THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Thursday, June 16, 2011

Filippo II, ou/ or, La Vecchia Troia. 2011 version. E->

English translation below.


Quelques extraits...


''Il retirait de mes entrailles bien amochées sa verge un peu merdeuse et légèrement ensanglantée, et d'un autre ''Putain!'' qui m'en accusait d'être responsable, me disait maintenant qu'il devait aller se la laver, tout en ajoutant qu'à son retour pour un meilleur sommeil, j'allais de toute la nuit lui la sucer, même entièrement débandée.''


''Depuis qu'il travaillait quinze heures par jour dans une épicerie à vendre du sel et du poivre, des cigarettes et du Coca Cola, produits détergents en tout genre et des boîtes de thon en conserve, le beau Don Juan avec son salaire horaire et sa nouvelle vie misérable ne payait pas d'avantage son loyer mais buvait beaucoup plus. Les filles le délaissaient de plus en plus pour filer dans les bras d'autres Jules au compte en banque plus sécurisant, et le pauvre avec sa belle queue dont il jouait avec maestria restait seul, à boire, à se branler, et à m'appeler. J'étais devenu le seul du pays après ses trois années de déclin direct vers la clochardise depuis qu'il avait quitté Milan, à toujours être fier de lui tirer le jus, et le seul qu'il pouvait encore enculer. J'avais toujours été le seul mec à les lui vider, quand trop bourré pour les tirer, les femmes le quittaient sur le champ et le laissaient alors en rade, le foutre encore plein à ras bord, forcé d'un tel déshonneur à se retirer en reflux. J'étais celui dans lequel il pouvait se vider, il savait que ça me rendait fier et n'hésitait jamais à m'appeler dès lors que ses liquides demandaient au sommet de sa grosse queue errante et sans réponse, promptement à sortir. J'arrivais en courant, peu importe combien je m'en étais tapées avant. Fidèle au poste, je venais le jour avec le bus 947 de Netanya lui tailler sa bitte dans l'arrière boutique à la périphérie de Haïfa, moi toujours à genoux, et lui assis ou debout. Il avait pour la précision de mon travail de tête et mon confort, acheté chez les arabes du coin un coussin de velours rouge et or. Tard le soir le magasin fermé, je l'attendais alors nu, à plat ventre, les bras en croix et la jambe droite précisément relevée à angle droit sur son matelas sans draps dans sa piaule de misère, parfumé et le trou rempli d'huiles qu'il n'avait plus qu'à défoncer aussitôt entré, il m'avait donné les clefs. Il aimait voir mon dos épilé tout bronzé qui lui rappelait un peu de féminité et de sophistication italiennes l'été, les aisselles rasées et les fesses brunies par le soleil qu'il aimait commenter de mots crus que l'on sort à une salope de mon âge. Il me traitait en italien de putain, de femme du monde dégénérée, de roulure de bas quartier, en buvant au goulot la dernière bouteille d'alcool qu'il avait trouvée, puis me donnait quelques claques dans le dos, et enfournait sa bitte qu'il branlait pour la durcir, juste après dans mon libre orifice, fluide et nettoyé, prêt à être rempli et délivré de tout obstacle pour le parfait emploi. Il continuait de forniquer quelques fois en finissant la bouteille tout en m'ordonnant de ne pas bouger. Immobile et soumise à ses beuveries, je m'exécutais à ses désirs en couinant de petits cris les plus aigus possibles que je contrôlais, car poussés trop féminins et sans arrêt le faisaient jouir de suite. Il râlait à mon oreille des mots de poivrot mal articulés tandis qu'il bourrait mon fion comme à un gâteau sa frangipane, et qui me demandaient si je sentais bien sa queue me remplir et si j'aimais sa façon de me farcir la carcasse. Je répondais comme il aimait l'entendre, d'un oui, par son nom en soupirs que je susurrais le moins fort possible. J'étais le seul trou qu'il pouvait empaler et qui lui apportait encore, le soupçon d'une mâle dominance qui lui faisait illico, m'enculer plus fort en gueulant à sa femme des mots infâmes et dégradants. Il pivotait ses vingt centimètres de belle queue circoncise sans jamais quitter le bon axe, à gauche, à droite, moi accrochée à plat et rectiligne au matelas; vus du ciel, nous formions ainsi une croix dont il excavait en le vissant, son centre, de plus en plus fort, incontrôlé et vicieux, en balbutiant plein de malice, des mots confus qui me demandaient si je souffrais. Il aimait me faire mal ce bel animal, et quittais alors l'axe pour culbuter l'os, et provoquer les beuglements de douleurs d'une petite fille qu'il tambourinait à tire-larigot. Je devenais la poupée gonflable de ses caprices et le soufre-douleur de sa décadence, dans