THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
WorldCopyrights@SACD 2011/ # 245252, 75009 Paris, France.



Thursday, June 16, 2011

David Lévy. E-> 2011 version.

English translation down below this page.


À David.


''Je ne m'étais nullement trompé, nos deux royaumes étaient liés, et tous deux rois, il me concédait de son extase à jouir sans se retenir au plus profond de ma crevasse l'excavant de toutes ses armes, toute sa puissance.''


''Je n'avais pas l'habitude de rencontrer des inconnus avec ces nouveaux moyens modernes de communication, un clavier, un écran, et un site de rencontres disait-on, ou bien encore un lien social, qui vous emmenait au bout de quelques lignes, dans une histoire amorale. Je savais rêver et je vivais mes rêves, c'était toute ma vie et vous l'aviez déjà lue. Je fantasmais de fantasmes qui n'en étaient jamais, pour tôt ou tard, pleinement les vivre et d'avantage, au creux de mon plumard. Je connaissais les grands voyages, et ne me privais point, au hasard d'un moment subit, toujours les yeux dans les yeux, de prendre le chemin que les Dieux de l'instant me faisaient prendre pour atteindre l'extase, et encore plus loin, avec la première âme frère qui me faisait comprendre aussitôt, ses envies, et ses besoins. J'étais sur le sol de cette terre promise, le plus heureux des hommes, entouré des plus beaux et purs garçons qui m'aimaient, et que la terre de Sion, avec brio, sans cesse me concédait. Jusqu'au jour, en ignorant encore quelle touche du clavier j'avais bien pu manipuler, je suffoquais, le souffle coupé par tant de puissance et d'Absolue beauté.
David Lévy s'affichait sur l'ordinateur, en cinémascope et en couleurs et en grand; il crevait d'intelligences, de sensibilités et de souffrances, l'écran. Je ressentais tout à coup, corps et âme, de ses grands yeux moitié-homme moitié-gamin, un mal être physique et cérébral qui faisait frétiller de mouvements vifs et courts mes jambes, et qui activait de suite, ardemment, les neurones de toutes les cellules de base de mon cerveau. Les mâchoires carrées de son visage précisément sculptées à angle droit et que soulignait sa barbe noire de trois jours, la pointe de son franc menton, fier et vainqueur, invincible, les yeux fixes d'une lignée royale d'un demandeur en attente de choses sous-jacentes que je ne savais lire, et ses cheveux sombres qui respiraient d'éclatantes lumières le sol de la terre sainte toute entière, je m'arrêtais d'écrire, pour le prendre de mes rêves les plus fous, immédiatement dans mes bras, et l'aimer, le préserver, lui garantir tous mes appuis, les plus profonds, les plus solides, les plus salaces aussi. Je voulais d'un seul coup de ce Prince au sang bleu, qu'il exultât tout de son immense pouvoir, sensible et mental. Les pixels, de leur sensation lumineuse, influaient directement sur mon globe oculaire troublé alors par trop de phosphènes que David Levy, en roi d'Israël du haut des marches de son temple, exerçait indiscutablement sur mes émotions soudaines qui elles, m'étaient fidèles et ne me trompaient jamais. Il me criait de son percutant regard son besoin, immense, d'amour, aussi pur et absolu que le mien, inconditionnel, et un manque de reconnaissance, auquel il essayait tant bien que mal, d'y faire face. Tous deux libertaires et hommes libres, anarchistes bourgeois sans se contredire, nous pouvions conquérir à travers les beaux mots qu'il me répondait, cette place. La prendre d'assaut, sans convenances de palace, montrer qui nous étions, tout prendre et tout donner, ad libitum. J'étais passé par là avant lui, en esclave juif asservi, mais avais su au cours des années, calmer mes douleurs affectives et sociales, et grandement su surmonter les barrières qui plus jeune, à son âge, m'en avaient empêché. Je voulais l'entendre parler, du fin fond de ses entrailles se livrer, sans leurre ni artifice, l'entendre geindre et se plaindre, l'entendre jouir et se donner, à moi, je laissais quand bien même, le physique de côté, se libérer de tous ses handicaps qui entouraient son coeur et ses esprits et que je pouvais, de ses grands yeux si vifs et si tristes, tout à coup lire. Sa