, à bien se caler dedans celle ci-présente, avec une infinie compétence, et tout balancer de leur sérum physiologique jusqu'à la dernière goutte pour en ressortir totalement clean. Il n'était pas question qu'ils ratent leur coup, il en allait de leur nature d'étalon né pour bourrer, et de leur école, à honorer. Un long nez, de grandes oreilles, de grosses mains dont le majeur était nettement plus imposant que la moyenne, soumettaient à mes esprits et sans artifice, la taille infinie de leur engin qui allait culbuter mes orifices. J'en sentais déjà en mes veines et de loin, la réaction curative qui allait de cellules, remettre les miennes à neuf, et étouffer ainsi de leur chimie, le besoin vital de leur petite garce à se faire bourrer, dans l'oeuf. Mes sécrétions coulaient des rivières en torrents pour évacuer de ses maux, mon cancer. Il me bouffait la gorge et la croupe et le cerveau, et dès que j'étais transfusée de liquides séminaux, il m'en fallait encore, j'avais encore mal, aussitôt. À l'hôpital neuro-psychiatrique de mon imaginaire, c'est alors en bataillons entiers sortis tout droit de l'université qu'il fallait venir me soigner, à grands coups de grosses triques, inflexibles et solides, toutes de leurs polices, libertaires. Seul leur gigantesque matraque baveuse et humide en main pouvait en urgence et à la chaîne, alléger mes peines, et assommer leurs supplices en injectant direct, leur intraveineuse en ponction vaginale, ou buccale. Je n'étais pas regardante sur les grands moyens à me calmer tant qu'ils introduisaient leur aiguille creuse et pointue à déformer mes ouvertures qui s'infectaient alors, en un gros quiste aux amygdales ou en mon canal rectal. Les deux à la fois étaient aussi possible et nécessaire dans les moments pressants d'un pronostique vital qui engageait sans surprise, l'acte médical à m'anesthésier de quantités indécentes de foutre pour survivre. Il fallait m'entailler en permanence pour diminuer les tourments de mes diaboliques maux, et je devenais pour tout le corps médical, le patient privilégié de l'hôpital sur lequel ils se devaient tous d'exercer leur savoir d'inciser en amont pour ainsi et enfin, soulager de leur énorme bitte mes infernales douleurs et me récupérer saine et sauve en aval. J'étais leur cobaye d'honneur, mais aucune de leurs techniques ne pouvaient tempérer mes grandioses et incessants besoins de nique. Ils devaient inventer en laboratoire, une queue, grosse, une barre d'acier, toujours rigide, qui fournît en permanence, le nécessaire vital à mes organes et tissus d'un arrosage constant de jouvence, et qui à lui seul, me remettait quasi à neuf, fraîche et gamine, en une bonne convalescente, et cela jusqu'aux prochains syndromes du mal qui faisaient divaguer grave, tous azimuts, les corps cellulaires de leur noyau, dendrites et axones. Le cytoplasme qu'ils me transfusaient direct de leur virile semence, était le seul liquide qui remettait d'aplomb mon manque de protéine et de minéraux d'organistes alors restockés sans fin dans mes cellules. Les énergies chimiques se libéraient d'elles-mêmes de leur queue pour faire bander la mienne en transférant tous les composés spécifiques d'une femme psychologique estropiée. On ne pouvait me la couper. J'étais trop viril. Une dame de deux mètres baraquée comme je l'étais, n'aurait pu être sans particule, que mal baisée. Je préférais garder mon âme de femme, cancérigène, qui dévorait les parois musculaires et fibreuses de mon vagin, en un corps d'homme d'une salope femelle qui coulait ses rivières, pérennes.''



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