lesquels, en tout état de cause dans les deux rôles, immensément, je me complaisais, et il le savait. La relation de mon cul à sa bitte et ma fonction de récipient à sperme étaient parfaites. En aspirateur à jus il défonçait mes canaux jusqu'à ce que je branche le courant qui me faisait frétiller hanche et bassin cambrés caressant son pubis, pour le lui aspirer et en finir. Mais ni lui ni moi ne voulions en finir, j'aimais trop le sentir se vautrer sur mon dos et le rendre libre, il avait tous les droits de titiller sa bitte et tout le temps pour jouir, s'il pouvait jouir. Trop bourré, il ne débandait pas d'un pouce n'ayant que moi tous les quinze jours à garnir, mais était long à sortir son épaisse cargaison. Deux heures dans le plus loin de mes entrailles ne lui suffisaient pas à se débarrasser de sa lourde charge. Il continuait à me bourrer de sa farce, toujours aussi musclée, le gland fier d'un conquistador et la tige érigée en trophée que nul ne pouvait détruire. Il me traitait encore de salope et de sale pute, il adorait, avec quelques coups de poing dans le dos qui revalorisaient son état d'hétéro, dès lors qu'un neurone lucide soumettait à ses esprits, que c'était bien moi en dessous qu'il se tapait. Tout en m'enculant d'une moindre puissance, mais toujours aussi solide au fond de mes boyaux, il continuait de boire au goulot, m'abreuvant de quelques gouttes de son sperme subliminal en s'appuyant de son bras gauche sur mon dos, et de son tronc carrément dans ma caverne pour seul équilibre. Le Minotaure dans sa sodomie d'alcool, se moussait de me dominer, de m'amoindrir et de me percuter. Aussitôt le peu de whisky avalé, il me tapait la nuque pour bien baisser ma tête de pute en la tenant de ses deux mains, et se mettre en parallèle sur mes chemins pour carrément cette fois-ci, me défoncer à fond la caisse et pas de main morte; il fallait qu'il pousse un max, violemment sa bitte pour la faire gicler, effréné tout à coup, mais j'en avais l'habitude, à me secouer d'allers et retours en plongée pour jaillir son foutre sans compter, sans jamais savoir s'il allait y arriver. Trop fatigué de ses horaires, toujours rond comme un boulon et trop affairé à se branler cinq ou six fois par jour, je ne savais jamais moi-même en me bousculant de sa force de taureau bien vive et soudainement féroce, ce qui lui restait dans les couilles pour se les vider. Être ou ne pas être enceinte de mon bel italien était la seule question fondamentale qui traversait d'instants répétés arrivé au bout de ses forces à me baiser, notre mental. Il continuait à m'enfoncer de ses coups de queue saccadés uniquement pour savoir s'il allait y avoir de notre spectacle, un final. Il voulait se prouver à lui-même qu'il était encore capable de tirer une meuf annoncée, dont j'étais pour de temps à autre le lui en persuader, la vieille pute de service et sa femme sublimée en cobaye. Il y arrivait cette fois-ci, difficilement, mais en clouant le plus lointain et aux sons de mes petits cris de tapette féminins que je ne cessais d'émettre, sa puissance redevenue mâle et procréatrice lui redonnait l'assurance nécessaire à vraiment la posséder et tout balancer. D'un ''Putain!'' qu'il exclamait d'un ton rauque de soûlard haut et fort et en italien, il venait de me dire que je le faisais jouir, et crachais dans mon vagin comme une envie de pisser, son venin, pleuvant alors en lourdes trombes, l'abondant et crémeux liquide qu'il avait pour moi de toute la journée conservé. Il excavait le fond de ma grotte en se secouant jusqu'à la dernière goutte, la queue maintenant plus molle et démolie et la voie nasillarde, le regard un peu sadique et vaseux. Il retirait de mes entrailles bien amochées sa verge un peu merdeuse et légèrement ensanglantée, et d'un autre ''Putain!'' qui m'en accusait d'être responsable, me disait maintenant qu'il devait aller se la laver, tout en ajoutant qu'à son retour pour un meilleur sommeil, j'allais de toute la nuit lui la sucer, même entièrement débandée. Il allait de son extension de chair me l'enfiler dans mon gosier sans lâcher prise, jusqu'à ce qu'une autre partie de pompe en bonne forme soit de mise. Et il se plaisait à le dire, ne me considérant alors, en salope comblé, que comme deux orifices à écarter selon ses bons plaisirs. J'étais à soixante balais embrochée par ses tout juste trente, infatuée d'être reconnue à la hauteur de mes talents de vieille routière abâtardie, et de ''vecchia troia'', sa vieille salope préférée qu'il adorait déprécier, avilir, et insulter. Il était avec moi dans son taudis, le Maître Absolu de la ville.''


''I became the inflatable doll of his whims and the whipping-boy of his decadence.''


''Since he worked fifteen hours a day in a local store selling salt and pepper, cigarettes and Coca Cola, washing up liquids of all kinds and tuna fish tins, this Milanese stud with his hourly wage and his miserable life did not pay his rent over but drunk much more. Girls left him for some other guys' arms who had a better secure bank account, and the poor sod with his beautiful cock he used so well, remained alone drinking, wanking, and called me. I had become the only one in this country after his three years of down-grade to wandering as a hobo since he left Milan, still enjoying sucking him off dry, and the only one in town he could fuck. I always had been the only guy to empty his balls when he was too drunk to screw a girl that ran away on the spot the moment they realized it, leaving him behind fully loaded, forced to hold his load backward surge. I was the one in whom he could empty himself in, he knew that made me proud and never hesitated to call me as soon as his liquids asked at the peak of his big wandering and lost dick to get out. I then came running, no matter how many cocks filled me before. Faithful to my rules, I arrived to his Haifa outskirt from Netanya by bus number 947 to blow him off in his back shop, always kneeing now as he sat or stood up. He had bought for the accuracy of my head job and my comfort, a golden and red cushion at the nearby Arabs'. Later at night once the shop closed, I waited for him naked, laying flat on my stomach, my right leg precisely pulled up at right angle on his sheet less mattress' misery pad, stretching my arms as a cross, and perfumed, my hole stuffed with oils so he could fuck it as soon as he got in, he had given me the keys. He loved to see my hair free dark back that reminded him of some Summer Italian sophistication and feminity, just the way he loved seeing my hair free armpits I shaved and my tanned ass darkened by the sun, he loved with crude words, to comment upon with the ones you use for a slut of my age. He loved in italian to call me a whore, a degenerated woman of the wold, a low class bitch, drinking by the bottle the last one of alcohol he found, thumping my back before he broke in with his dick he plaid with to harden it, into my free orifice that was void and cleaned, freed from all obstacle and ready to be filled at its best use. He sometimes carried on screwing still drinking and ordering me not to move. Immobile and submitted to his soaks, I complied his desires by screaming little as high as possible cries I controlled, for too feminine and cried non-stop made him come on the spot. He groaned to my ears drunkard words he hardly could pronounce as he stuffed my ass the way you stuff a hen, and asked me if I did feel his prick filling me up and the way he stuffed my shell. I answered as he loved to hear it, I did, by sighing his name I whispered as weakly as possible. I was the only hole he could impale and that brought him the last touch of a male dominancy that made him right away, screw me stronger and deeper, and tell his wife insane and cruel degrading words. He revolved from right to left his nine inches beautiful circumcised cock with ever leaving the right axis off, as I laid down flat grabbing the mattress; seen from above, we were a perfect cross which he excavated screwing in its center stronger and stronger, uncontrolled and vicious, stammering full of malice, unclear words that asked me if I suffered. That great beast loved to hurt me, and then changed the axis to hit the bone, getting me scream the pains of a little girl he endlessly drummed. I became the inflatable doll of his whims and the whipping-boy of his decadence, in which, in both parts, I immensely pleased myself, and he knew it. The relationship from my ass hole to his cock and my function as his sperm receiver were both perfect. As a cum vacuum-cleaner, he broke my canals in till I turn the current on that made my hips and bent pelvis wriggle, caressing his pubis to hoover and finish with it. But neither him and I intended to finish with it. I loved far too much feeling him wallow about my back to free him, as he had all rights to fiddle with his dick and all the time to blow it, if he could. Too drunk, he never went limp one inch having only me to fill every fortnight, but it took him a long time to spit his thick load. Two hours inside the deepest go my guts were not enough for him to get rid of his heavy loading. He carried on cramming me with his stuffing, still fully muscled, with his proud knob of a conquistador and his rod erected as a trophy no one could destroy. He called me a whore and a a dirty slut again, he loved it, and with a few thumps on my back that revalued his status of a straight guy the moment one of his lucid neuron stroke his mind to realize it was me getting done underneath, he knocked me more. Still fornicating me with less power, though still solid deep in my insides, he carried on drinking by the bottle watering me with a few drops of his sublimating sperm, pulling his left arm on my shoulder and his trunk right through my cavern for all physical balance. The Minotor with his alcoholic sodomy, infatuated himself at dominating me, at diminishing and bumping me. Once the little bit of whisky being swallowed, he hit my nape to bend my bitchy head down holding it with his two hands, and parallel on me, he started to top my paths to now, screw them frantic with no mercy; he had to push to the max his dick, violently, to make it spurt, suddenly like a loony though I was used to it, shaking me with diving comings and goings for him to burst his cum generously, without ever knowing if he was about to make it. Too tired by his job and always drinking like a fish, playing with himself five or six times a day, I even did not know myself being shaken that hard, what was left in his balls to be emptied. To be or not to be pregnant by my handsome Italian guy was the only fundamental question that repeatedly crossed our minds when fucking me with all his strength. He carried on hammering me with jerky cock shots only to find out if an ending would happen to our show. He wanted to prove to himself he could still fuck the next announced girl in the line, the one I was from time to time persuading him that he could, being then his servicing old whore and sublimated guinea-pig woman. This time he could come, not easily, but by nailing into the farthest of my narrow hole to the sounds of my little feminine cries of a queer I did not stop shouting, his procreative power of a male raised up to insure him he did gain it back and could indeed spit his load. With a ''O! Fuck!'' he screamed in Italian with a deep drunkard and loud voice, he just told me I made him come, spitting his venom he kept all day for me into my vagina, pouring out as heavy waterspouts as he needed to pee. He excavated the end of my cave by shaking in till the last drop, his dick now more flabby and demolished, moaning about and looking a bit sadistic with wooly eyes. He got his cock off my damaged guts that was a bit shitty and bloody, and with an other ''O! Fuck!'' that accused me of being responsible for it, he now said he had to go and clean it, adding that on his way back from the bathroom for a better sleep, I was about to suck it all night long, even totally flat and out of order. He was with his extension of flesh into my gob, stick it in without letting go off it, till an other proper head job session takes place. And he loved saying it, only considering me then, my slut talents were flattered, as two orifices he could play with and open as he pleased for his fancy pleasures. I was at sixty spat by his early thirties, infatuated to be recognized for the level of my old and degenerated rover's talents, and for the ''vecchia troia'' I was, his favorite old slut he adored to depreciate, degrade and insult. He was with me in his slum, the Absolute Master of the city. ''





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