puissance était infinie, sa force ineffable, sa beauté virile indescriptible, ses peines aussi, je les touchais du doigt. Il avait du les cacher plus d'une fois, les taire, les dissimuler, l'homme était fier, et d'une arrogance que je sublimais d'être et voulais qu'elle fût, à mon égal; les traits de son visage, durs et sévères, ne pouvaient que rejoindre les plus hauts cieux de notre âme de seigneurs, impériale. Je le savais, nous avions lui et moi, altérés de silences, marché sur ces mêmes terres. Elles ne laissaient en évidence que le grandiose de nos personnalités d'exception, que seuls, deux êtres d'un même astre, pouvaient immédiatement identifier, l'écrire, et le saisir, pour le comprendre. De prince à prince inconnus, déjà vainqueurs, nous ne pouvions aller de nos échanges virtuels, que vers la Vérité, en chevaliers sans reproche, ni peur, franc et loyal, comme l'était notre cérébral. Je savais à cet instant, attendre le temps qu'il faudrait pour écouter en vrai, toutes les complaintes de mon roi d'Israël. David Lévy était son nom. Ce n'était pas son nom, il y en avait des milliers, et lui était unique. Mais ce nom même évoquait de luttes et de difficiles pouvoirs, toute son histoire.
Très tôt, je ne recevais plus de nouvelles de lui; je ne connaissais rien et trop peu de sa vie et lui rien de la mienne, seules quelques photos et nos phrases d'une approche commune imaginaire réunissaient le désir quand bien même sublimé, de nous connaitre. Il était désormais Danny Cohen, un fantôme, c'était son mot, impalpable, une âme invisible, et qui venait d'effacer sur le black-out de l'écran, tout le rêve visible.
Je continuais, moi, de lui écrire, et lui écrivais encore, de ma main sur le clavier, et de l'autre en-dessous, de temps à autre, mais irrésistiblement devant son infinie beauté devant l'écran, des mots discrets qui cachaient ma passion pour l'intelligence supérieure de cette toute puissante grâce. Je luis écrivais que je l'embrassais avec affection, mais je lui mentais, et je pensais qu'il le savait. Je voulais, oui, l'embrasser, d'un au revoir ou d'un bonjour, mais les yeux dans les yeux, d'âme à âme, de sensibilités à sensibilités, d'intelligence à intelligence, queue contre queue. Puis, le prendre dans mes bras, fort, très fort, caler de mes mains sa nuque et voyager de ma langue sur ses dents pour emprisonner la sienne, le faire respirer à bout de souffle, le soufre coupé, déjà l'affaiblir, le faire fondre et gémir, un peu frétiller d'impatience, mettre sa bitte d'empereur à feu et à sang, puissante comme son empire, pointant tous les horizons, assurée de les vaincre et les détruire, puis, encore et encore, ne plus écrire, mais descendre le long de son cou, lentement, pour atteindre ses seins lui tenant fixe, le dos, qui s'offraient à moi, et, délicatement, subtilement, les durcir, les faire parler à mes lèvres, suceuses, et lécheuses, afin qu'elles entreprennent un jeu plus profond, plus sérieux, une succion totale de sa poitrine qui le mettrait KO et le ferait geindre, et sublimer mon nom, avant que de ne m'appliquer au plus conséquent, ses mains alors dans mes cheveux en remerciement, à attaquer la dureté de sa force virile au paroxysme de sa puissance circoncise, le faire asseoir, et lui pomper le dard, jusqu'à la fin de nos nuits, jusqu'à l'explosion finale en torrents de ses fluides, à fond de gorge, et qui nourriraient, ad libitum, en écartant bien les cartilages de mon larynx qu'il ne se priverait pas, en impérieux vainqueur, de son glorieux gland, d'élargir, d'enrichir, et, de son intelligence, de ses sensibilités, de son âme, de culbuter la mienne, au fond de mes entrailles, crevant ainsi avec fatuité, fier et beau, mes boyaux, et les frontières, pesantes et lourdes, qui l'en empêchaient. Lui procurer, physique, l'absolue extase, était mon seul but. C'était la seule chose qui nous manquait lui et moi à parfaire. Nous avions pour le reste, une union cérébrale parfaite, un transport secret mutuel, communs à nôtre exclusive histoire, belle, à nos exclusifs attributs. Désormais nous étions tous deux Libres, moi en démineur, et lui, affranchi de tant de malheurs.
