THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
WorldCopyrights@SACD 2011/ # 245252, 75009 Paris, France.



Thursday, June 16, 2011

Une mouche à miel / A honey fly. E-> 2011 version.

English translation below. gs

''À dix-huit ou vingt ans, ils ne pouvaient de leurs lois islamiques forniquer petits vagins et gros culs, et n'avaient que moi d'infirmière pour se libérer dans mes trous, de leurs écrasants attributs.''



''Je ne rêvais plus de mes mâles arabes depuis longtemps; ils venaient tous m'honorer sans complexe au hasard d'une pulsion subite qui les titillait un peu trop, et venaient en bus, en voiture, à vélo ou en train, à chameau, se défaire de la charge trop pesante de leur grosse queue, déjà baveuse et solide au seuil de ma porte, aussitôt prête à enfourcher leur petite pute pour en repartir au plus vite, débarrassés de leur fluide et libérés. Ils abandonnaient femmes et enfants pour accourir dans mon bordel et enfin jouir au plus profond de leur mouche à miel. Ils savaient tous indiscutablement, que j'étais attiré, inconditionnellement, par leur foutre grandiose de bédouins. Les plus hardis d'entre eux, les plus riches aussi, m'envoyaient d'Arabie Saoudite de l'argent via une de leur connaissance à Zurich ou à New-York pour m'inviter illico à Amman où nous nous retrouvions dans d'élégantes chambres de luxueux hôtels qui de ma présence agenouillée dessous leur djellaba blanche, devenaient, leur énorme bitte en galantine dans ma tronche, un nouveau bordel dont nous étions coutumiers et qui changeait ainsi, la routine de nos vies respectives. Ils pouvaient à Ryad ou à Djeddah se taper de beaux mâles, beaucoup plus exclusifs et beaux que moi, mais tant de discrétion à braver les interdits leur empêchait de tirer leur coup au quart de tour. Arrivés dans la capitale de la Jordanie pour quelques jours, ils pouvaient alors faire valser mon cul et empaler ma gorge à leur guise, vingt-quatre heures sur vingt-quatre à saliver des papilles et du gland, émerveillés devant telles friandises. Ils me mettaient si profond à feu et à sang, et je ressortais de leur tronc encore planté droit, en bouillie. Leur pointe de vainqueurs circoncis en manque de femelle dont ils pouvaient à tout bout de champ, faire la saillie, valait bien ce voyage de prince. J'étais fier d'être à de tels étalons, leur jument. Et, rentré en terre promise, je continuais à faire dégorger les besoins de mes bédouins dans ma piaule, comme à l'accoutumée. Une routine dont je ne me lassais point. J'étais née pour ça, en aspirateur de foutre à arabes, et je nettoyais tout, les coins et les recoins de ma langue de nabab, couilles et autres liquides sécrétés confondus qui les faisait gémir de couinements salaces, tandis que leurs meufs locales, de leur faible mental, s'occupaient de leurs gosses, ne savant occuper les fonctions de pute de ménage. Elles ne savaient qu'écarter les cuisses pour être inséminées en un instrument fonctionnel, de reproduction. Elles ne connaissaient rien de pratiques lascives sexuelles. Et je ne m'en plaignais pas, leur mari venaient chez moi ouvrir ma porte en grand, et tout le reste. Elles ne savaient pas lécher un trou du cul pour faire geindre un mâle, aussi mâle puissance mâle fut-il j'en trouvais toujours la faille, ni avaler à fond de gorge direct dans les boyaux, la semence