THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Thursday, June 16, 2011

La queue de l'Aigle, un revenant. / The cock of the Eagle, a ghost. E-> 2011 version.

English translation below.


Quelques extraits...


''D'un seul coup, je rayonnais. Et c'est mon ennui qui passait aux chiottes, laissant désormais libres, mes voies utérines et mentales à voguer comme le navire.''



''J'étais hier désemparé de solitude et d'ennui, de coeur aussi, et étais allé l'après-midi dans un sauna de Tel Aviv me taper des queues à la chaîne, cette fois-ci sans succès. Tous y étaient des retraités, moches, des grosses vaches, des grosses bedaines, que je m'y sentais encore plus seul et isolé jusqu'à ce que vite, très vite, dans les vapeurs d'eau d'un brouillard turque qui nous distinguait peu, le moins moche d'entre eux me fit asseoir sur lui en me suçant les seins pour branler ma queue. Vite, très vite, encore plus vite, j'en finissais de mes souffrances en jets de foutre sur le sol humide, et déguerpissais de cet endroit de malheur, vite douché, vite rhabillé, net et nettoyé, la chemise encore dégrafée. Je retrouvais la lumière du dehors et ma solitude qu'au fond je préférais à ces pédés de misère et dont aucun n'avait été capable de me baiser, solide et ferme. Comme à Paris, comme à Berlin, je hélais de la main le premier taxi et rentrais chez moi, toutefois sans vague à l'âme, serein, l'air un peu penaud et con, désoeuvré comme d'habitude, en stand-by d'émotions. En fait je me me dégoûtais et voulais l'ignorer, comme à chaque fois qu'aucun mâle du jour ne m'avait glorieusement baisée. La bitte furtivement manipulée ne me laissait qu'un goût amer, avec en plus, l'angoisse du futur d'un prochain mec qui remplirait en chambre, mal ses fonctions, sur la plage, dans des chiottes ou dans un camion. Il me fallait constamment de l'action pour l'unique raison d'exulter au paroxysme de ses douleurs et puissances, mes jouissances.
Je traînais ça et là dans l'appartement, mangeant quelques fraises et cerises sans les déguster vraiment, une cigarette au bec, désenchanté et à sec, sans même l'envie de me faire mettre. Je répondais au téléphone qui venait de sonner, d'une voix plate, sans diction ni agitation, sans affolement, sans enthousiasme ni sensation, au bel Haïtham, mon aigle de Haïfa, L'Aigle, qui, lui, mot après mot à mon oreille, faisait dégorger la sève de mon ennui en une secousse sismique et vaginale qui m'annonçait, de petits virgules en gros points à la ligne, peu à peu, d'une voix rauque et de soupirs, sans jouir, qu'il n'aimait plus sa femme, et que demain, il venait me voir. Je restais calme. Il ajoutait de son inégalable savoir-faire de gentleman druze, et de son accent arabe qui mettait mes seins et mon vagin en alerte, qu'il était honoré de m'avoir comme ami. Il savait en expert, que je luis étais offerte. D'un seul coup, je rayonnais. Et c'est mon ennui qui passait aux chiottes, laissant désormais libres, mes voies utérines et mentales à voguer comme le navire. Je pouvais de nouveau sur mon carrousel, de haut en bas en danseuse, de droite à gauche en slalomeuse, m'accrocher à sa gigantesque barre de chair, et ne penser qu'à jouir, avec seule en tête, la vision de ce pylône d'acier qui allait me tringler en ligne droite corps et âme, et charcuter mes entrailles pour les ramoner, nickel, et oublier sa femme. Je retrouvais à l'instant de ce curetage cérébral, le Bonheur, de cet Absolu Mâle.
Je mettais aussitôt sur la platine, la chanson de Barbara et de son aigle noir, et attendais sans tarder, qu'il vînt poser son bec sur ma joue, et dans ma main, glisser son cou avant qu'il ne m'en foute un. Je n'attendais du lendemain, que son plumage noir, et ses yeux clairs, allongée les bras en croix, qu'il pénètre de ses jets continus, caressée de ses plumes, toutes mes lumières.''


''All at once, I radiated. And my boredom was thrown into the loos, now leaving totally free, my uterine and mental lanes sailing away.''


''I was yesterday bored stiff with loneliness, at heart too, and I had gone in the afternoon in a Tel Aviv sauna to get dicks in a row, this one time, with no success. They were all retired old men, ugly ones, fat cows, with big bellies, and that made me feel even more lonely and isolated until quickly, real quick, through the water steams of a Turkish fog that could hardly let us see each other, the less ugly one made me seat on his knees to suck my teats and wank my cock. Quickly, very quickly, even quicker, I let my sufferings go into spurts of sperm on the wet floor, and cleared off that joint of disaster to quickly shower, quickly get dressed, net and clean, my shirt still unbuttoned as I left. I was back in the outside light with my loneliness I preferred to those miserable queers whose none had been able to fuck me, clear and strong. Like in Paris, like in Berlin, I hailed with my hand the first came that passed by to drive me back home, somehow not feeling blue, serene, looking a bit like a sheepish idiot, unoccupied as usual, on a stand-by of emotions. In fact, I hated myself an wanted to ignore it, as each time no male of the day had not, gloriously screwed me. My dick briefly shacked only left in my mind a bitter taste, with on top of it, the anxiety of the future from the next guy that could may be not, in my room, fill up my holes well, in my room, on the beach, in loos or in a truck. I continuously needed action for the only reason to exult to the max from their pains and powers, my pleasures.
I dragged along my body here in there in my apartment, eating a few strawberries and cherries I did not really enjoy, smoking a fag, disenchanted and dry, not even willing to be done. I answered the phone that just rang, with a flat voice, with no diction ad no excitement, softly, no enthusiasm or sensation, answering to handsome Haitham, my eagle from Haifa, The Eagle, who, word after word to my ear, made the sap of my boredom disgorge into a vaginal and earth tremor that announced me, from little commas till boldface fresh lines, bit by bit, with a hoarse voice and sighs, but no orgasm, that he did not love his wife anymore, ant that tomorrow, he'd come to see me. I remained quiet. He added with his unique savoir-faire of a Druze gentleman, and with his arabic accent that made my nipples and vagina quite alert, that he was honored to have me as a friend. He knew as an expert, that I entirely offered myself to him. All at once, I radiated. And my boredom was thrown into the loos, now leaving totally free, my uterine and mental lanes sailing away. I now could on my carrousel, up and down as a dancer, from right to left like a slalom skier, hold myself to his gigantic bar of flesh, and only think of coming, with as one vision in mind only, the one of his iron pylon that was about to bump me straight forward body and soul, and mangle my guts to sweep them off, clearly, and forget his wife. At this moment, I gained back from this cerebral curettage, Happiness, with this Absolute Male.
I on the spot on the turntable, put Barbara's song on and her black eagle, and no longer waited for him to put his beak on my cheek, and in my hand, grazing his neck before he frankly hit me and deep. I only waited from tomorrow, for his black plumage, and his bright eyes, laying down with my arms as the cross, for him to penetrate with continuous jets, being caressed by his feathers, all of my lights.''





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