Un autre de ses derniers mots venait de me dire murmuré de son souffle à mon oreille et de ses grands yeux vifs, et acerbes, derrière un doux sourire d'enfant, qu'il était naïf. Je ne me soumettais pas à cette galanterie de vainqueur; mon David avait triomphé tant de fois de Goliath qu'un sujet de son royaume ne pouvait lui faire peur. Il préférait sans doute demeurer dans l'attente d'un stand-by d'émotions qui ne lui ferait, fier et solide, robuste, égarer la raison. Il attendait pour se remettre en ligne sur cette machine électronique, le coeur sensible et l'intelligence alerte, les fanaux lumineux de ses allégations.

Et maintenant, après cette soirée élégante et mondaine qui ne m'avait comme à l'accoutumée rien apportée, après ses mots et ses silences et son regard dont il avait qualifié , lui-même, l'air, en gamin, de ''méchant'', adorable et pur à me demander mon avis sur le plus beau de son profil sur l'écran, de Danny Cohen ou de David Levy, je ne pensais qu'à lui. Je ne pensais qu'à ses yeux, demandeurs, silencieux, une ombre fantôme sans un mot, sans un son, que celui de son souffle, sans complexe quémandeur de ses désirs à fond de cale assouvis de délices, bref, je ne pensais maintenant qu'à sa queue. Et peu importe si mes pensées mentales mais bien physiques pour son bonheur, l'ennuyaient. Peut-être je ne le rencontrerais jamais. Tout était possible, c'était à lui de ses subtiles touches sur le clavier, de ses longues et raffinées mains, sûres d'elles, d'appuyer sur les lettres pour en former les mots qui, tout droit en mon gosier, de sa triomphale gloire, l'amèneraient. Son verre de Champagne à la main, habillé royal et mondain, assis sur un fauteuil comme son or dans un écrin, les jambes tendues, mais fermes, de leurs muscles tirés, les entre-cuisses écartées, mon Roy de ses silences, ses beaux pantalons légèrement descendus, ou, par pudeur, juste leur ouverture mécanique ou boutonnée défaite par tant de hardiesse et d''ardeur, ne me demandaient qu'à le traire. Et fier, de cet honneur je m'exécutais. De la base, du solide cylindre en entier, je ne le privais point, la cime de son gland conquistador percutait de plein fouet, à sa guise, l'entrée de mon orifice qui lui de bas en haut, activait de crampons sans faille, ses escalades en amont pour enjoindre l'aval de son infinie force, et emprisonnait de pluies salivaires l'autre base circoncise de son sommet humide, déjà prêt à son rythme, de cracher sa lave dont je me languissais, et de ses premières gouttes qui m'inondaient de récompenses, me lamentaient. Il arrêtait de boire pour fermer ses regards la tête en arrière qui ne laissait alors place, qu'à mes fonctions buccales, et aux gémissements, en grognements qui saluaient mes compétences, de son propre mental. Jamais plus timide, jamais plus naïf, il m'offrait son âme, maintenant ses mains fortes sur mon crâne qui ne me laissaient aucune chance de m'échapper, que celle de tout enfourner, à vouloir m'étouffer, Ô! Bonheur!, pour tout jaillir de sa source, et me la laisser en offrande, de ses glorieux jets de Prince, avaler la semence de cette unique beauté et intelligence. Danny Cohen et David Levy me gratifiaient de leur absolue confiance. Je devenais par fierté, à chaque instant de ses envies, au coin ponctuel de ses besoins, son esclave, et lui, le commandeur intransigeant de ses appétences. Je ne m'étais nullement trompé, nos deux royaumes étaient liés, et tous deux rois, il me concédait de son extase à jouir sans se retenir au plus profond de ma crevasse l'excavant de toutes ses armes, toute sa puissance.