de leur matraque à fond de cale, et dont je me nourrissais tout droit de leur tenace trique à l'attaque. Sans modération, sans considération, ils défonçaient toutes mes ouvertures en bulldozer à coeur joie, et remplissaient mes ovaires en attente à l'orée du bois. Glorieuse poubelle à foutre dont ils venaient se défaire, j'étais fier d'être leur récipient à ordures préféré où ils pouvaient tout jeter, tout cracher, j'en étais respecté. Ils m'amenaient même leurs frères et leurs cousins du haut de leur colline qui délaissaient leur troupeau de moutons et de chèvres pour être décrottés, astiqués, nettoyés à sec, entièrement décrassés. Ils arrivaient chez moi comme une envie de chier, pour vite, précipités, s'empresser de se décaper de leurs lourdes charges, et je briquais comme une folle acharnée, tout. Je n'en laissais pas une miette, et ils congratulaient de beaux mots dans leur langue, leur petite tapette. Certains même pour éviter le voyage, me demandaient d'acheter une camionnette, et de venir les assouvir, direct sur un simple appel, dans leur village.
J'étais devenu très affairé, l'unique pensée à leur cervelle pour se les vider, un balayeur de renom qui ne se faisait jamais prier pour aller bosser. Arrivé sur place toujours discret aux yeux de la famille, ils me demandaient de soulager après eux, les couilles des vieux passaient par déférence en premier, leurs potes jeunes bergers derrière un palmier ou dans une baraque de tôle, mal arrangée. À dix-huit ou vingt ans, ils ne pouvaient de leurs lois islamiques forniquer petits vagins et gros culs, et n'avaient que moi d'infirmière pour se libérer dans mes trous, de leurs écrasants attributs. Ils étaient à ma toute première vue, déjà frénétiques, les jambes arquées qui frétillent, remuant de mouvements vifs et courts, leur grosse main sur la queue, des rois de la nique, et moi, souriant et affable pour les mettre à l'aise, je passais aussitôt à table. Avant d'enfourner leur gland d'acier humide en mon gosier, je bouffais d'abord en apéro leurs boules à pleine bouche, ils devenaient fous. De mots d'un arabe que je ne comprenais pas, ils m'insultaient de bonheur en me traitant de pute et d'ordure, de garce et de salope sans âme, d'infinie souillure, mais je comprenais qu'ils attendaient de moi avec fougue et violence, que je vénérasse leur bitte, énorme, trop longtemps restée au repos et qu'ils, suivant les mêmes lois, ne branlaient pas. Honoré de faire partie du troupeau, j'étais leur nouvelle chèvre qu'ils pouvaient tirer jusqu'à l'os. Une fois lessivés de leur fourbis en mon container, je n'avais pas à quitter de mes genoux le sol, ils en appelaient un autre pour me passer à la casserole. En animal apprivoisé, je me mettais alors à quatre pattes à faire le beau pour qu'ils pussent les uns derrière les autres se libérant de leur garde, m'attaquer franchement par derrière, et tambouriner mes parois anales pour les ramoner nickel. Ils embrayaient se calant sur mes hanches, le mécanisme en pilotage manuel qui les faisait m'enculer à la vitesse supérieure, me tapant aussi sur le dos tel un coup de cravache sur un cheval pour le faire galoper, et ainsi plus vite, au plus profond de mon asservi cérébral, gicler, en mâle martial, en attendant que le prochain fût arrivé pour remplir leur petite pute, toujours dévouée, et loyale.''


