THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Thursday, June 16, 2011

DES COUPS, DES BLEUS, DES HÉMATOMES. E->

English translation below.


Quelques Extraits...


'' Embroché de derrière, je vivais à Sodome le fabuleux coït anal qui me reliait inconditionnellement à l'Homme, libre alors d'exprimer de mes cordes vocales, toutes les malices de mes douleurs à être asservi, et récompensé par de tels honneurs. ''



''Les épanchements et sécrétions de mes liquides qui coulaient de mes rivières vaginales en suçotant celles de mes partenaires pour au final, en avaler de gloire, bien ciblée et buccale, la grandiose explosion, me mettaient toujours en transe cérébrale et physique, gigotant alors sous les frissons de ma peau, jambes et pattes pour parfaire à merveille, ma danse de Saint Guy. Les troubles nerveux de mes contractions musculaires reflétaient d'homme à homme, l'absolue dévotion d'une femelle à son mâle de cultures séculaires, bien avant que les apôtres et les Sages ne s'en mêlassent, même si de Cesar à Laurent Le Magnifique, cette vénération au mythique phallus était chose commune, et de tous âges, l'unique prière pour une bonne bourre, et aussi souvent l'occasion pour quelques pudibonds, d'une bonne nique. Je les laissais de côté les puritains et les bégueules, peu assurés de leur corps à en exulter ses caprices et le faire beugler de merveilleux délices. Empalé en mes voies orales, je ne pouvais certes gueuler la bouche pleine, toutes les fièvres de mon mental, laissant ainsi libre court à mes muscles, la totale expression de traduire leur Salut. Embroché de derrière, je vivais à Sodome le fabuleux coït anal qui me reliait inconditionnellement à l'Homme, libre alors d'exprimer de mes cordes vocales, toutes les malices de mes douleurs à être asservi, et récompensé par de tels honneurs. Mais il en fallait plus à mon mental de ces fornications anales. Remué de toutes parts par les membres virils qui pointaient dans mes trous tous les horizons, durs, fermes et solides, inflexibles à me foutre au fin fond de mes boyaux des coups de trique acharnés et sans pitié, je me devais de toute mon âme, de faire éclater la leur de Mâle au grand jour, poings et mains déliés, en sauvage, animal et barbare, tudesque, Hannibal ou Néron, à me taper, me frapper, me cogner. En guerrier revanchard ou en prince sanguinaire avide de cruautés et de sourires à observer sous les supplices, jusqu'à la mort le sang se vider, une fois le liquide de leurs couilles totalement déversé en mes conduits ils n'avaient plus grand chose à faire pour se libérer de leurs tensions, ni grands stratagèmes à défouler leur infinie puissance nerveuse de leurs pulsions.
En petite garce fébrile et femelle redevenue vierge, je savais avec les mots d'un mastodonte romain qu'ils venaient de se tirer dans les catacombes, les rabaisser, la queue molle et impotente et sans quintessence, les excéder de leur maigre vaillance, et dépasser toutes les bornes de leur entendement, les énerver de leur impatience de jouissance, et titiller notre alliance. Prenant les poses les plus outrageusement féminines, je me soumettais, petite, à leur indubitable supériorité, et commençais ma prière de trainée à les insulter, de paroles condescendantes d'abord, puis de celles qui touchaient tout droit à leur exclusive et typique vanité masculine, provoquant ainsi l'envie sous-jacente mais grande, de me buter. En chevaliers dont je trayais le suc, je ne recevais par respect, que leur regard méchant, penseur, mais de plus en plus distant et inquiet. Je continuais comme si de rien n'était, les traitant alors de trous duc, eux qui me traitaient de pute, pour à un moment ou à un autre qui n'allait pas tarder, recevoir une bonne raclée que je voulais sévère et des plus méritées. '' (...)


About punches and bruises.


''Outpourings and secretions of my liquids that ran through my vaginal rivers while sipping the ones of my partners to finally, swallow with glory, right in and orally, the grandiose explosion, always put me in a physical and cerebral trance, wriggling then under my shivering skin, legs and paws that perfectly completed my St Vitus' dance. The nervous disorders of my muscular contractions meant man to man, the cultural and secular absolute devotion of a female to her male, way before the apostles and the Sages made their business of it, even if from Ceasar to Lorenzo The Great, this veneration to the mystical phallus was a common thing to be, and through all times anyway, the only prey for a good fuck to get, just the way for other some prudish guys around, the occasion was right here for them to mock. But I left aside the puritans and the prudes feeling insecure of their body to exult its whims and make it scream its delights. Empaled all through my oral pipes, I could hardly scream with a mouthful, all the fevers of my mind, letting then my muscles express the total meaning of their Salvation. Spat from behind, I lived in Sodom the fabulous anal coitus that unconditionally stuck me to the Male, now free to express with my vocal cords, all of the mischievousness of my pains at being enslaved, and rewarded by such honors at being screwed. But my mental needed more than these anal fornications. Moved in all parts by these virile rods that pointed out, hard, firm and solid, in my holes all horizons, inflexibly punching in the deepest of my guts their frantic cock shots without any mercy, I had with all my soul, to burst theirs of a Male loud and clear, and untie it from its chains to turn'm into the real them, as a savage born, an animal, barbaric, teutonic, Hannibal or Nero, thumping, beating, punching me. As a revenging warrior or a blood-thirsty prince greedy for cruelties and smiles watching under tortures, till death the blood gutting out, once the liquid of their balls had poured into my canals, they did not have much to do to free off their tension, nor big stratagems to unwind their infinite nervous power off their pulses.
As a weakened little bitch and a female who became again a virgin, I knew with words of a Roman colossus they just did in the catacombs, to put them down, now with a flabby and impotent dick with no quintessence, and drive them mad off their lousy bravery, tickling their impatience of lewdness, and upset our alliance. Posing in the most outrageous feminine ways, I submitted myself, petite, to their indubitable superiority, and started my prey of a slut insulting them, with condescending words first, then with the ones that hit right through their so exclusive and typical male vanity, getting then the underlying but strong, envy to knock me out. As knights whose sap I milked, I received in return by respect, only their wicked thinking look, though more and more distant and worried. I carried on as if nothing happened, calling them bastards and jerks after they called me a whore, in order to, soon or later but rather soon, get a real good trashing I intended to be severe and that I deserved.''(...)



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