Et ce matin encore, je me réveillais de l'autre côté de la Méditerranée en pensant à son lit, la fenêtre ouverte devant l'église de St Germain Des Prés, seul, recroquevillé sous ses draps, les poings tendus, les jambes écartées, le corps détendu mais encore fébrile, et personne pour le dorloter, et couvrir de plaisirs au son de ses soupirs, ses souffrances. Mes bras qui le protégeaient pour l'affaiblir de violents désirs au plus creux de son lit, s'offraient à lui, et il les acceptait, écartant encore d'avantage ses entre-cuisses pour m'y laisser plonger en apnée et puiser à fond de gorge, le surplus de ses tourments pour l'en libérer, les aspirer, les réduire en cendres et remettre les conduits de ses neurones à neuf, et qu'il, de ses mains solidement fixées sur ma tête, avec insistance farouche et volontaire dont je me délectais, notre communion d'un parfait nettoyage de sa bitte de maitre de sa base terrestre au plus haut des sommets, le rendait fort et puissant, comme il le méritait. L'éruption de son volcan en mes entrailles le faisait rugir d'exclamations subtiles à son image, vidant de gloire avec naturelle déférence et totale maturité, la source de sa virilité qui l'encensait de jaillir dans mon monde qu'il honorait. Je le voyais maintenant se lever fier et glorieux, redevenu vainqueur, prêt au-delà de ses forces, à conquérir toute terre et détruire sans pitié ses fâcheux obstacles. Le champ entier de son empire était libre. Impétueux, en triomphal empereur, il pouvait désormais regarder et de haut, tous les autres sujets de ses provinces qu'il dominait avec autorité et ferveur. Je le voulais grand et grandiose. Et le David Lévy de mon imaginaire, assurément l'était.
Et, plus tard, ce beau David Lévy, maintenant barbu, le regard destructeur d'ovaires et de bouches à foutre tous azimuts, aux sourires d'ange, venait de me demander mon avis pour un achat de belles chaussures. Il se préparait pour St Tropez où ses parents avaient une maison d'été. Assis à une table d'un élégant café parisien devant un verre de vin blanc et son paquet de cigarettes, le torse caché par les paquets de ses achats du jour, je ne pensais en observant ses longues mains dominatrices qui les tenaient, qu'à m'y trouver en-dessous, le libérer de son sperme et de ses doutes, et entendre gémir ce prince impérial et indestructible en un lion rugissant de plaisirs, se tortillant, sa grosse queue en bouche et ses mains sur ma tête, pour ne pas de suite, tout sortir et jaillir. Je l'entendais soupirer mon nom enfonçant d'avantage son gland en mon larynx, comme une offrande, un don de lui, une communication mutuelle qui de nous deux ne faisait qu'un. Il caressait avant de s'offrir, ma gorge, calant ma nuque, pour moi un remerciement, pour lui l'assurance que ce n'était pas un rêve et que sa bitte était bien dedans. Je continuais sous la table de bas en haut à enfourner son gland aussi puissant et violent que son empire, et à le sucer, le lécher, le mouiller et ardemment, l'aspirer, aux pressions labiales exactes que l'Homme me demandait d'exécuter. Caressant délicatement ses couilles pendantes tel un trophée, ses jambes poilues de jeune loup écartées commençaient à frétiller, il ne tenait plus sur place et sa jeunesse ne pensait qu'à gicler. Je lui laissais alors le temps de s'exciter seul, ses mains dans mes cheveux et mes doigts appuyant sur la base des veines de sa queue, dévissant ma bouche du cylindre pour le frôler de bas en haut et siroter en petites gorgées, ses premières gouttes. Il grognait, se contrôlait, il geignait, plus dure que du fer sa verge avait plus que besoin que jamais, vital, d'excaver l'orifice qu'il pénétrait presque aussitôt à nouveau pour se défaire de ses faiblesses en mon mental. C'est alors qu'immobile sur sa chaise, il prenait enfin mes tempes à pleines mains sans complexe pour les guider dans la direction de son impitoyable éjaculation. À mon tour immobile, les muscles passifs et fermes, je le laissais transfuser son liquide direct en mes conduits, mon cerveau enclos de son superbe qui m'enclavait de sa gloire. Le nectar impérial de mon empereur ingurgité, je remettais encore solide et robuste, ses trésors en ses pantalons que je refermais en implorant les Dieux de vite les rouvrir. Puis je sortais du dessous de la table, discret, sa barbe à mon oreille qui me faisait encore frémir et qui me remerciait de mots doux et malhabiles, de tant de délices.