At eighteen or twenty, they could not according to Islamic laws, fornicate small pussies or fat asses, and only had, as for only nurse, the one I was to free in my holes, their overwhelming attributes.


I did not dream anymore of my Arab males since long ago; they all came without any complex to honor me at random of a sudden pulse that tickled them a bit too much, and they came by bus, by car, by bike or my train, riding a camel, to clear the too heavy load of their big cock, already solid and dribbling at my doorstep, at once ready to mount their little bitch and leave quickly, freed from their fluid they came here for to get rid of. They left women and children to come to my bordello running and come into the deepest of their honey fly. They know I was indisputably, unconditionally attracted by they grandiose bed0uins cum. The bravest of them, also the richest, sent from Saudi Arabia money via an acquaintance of theirs in Zurich or New York that invited straight away to join them in Amman where we met in elegant rooms of luxury hotels, and where, my kneeing down presence beneath their white djellaba became, their enormous dick stuffing my head, a new brothel of which we were accustomed and changed that way, the routine of our mutual lives. They could indeed, in Ryad or in Djeddah, get beautiful men laid, more exquisite and more handsome than me, but so much discretion at defying the interdicts stopped them to fuck on the spot as they wished. Once in the capital of Jordan for a few days, they could make my ass waltz and impale my gob around the clock as they pleased, buds and knob freely salivating the way they desired it. They got in me so deep screwing me by storm, that I got off their prick still hard and straight, as mush. The end of their vanquisher circumcised trunk in need of a female with which they could all the time serve, was worth this principal trip. I was proud to be to these stallions, their mare. And, back in the promise land, I carried on in my pad making my bedouins' needs disgorge, as usual. A routine I was never tired of. I was born for this, as a cum to Arabs vacuum cleaner, and I cleared everything, corners and nooks with my tong of a nabob, balls and other secreting liquids that made them groan of salacious squeals, while their local broads, with their weakened mind, attended to their kids, not knowing to occupy the functions of a cleaning whore. They only knew to peen their legs to be inseminated as some reproduction functional instrument. They knew nothing of lascivious sexual practices. And I did not complain as their husband came home to open my door they opened big, as well as all the rest. They did not know to lick ban ass hole to make a male moan, as virile as he was I always found the failure, nor did they swallow deep throat direct into their guts, the seed of their bludgeon deep down which I fed myself with from their stubborn attacking stick. Immoderate, without any consideration, they broke in all my apertures as bulldozers with a light heart, filling up my ovaries waiting at the skirt of the wood to be hit. As a glorious cum trash they came to free, I was proud to be their favorite garbage recipient in which they could throw everything, spit everything into. I was respected for it. They even brought their brothers and cousins over from the top the hill who let their goats and sheep herd to be cleaned off, polished, dry cleaned, entirely washed from too heavy dirt. They arrived home as a sudden need to shit, to quickly, in a hurry, clean themselves off from their heavy loads, and I polished, hounded, like crazy, all. I never let a crust go, and they congratulated with nice words in their language, their little sissy. Some even, in order to avoid the trip, asked me to buy a delivery van, so I could simply come on call and satiate their appetite in their own village.
I had become very busy, the only thought of their mind to empty their balls, a well known sweeper that was never fussy to go to work. Once I discretely arrived on the premises away from family eyes, they asked me to finish the older ones off first, as a matter of respect, until younger shepherds behind a palm tree or in some lousy sheet-metaled barrack arrived to be attended to. At eighteen or twenty, they could not according to Islamic laws, fornicate small pussies or fat asses, and only had, as for only nurse, the one I was to free in my holes, their overwhelming attributes.'They were as soon as they aw me, already frantic, their bowed legs wriggling, moving into short and quick gestures, their fat hand on their cock, kings of fucking, and I, kindly smiling to make them feel comfortable, I straight away started my head job at the table. Before shoving into my gob their wet iron knob, I ate first as aperitif their balls full mouth, they became crazy. With Arab words I could not understand, they insulted me of happiness calling me a trashy whore, a bitch and a slut with no soul, an infinite stain, but i could understand they expected from me with ardor and violence, I immediately venerated their enormous prick, that staid too long at rest, and which, following the same laws, they could not wank. Honored to be part of the herd, I was their new goat they could screw to the bone. Once their gear washed off into my container, I did not have to lift my knees off the ground as they called an other one to top me over. As a tamed animal, I then fixed my hands on the floor on all fours looking good so they could one off duty after the other, frankly attack me from behind and bump my anal canals to sweep it clean. They let in their clutch grabbing my hips to manually pilot the mechanism now fucking me at a superior speed, slapping also my back as you flog a horse with a crop to make him gallop, so that at the soonest, at the deepest of my submitted mental, they could spurt as a martial male, waiting for the next one to come along and stuff his little whore, always devoted and loyal. ''




No comments: