THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
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Thursday, June 16, 2011

UNE DIFFÉRENCE / One difference. E->

English translation below.


Quelques Extraits...


''Il culbutait de sa nature à tirer son coup pour vider ses couilles, le plus profond de mon âme qui recevait la sienne et la gardait en elle.''


''Je savais que j'étais différent, différent en tout lieux et en toute circonstance. Mon allure, ma dégaine, mon physique, ma façon de vivre, ma voix, mon vocabulaire, ma liberté des mots et mes rébellions me renvoyaient tous les miroirs de cette certitude à travers les réactions standard, des autres. La condition de ma sexualité et elle seule, était l'unique gouvernante de cet état de fait. Je n'étais pas un pédé ordinaire, assurément pas comme les autres, et en aucun cas un homosexuel normal de tous les jours, n'entendant rien à la normalité de ces choses ni à leurs jours qui ne ressemblaient en rien aux miens, moi le grand brun qui sortait d'on ne sait où, trop atypique d'un cérébral et d'un physique handicapés pour en être un.
Enfin enculée derrière un arbre à treize ans en tapette insignifiante qui avait cherché depuis des années déjà, en draguant dès l'âge de dix ans ses professeurs et ses petits copains de CM2, à l'être, et au plus profond de mon sublimé vagin, suceuse acharnée de bittes au lycée ou entre deux chiottes publiques, si c'était ça être pédé, alors sans doute je l'avais été, pour devenir plus tard une folle dingue un peu mondaine, toujours entourée de beau monde dans de beaux décors et qui terminait maintenant sa vie de grande dame en vieille tantouze confirmée. Les milliers de bittes qui m'avaient enfournée depuis quasi cinquante ans, avaient depuis bien longtemps conférées le sacrement de cette confirmation, mais aucune d'elle, aucune, ne m'avait fait rêver ni monter assez de sang dans ma verge pour me branler comme une cinglée, en regardant une photo, ou devant un film porno, ni même les attouchements de gamines en touche-pipi auxquels assise au lycée, dans un train, dans un avion ou dans un bus, debout dans un urinoir de gare ou vespasienne de rue, de nombreux pédés s'étaient sur moi au cours des années adonnés sans ne jamais me faire bander. Il fallait me courtiser d'abord, séduire la Dame, me caresser ensuite, m'enlacer fort et ne vouloir que moi pour m'embrasser, et puis surtout, soupirer à mes oreilles les sons de ses désirs de mâle à me posséder sans concession pour m'en foutre un coup afin que j'écarte les cuisses pour que Monsieur, me rentre dedans et jouisse. Mes lèvres ouvertes lui étaient tout autant offertes s'il préférait du moment, en mon profond conduit buccal se défaire. J'étais une femme. Une femme asservie. Et intérieurement pleinement heureuse de l'être. Je cherchais Le Mâle; le Mâle Absolu et la totale extase de sa jouissance, bien avant mon petit et égoïste orgasme mental de femelle. J'étais une vraie Femme dans mon grand corps de macho et dont ses accents arabes, renforçaient la virilité de ma présence que je détestais trop masculine pour ne pas dévoiler aussitôt, la femme fragile et amoureuse de L'Homme, que j'étais. Je cherchais en midinette à chaque coin de rue, non pas sa grosse queue que je voulais certes grosse à l'image de Son infinie puissance et de Sa sublime supériorité, mais à enfanter la gloire de notre union. Et cette gloire à honorer sa femme, provoquait alors à mes éjaculations, les mêmes, mentales et de coeur, de mes ovaires en ébullition. Il culbutait de sa nature à tirer son coup pour vider ses couilles, le plus profond de mon âme qui recevait la sienne et la gardait en elle.
J'observais indubitablement cette différence de l'homme qu'il était et de la femme que j'étais pour aussitôt en moi, conserver, affaiblie et divaguante, de la pointe de mes cheveux à celle de mes pieds, fragile et remplie du sperme de mon unique mari, mon seul et Absolu Mâle en attendant le prochain, tout de son être à lui pendant des heures, des jours, des journées, des années. Je respirais encore ses élans et ses moteurs et sa verve qui l'animaient à m'avoir tant baisée et me faire gueuler quand il m'avait déjà laissée sur le palier, une fois son coup tiré et les couilles à plat bien dégorgées. Il était alors sans doute vite remonté dans sa voiture pour aller voir ailleurs et regarder une bière à la main, un match de football à la télé, ou aller en tirer une autre en m'ayant très vite oubliée, tandis que moi, j'avais encore et toujours, le goût de sa grosse bitte en tête à m'avoir prise, ou la saveur de son énorme queue en ma mémoire affective et que j'avais si bien pompée pour son plaisir. Il envahissait encore des mois plus tard à mon vaginal cerveau et mon coeur de gonzesse, le fauteuil sur lequel il s'était assis et le mur où il s'était adossé pour se faire sucer, comme il envahissait les draps du lit ou le canapé sur lesquels il m'avait enculée. Il traversait ainsi et pour toujours, de sa sueur encore mes pores, et affectait de fait mes faiblesses de femme qui au fond d'elle-même, ne l'avait jamais quitté. Je le gardais en moi jusqu'à ma mort et n'étais pas du tout certaine que c'était un fait acquis chez les pédés. Un mâle n'était pas une femelle, et une femelle n'était pas un mâle. Donner et recevoir était une nature certes établie, mais rarement entre deux mâles, ni entre deux pédés, qui eux. ''




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