Il partait à St Tropez où tout le monde allait être à ses pieds, Impuissant, seul à l'extrémité de la Méditerranée, je ne pouvais que le conseiller, et, peureux de ses futures rencontres admiratrices de sa force et de sa beauté, je craignais qu'il revînt à Paris abîmé. J'allais bien sûr le rencontrer, quelque part en Europe, bien après l'été, le voir, lui parler, dans sa réalité, laissant de côté mes rêves de cul avec lui inachevés, peut-être un jour avérés. Mais je voulais, grandement, de son panache et de son Auguste, glorieux et libéré, de David Lévy, Libre, qu'il les connût. Je pouvais lui enseigner comment, et nous le pouvions lui et moi, entrer dans l'Absolu.

Je ne pouvais lui mentir, que tout lui dire. et nous avions des millions de choses à nous dire. Et nous les échangerions, un jour. Mais dans cette attente interminable, je ne pensais qu'à le prendre dans mes bras pour l'affaiblir, descendre le long de son corps et me fixer sur la vaillante et infaillible dureté de son membre pointant le monde de ses entre-cuisses, pour de mes lèvres, tout à coup devenues immensément ouvertes et silencieuses, l'entendre geindre, grogner et marmonner, gémir, m'implorant d'en finir, m'implorant en jeune jaguar, de lui faire jouir à fond de gorge, tout de sa gloire.''


To David.

''I had been in no way wrong, our two kingdoms were united, and both of us kings, he granted me with his ecstasy to shoot his load freely at the deepest of my chasm excavating it with all his weapons, his infinite power.''


''I was not accustomed to meet new faces with these new modern means of communication, a keyboard and a screen, and a meeting website as they called it, or moreover, a social link, that soon enough after a few lines, took you straight away to some amoral story. I could dream and I lived my dreams, that was all my life you already had read. I fantasized with fantasies that actually never were any, for soon or later, I fully lived them anyway, and more, right in the heart of my bed. I knew what now voyager meant, never denying myself, And I knew at random of a sudden moment, always eye to eye, take the road the instant Gods made me take to reach ecstasy, and even farther, with the first brother soul who made me understand at once, his envies, and his needs. I was on the soil of this promise land, the happiest man in the world, surrounded by handsome and pure young men who loved me, and that the country of Sion, brilliantly, continuously granted me. Until that day, still ignoring which key I had pressed, I choked, immediately out of breath facing such a power of an Absolute beauty.
David Levy was on the computer, in cinemascope and in living colors and big; he blinded with intelligences, sensitivities and sufferings, the screen. I suddenly felt, body and soul, with his half a man, half a young boy big eyes, a bad physical and mental being that made my legs, in a short and quick motion, wriggle, and that, ardently, activated on the spot, the neurons of all the basic cells of my brain. The square jaws of his face that were precisely sculptured at right angle and that underlined his three days black beard, the end of his franc and proud chin of a vanquisher, his eyes of royal descendants staring at me that expected underlying things I could not read yet, and his dark hair that breathed the dazzling lights of the entire holy land, stopped me from writing, in order to, take him immediately in my arms, and love him, to keep him from evil, to assure him all my supports, the deepest ones, the strongest ones, the most salacious ones also. I suddenly wanted this blue-blooded Prince to exult all of his immense sensitive and mental power. The pixels, out of their luminous sensation, directly influenced my ocular globe that was then disturbed by too many phosphenes that David Levy, as the king of Israel from the top of his temple stairs, indisputably exerted on my sudden emotions that always, were faithful to me and never led me astray. He cried out loud with his forceful look, for an immense need of love, as pure and absolute as mine was, unconditionally, and for a lack of recognition which he tried, the way he knew how, good or bad, to face. Both of us as libertarians and free men, bourgeois anarchists without involving any contradiction to it, we could conquer through nice words he answered me, that place both had been there. We could take it by storm, without any palaces propriety, and show who we were, give and take everything , ad libitum. I had been there before he did, as a submitted Jewish slave, only i had through the years, calmed down my social and affective pains, and greatly overcome the barriers that younger, at his age, had precluded me from going ahead. I wanted to hear him speak, with the deepest of his guts I wanted him to indulge in a total free speech, with no lure, no lying, and hear him groan and complain, hear him blow and give himself to me, I even though left the physical part aside, wanted him to get rid of all his handicaps that surrounded his heart and his mind that I in one second, with his so sad vivid eyes. suddenly could read. His power was infinite, his force, ineffable, his virile beauty, indescribable, just the way his pains I could feel were. He must had hidden then more than once, kept them quiet, concealed them, the man was proud, and with such an arrogance I sublimated it to be and wanted it to be, as equal as mine; the features of ifs face, harsh and severe, could only reach the highest skies of our imperial soul. I knew we had him and I, both altered with silences, walked on those same grounds. They only let show the grandiose of our personalities of exception, and that only, two beings from the same planet, could immediately identify one an other, write it and get it firm, to understand it. From unknown prince to unknown prince, already victorious, we could only go through our virtual exchanges towards the Truth, as frank and loyal fearless knights the way our mind was. I now could out of this instant, wait the time it'd take to listen live, to the laments of my king of Israel. David Levy was his name. It was not his real name, they were thousands of them, and he, was unique. But this very name itself, recalled from fights and hard powers, all of his history.
Very soon, I did not receive any news from him; I did not know much and too little about his life and he knew just the same about mine. A few pictures and only some written lines of an imaginary mutual approach gathered together the desire even though sublimated, to know each other. He now was Danny Cohen, a ghost, and that was his word, impalpable, an invisible soul, who just erased on the blackout of the screen, all of the dream that was beforehand, was visible.
And so I kept writing to him, over and over again, with one hand on the keyboard, and an other underneath, from time to time, as I could not resist to such an infinite beauty facing me on the screen. I wrote discrete words that hid my passion for the superior intelligence of this powerful grace. I wrote I gave him a kiss with affection, but I lied, and I thought he knew it. I wanted, indeed, to kiss him welcome or good bye, but eye to eye, soul to soul, sensitivity to sensitivity, intelligence to intelligence, cock to cock. Then, take him in my arms, strongly, very strongly, wedge his nape with my hands and fly away with my tong throughout his teeth to imprison his, make him get breathless, out of breath, already weakening him, make him melt and groan, a bit wriggle with impatience, fire off his powerful prick, as powerful as his empire was, pointing all horizons, assured to defeat and destroy them, then, again and again, stop writing to get down slowly, along his neck, and reach his nipples holding tight his back, that de licitly, subtly, offered themselves to me, making them speak to my sucking, and licking lips, so they could undertake a much deep game, a more serious one, a total suction of his chest that would knock him out and make him moan, and sublimate my name, just before I'd apply myself more consistently, his hands in my hair then, granting me the oral attack of the hardness of the virile force of his circumcised power, making him seat down, and suck his knob, till the end of our nights, till the final explosion of his fluids as torrents, and that, ad libitum, would feed, wandering into the cartilages of my larynx he would not deny himself opening, and, as an imperious conqueror, with his glorious knob, enlarging it, thriving it. With his intelligence, his sensitivities, with his soul, he would hit mine, at the deepest of my guts, now bursting with fatuity, proud and handsome, my pipes, and the frontiers, all of them thick and heavy, that hindered him. To make him reach, physical, absolute ecstasy, was my only purpose. It was the only thing we both missed him and I to complete. We had for the rest, a perfect cerebral union, a mutual secret whim that were common to our exquisite beautiful story, to our exquisite assets. From now on we were together Free, me as a bomb disposal expert, and him, set free from so many misfortunes.
An other last word he wrote just told me as whispered with his breath to my ear and with his big bright eyes, and caustic, hidden by a gentle smile of a child, that he was naive. I could not submit myself this gallantry of a vanquisher; my David had so many times defeated Goliath that a subject of his kingdom could hardly bring him fear. He probably preferred to remain on his own with the expectation of a standby of emotions that would not make him, proud and strong, robust, loose his mind. He waited to be back on line on this electronic machine, quick-witted and with his sensitive heart, for the luminous lights of his allegations to make a sign.
And now, after having organized an elegant and mundane party at my place theta, as usual, did not bring me anything new, after his words and silences and that look in this yes he, himself, childishly qualified of being ''wicked'', adorable and pure as he was to have asked me which of ifs face profile would suit on the screen best, I only thought of Danny Cohen or of David Levy. I only thought of his eyes, expecting and silent ones, and of a speechless ghost shadow with no sound, but the one of his breath frankly asking me to fulfill to the max his willing desires and free them of delights; anyway, I only thought of ifs prick. and never mind if my mental thoughts though quite physical for his happiness, could upset him, as I never, might ever meet him. Everything was possible. It was up to him with the subtle keys of his keyboard and his long and refined hands, sure of themselves, to press the characters and form words with them, words which, directly, with his triumphal glory, would bring him into my gob. A glass of Champagne in one hand, dressed up to the nines and chic, sitting on an armchair as his gold in a jewel-case, stretching his opened legs firmly, pulling on their muscles strongly, my King and his silences, his beautiful trousers down, or, by decency, just the mechanical or buttoned fly undone by so much boldness and ardor, only asked me to milk him. And, proud of this honor, I complied. From the base of this solid cylinder and entirely as I did not bereave him, the apex of his conquistador knob hit right in front as he pleased, the entrance of my orifice that, from top to bottom, activated with reliable studs, the climbing uphill to order the downhill of his infinite force that was imprisoned by salivary showers, the other circumcised base of his wet peak, ready at his own rhythm, to split its lava which I languished myself of, and of its first drops that flooded me with rewards, I moaned about. He stopped drinking to close his eyes head back that only left room for my oral functions to operate, and for the groaning as snarls of his own mind that saluted my skills. Never being shy again, never being naive again, he offered his soul to me, now strongly holding with his hands my skull not to let me any chance to escape, but the one to take it all in happy being shoved into and choked, O! Lord!, of happiness, and receive his spring spurting into me as an offering, in order to swallow the glorious princely jets of this unique beauty and intelligence's seed. Danny Cohen and David Levy rewarded me of their absolute trust. I became by pride, to each moment of his envies, at the right punctual time of his needs, his slave, and him, the uncompromising commander of his appetencies. I had been in no way wrong, our two kingdoms were united, and both of us kings, he granted me with his ecstasy to shoot his load freely at the deepest of my chasm excavating it with all his weapons, his infinite power.
And this very morning, again, I woke up on the other side of the Mediterranean sea thinking of him in his bed, the window of his room opened facing over the St Germain Des Pres church, alone, curled up under his sheets, clenching his fists, legs opened, his body relaxed but still feverish, and no one to pamper him, and cover with pleasures to the sound of his sighs, his suffering. My arms that protected him to weaken him with violent desires in the middle on the bed, were offered to him, and he accepted them, now stretching more widely his legs t let me dive between them and draw deep throat, the leftover of his torments to free him from them, vacuuming them, and turn them into ashes to put his neurons canals back into order brand new, and of which, with his hands solidly fixed on my head, fiercely insisting, mastering with authority, I delighted myself with through the perfect cleaning of his master prick from the terrestrial base till the highest of the peaks, making him be strong and powerful, the way he deserved it. The eruption of his volcano into my guts made him roar of subtle exclamations, to his image, emptying with glory and a natural deference as well as a total maturity, the spring of his virility that flattered him to spurt into my word he honored. I could now see him getting up proud and glorious, becoming a vanquisher again, ready beyond any force to conquer any land and without mercy destroy its nasty obstacles. The entire field of his empire was free. Impetuous, as a triumphal emperor, he now could look down at all the other subjects of his provinces he dominated with authority and fervor. I wanted him to be grand and grandiose. And the David Levy of my imaginary, assuredly, was it.

And, later, this handsome David Levy, now wearing a beard, with the destructive looks of his eyes destroying ovaries and mouths all around, with his angel smiles, just asked me my advice for a nice pair of shoes he wanted to buy. He was on his way to St Tropez where his parents owned a Summer house, preparing himself for it. Sitting at the table of an elegant Parisian cafe, his chest hidden by shopping bags of the buys of the day, I only thought by looking at his long and fine dominating hands that hold them, of being underneath, and liberate him off his sperm and doubts, hear this imperial indestructible Prince groan as a lion roaring of pleasures, wriggling, his big cock in mouth and his hands on my head, not too soon, let everything go and spurt. I heard him sigh my name sinking his knob into my larynx, as an offering granting me a mutual communication that made both of us being one. He caressed before offering himself to me, my throat, holding tight my nape, for me a reward, for him the insurance that was no dream and that his prick was for sure inside of it. I carried on under the table from top to bottom to shove his powerful and violent knob into it, and sucked it, licked it, wetted it and ardently, vacuumed it to the exact labial pressures the Man asked me to comply. Delicately caressing his balls as a trophy while his hairy stretched out legs of a young wolf started to shake, he could hardly control,himself and his youth only thought of squirting. I them let it time to excite himself on his own, his hands in my hair and my fingers pressing his cock's veins base, screwing my mouth off the cylinder to only graze it from head to toe, sipping in small draughts, his first drops. He groaned, controlled himself, moaned, harder than steel his rod needed more than ever, vital, to excavate my orifice he penetrated almost straight away to end his weaknesses into my world, -mental. That is then when, immobile on his chair, he at last hold my temples full hands without any complex and guided them towards the direction of his merciless ejaculation. It was my passive and firm muscles' turn to stay still, letting him transfuse his liquid into my canals as my brain was enclosed of his magnificence, enclosing me with glory. The imperial nectar of my emperor once swallowed, I put, solid and robust, his treasures back in his trousers I buttoned up, imploring the Gods to quickly undo them again. Then I got off from underneath the table, discreetly, his beard now saying to my ears still shivering, the sweet and clumsy words that thanked me of so much delights.
He was on his way to St Tropez and everybody there was bound to be at his feet. Impotent, on my own at the extremity of the Mediterranean sea, I only could advise him, and, fearful of future new faces admiring his force and his beauty, I heard he'd come back to Paris, spoiled and impure. Indeed I was going to meet him, somewhere in Europe, time after Summer, see him, talk to him, in his everyday reality, leaving my unfinished blow job dreams aside that may be one day, would prove themselves being real. But I wanted from David Levy, greatly, with his panache of an August, glorious and liberated, him to know them. I could teach and how, and him and I could do it, to enter into the Absolute.''
to be continued. Incomplete translation.


No comments: