THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Thursday, June 16, 2011

Keith, le noir. Keith, the black guy. E-> 2011 version.

English translation down below.


Quelques Extraits...


''En placide mouche à miel, je me posais la question essentielle. Je n'étais plus certaine de tout prendre et de pouvoir me faire mettre.''



''De Washington D.C., et de plus près de l'American Army basée à Grunewald près de Wansee, il arrivait, pour garder en bon soldat loyal et fidèle, le mur de Berlin pour que l'on ne vienne pas nous déranger. De ses deux mètres dix, ce géant baraqué et si costaud qui me faisait peur, m'avait chez Andreas le temps d'une rencontre, abordé, dans ce tout premier bar à pédés inauguré en mille neuf cent vingt-quatre, à côté du KaDeWe. Déjà bourrée avec trop de cognacs que la Gaby me resservait aussitôt finis, je divaguais, je chantais, je dansais, je batifolais tandis que les autres teutonnes blondes et châtains le regardaient les yeux émerveillés, dans l'espoir d'une bonne nique sous l'emprise de ses grosses mains plus noires que l'Afrique. Tout était chez lui démesuré de force et de puissance, ses épaules étaient des remparts, ses bras un pont-levis, son cou une tour de garde, ses jambes une tour d'angle, son regard une meurtrière, et ses lèvres un chemin de ronde sous le nez énorme d'une tour flanquante posée là comme un plier. Je n'osais penser au reste quand moi, petite brune juive et arabe toute menue et minuscule devant l'imposante masse de ce château fort, les gestes excessifs d'une folle en vadrouille avide de vivre sa féminité le cul toujours un peu serré, je continuais à fumer et à boire les verres qu'il m'offrait en lui parlant de conneries, en anglais. Assise au comptoir sur un haut tabouret, il me prenait debout, dans ses bras pour embrasser mes senteurs d'alcool qui ne lui faisaient pas peur, devant les yeux envieux des autres sodomites qui elles, ne pensaient qu'à sa bitte de nègre. Moi, je papillonnais, je butinais, et j'en rajoutais tout en velours, les bras tendus derrière son cou en femme amoureuse, comme dans une scène de film tourné à Hollywood. Sa grosse voix grave au vocabulaire soigné me disait que j'étais la plus belle, et de toutes ces sottes, en bonne française, la plus rigolote. D'un seul coup, un peu titubante et dispersée, il prenait mes quatre vingt kilos de viande dans ses bras pour m'élever de la terre et les soulever, mon verre à la main, et de l'autre, accrochée à ses leviers les jambes dans le vide, nez contre nez, il narguait les autres tapettes en me roulant une pelle. Je me sentais obligée aussitôt, de ne rien lui refuser. L'homme n'avait rien d'un africain, et savait fort bien en parfait américain, jouer avec sa poupée devant les yeux effarés de la galerie, pour l'épater. Le spectacle était haut en couleurs et en qualité, puis il me reposait sur le tabouret se collant alors derrière mon dos à me peloter et me faire boire, il ne suçait pas, lui non plus, de la glace. Mais c'est alors que je sentais, effrayée, à la hauteur de mes hanches, sa queue vive et bandante, immense, se plaquer à ma peau en de subtils et doux allers et retours, toutefois bien déterminée, plus tard, à me défoncer, tandis qu'il mordillait de ses dents d'ogre, ma nuque, chaque paluche pinçant la pointe sensible de mes seins devant tout le monde. J'avais pu enfourner dans mes boyaux, après maintes expériences mais désormais avec brio, trente centimètres de chair épaisse bien dure et bien ferme déployée en totale érection, mais là, en placide mouche à miel, je me posais la question essentielle. Je n'étais plus certaine de tout
prendre et de pouvoir me faire mettre. La douceur de ses gestes que sa rarissime force physique contrôlait me séduisait, mais je n'étais pas habituée à la négritude de cheveux courts frisés et huileux, ni à la violence d'une telle queue pour entièrement me lâcher et me faire tabasser. Il me fallait encore boire pour ne plus y penser. Tous deux bien amochés après deux bouteilles de Rémy Martin terminées, il me reprenait dans ses bras les jambes dans le vide pour me porter au taxi, et en déesse, m'emmener chez lui. J'avais dans la voiture, encore un peu lucide sur le chemin de Dahlem ses mains emprisonnant mes cuisses, sérieusement peur pour mes fesses, et je n'osais, froussarde, lui caresser la bitte, qui elle, sans cesse, s'érigeait, énorme et au-delà des mots, en épée de Damoclès.
Arrivée chez lui dans un appartement de G.I. d'une caserne isolée, ses treillis sur un cintre et les bottes par terre bien cirées, il me faisait encore boire, cette fois-ci du whisky, au goulot. Il avait tout compris de moi et de sa petite fille à soldat. Bien irriguée de gnôle à quarante degrés, il commençait à me déshabiller en me léchant comme un singe la peau, un doigt dans mon trou et l'autre main entière dans ma bouche. L'homme voyait les choses en grand et je n'en menais pas large. En Bardot nue, lui encore à ne rien dévoiler pour se faire en mâle absolu d'avantage désirer, il me portait en sirène sur son lit pour m'y poser, et flatter de beaux mots, la définition parfaite de mon corps, des pieds à la tête. Il s'allongeait dessus sans me brusquer, et de ses grosses lèvres serrées, cherchait les points sensibles qui me faisaient frétiller, gémir et soupirer. Me laissant aller en essayant d'oublier le monstre qui allait m'écarteler, en bonne actrice hollywoodienne avant d'être en pièces, je le laissais faire en murmurant son nom, tranquille et sereine, jusqu'au moment où, la foudre de passions lui tombait dessus pour d'une seconde, arracher violemment sa ceinture, la jeter à terre, et défaire sa braguette en prenant mes jambes pour les foutre en l'air tout en me giflant. C'est alors que je voyais en face de moi pour la première fois, prise de panique, sa colonne de marbre noir circoncise plus grosse et plus haute que celles de St Pierre et qu'aucun décimètre ne pouvait plus compter. Je fermais les yeux et tournais la tête sur les oreillers, de côté, d'un geste de désirs exquis qui taisait les craintes constantes de souffrances à mes esprits. Les tibias accrochés à son cou d'acier, il cherchait l'entrée qui allait le libérer de sa verve en se cramponnant à mes faibles cuisses. Il venait de la trouver, et de son gland en fer forgé, préparait le terrain sans trop pousser, jusqu'au moment quand, bien humide et humecté, à ma petite cervelle arrivaient les forces entières alliées de leurs blindés et missiles qui nous protégeaient du communisme, et la voix chétive de mon cerveau l'implorait alors avec vigueur, de m'exploser. Il me remplissait aussi sec de son bloc en entier, d'un seul coup. et fulminait, furieux, de coups odieux il me bourrait dans l'enfer sans sortie de ses irascibles allers et retours avec son tronc de métal qui me faisait hurler, tonner, gronder de douleurs. Les nerfs à bout, je m'égosillais de mon mal empalée par son python royal. Il adorait. En petite fille bien rossée, je me mettais un instant à couiner, pour l'attendrir, peut-être, et me protéger, mais il m'enculait alors de plus belles, encore plus violemment en m'incendiant pour mon bonheur le plus constant, de sottises et d'insanités, sans prendre de gants. Il prenait, allez savoir, sa revanche sur un apartheid ou sur ses officiers blancs qui lui donnaient des ordres, ou sur les juifs, qui eux en Amérique à la différence des nègres, récoltaient tous les honneurs. Il pouvait maintenant en commandant de tout bord, exécuter les siens que je subissais, presque mort. Je revivais le moment quand enfin, trop pris de délires à me sauter comme un pantin, son missile stratégique à longue portée qui raclait mes carlingues, allait percuter mes abimes les plus profondes et les éclater, lançant son engin à toute allure pour faire explosion et sauter le bouchon. Je recevais en mes soupapes tous les débris de son avion dégoulinant en torrents, tous les fleuves de ses frustrations, en une inondation que prolongeaient interminable, ses épanchements. Il rugissait de chaque coulée, et moi, pour feindre le remerciement à son agilité de m'avoir amenée ici pour me tirer, je branlais ma petite queue minable, à ses yeux adorable, et qui m'ordonnaient d'une voix forte, d'activer, et de gicler. J'en finissais aussitôt d'un orgasme sublimé, puis il se retirait aussi vite qu'il était entré, reversant à ma bouche le whisky au goulot, en me disant que plus tard, dans la nuit, d'un profond sommeil trop alambiqué, il allait d'un réveil forcé avant son service de cinq heures, me remettre à flots, pour le sucer, en vainqueur. Il me serrait dans ses gros bras pour me calmer, et amoindrie, en fée, je m'endormais. Le réveil de quatre heures annoncé, je revenais à la vie la bouche à peine éveillée déjà enfoncée par son pylône en béton armé. La tête posée sur les oreillers que bloquaient ses genoux, je m'agrippais au sommier et lui laissais ainsi en sorcier, ma gorge travailler sans pouvoir respirer. Il me faisait cracher, tousser et dégueuler, et insistait à fond de train dans le plus lointain, pour la pénétrer. Les lèvres musclées mais les commissures écartelées, je reprenais de mon superbe et le laissais s'y engouffrer, avec la pression exacte de leur partie charnue adaptée aux veines de sa verge, pour qu'enfin, un tel morceau à ingurgiter pût s'en émouvoir, pris de pitié, et tout balancer à fond de gosier. Ne pouvant dire mot, j'activais le vacillement de ses couilles qui esquintaient mon menton, alors à pleine main, les tortillant dans une autre direction, et en appuyant, fort, de mon pouce sur l'immense base de son muscle royal. J'en avais l'habitude pour vite les finir, la pression sur la veine était radicale, je pouvais enfin faire jouir sa monstrueuse bitte, lui rejoindre sa base au pont des espions dans sa guérite, et moi, bien amochée, me rendormir.''


''As a placid honey fly, I started to wonder about the essential question, whether I could take everything in to get laid, or not.''


''He was coming from Washington D,C., and closer from here, from the American Army based in Grunewald near Wansee to keep as a good soldier, the Berlin wall for us all not to be disturbed. From the top of his six feet eight, this so strong built guy that tried at Andreas' to pick me up, scared me as I sat in this first queer bar established in ninety hundred twenty four next to KaDeWe, searching for a new face to meet. Already drunk by too many cognacs Gaby refilled as soon as as finished, close do delirium I sang and danced the camp way while the other blond Teuton puffs with wondering eyes hoped to get laid by his big fat hands darker than Africa. Everything of his force and power in him was bigger than big, his shoulders were ramparts, his arms a drawbridge, his neck a guarding tower, his legs two pillars of a fortress, his look a killing loophole, and his lips a watching path under the enormous noise of a flinging tower set here in the middle of his face like a stronghold. I did not dare thinking of the rest as I, a small and minuscule little Jewish Arab girl in front of the impressive masse of this chateau fort, with overdone gestures of a vain and proud queen on the go eager to live her feminity, carried on smoking and drinking the drinks he paid me talking about stupid things, in English. Sitting on a high stool at the bar as he stood next to me, he took me in his arms to kiss me and smell my alcoholic steams that did not frighten him in front the envious eyes of the other sodomites who, only had in mind his negro prick. I fluttered about gathering nectars, and over did it all in velvet stretching my arms way behind his neck as a woman in love, just like coming out of a scene that were being shot in Hollywood. His big deep voice with a refine vocabulary told me I was the most handsome, and as a good French girl among these idiots, the funniest one. Suddenly, a little bit tottering and scattered, he took my forty five pounds of flesh in his arms to lift me off the stool, a glass in my hand and the other grabbing his gears as my legs flew in the air, noise to noise, taunting the other faggots giving me a French kiss. I at once felt I could not refuse him anything. The Man had nothing of an African guy, and knew perfectly as an American, play with his doll showing off in front of the jealous eyes of the crowd. The quality show was set on a high level and pretty much lively, then he sat me back on the stool sticking my back, pawing me and making me drink as he neither, did not drink water. But that is when I felt, scary, at the level of my hips, his hard and living cock, enormous, flattening my skin with sweet and subtle comings and goings , though quite determined, later, to screw me as he nibbled with his ogre teeth, my nape, each hand of his pinching my sensitive nipples in front of everybody. I had been able to shove into my guts, after many successful experiences, eleven inches of fat thick hard and firm flesh in total erection, but this, as a placid honey fly, I started to wonder about the essential question, whether I could take everything in to get laid, or not. The sweetness of his caresses his so rare physical strength controlled, seduced me, though I was not used to the negritude of short oily curly hair, nor to the violence of such a dick to let me entirely go and get strongly beaten up by it. I had to drink more in order not to think of it. Both of us quite pissed by two bottles of Remy Martin we drunk, he lifted me in his arms again my legs flying in the air to take me to the cab waiting, and as a goddess, drove me to his place. I seriously worried in the car, still a bit lucid on the way to Dalhem while his hands imprisoning my legs, about my buttocks, and I did not dare, as a coward, to play with his cock that never stopped erecting big, big beyond words. I had, that is for sure, no doubt, a Damocles sword over my head.
As we arrived in his G.I. apartment of an isolated base, his trellis put on a hanger and his shining polished army boots underneath, he made me drink again, this time scotch, and by the bottle. He understood everything of his little slutty girl. Well irrigated with forty degrees booze, he started to undress me. licking like a monkey my skin, with a finger in my hole and the other hand fully stuffing my mouth. The man saw big and I was not playing the clever one then. As a naked pin-up as he still had his clothes on not to reveal anything yet to make himself desire more, he carried me again like a mermaid to his bed to lay me down, and flattered with nice words, the definition of my perfect body from head to toe. He laid over me gently, and with his big pressing lips, looked for the sensitive points that would make me wriggle, sigh and groan. Letting myself go by trying to forget the monster about to quarter me, as a good actress before being reduced into pieces, I let him do his bit whispering his name, quiet and serene, until the moment when, the thunder of his pulses suddenly attacked him in a second to violently take his belt out to throw it on the floor and undo his fly to now take my legs up his shoulders thumping me. That is when I could see rite in front of me for the first time, panicking, his black circumcised marble column bigger and higher that St Pietro's one that no decimeter could not measure anymore. I closed my eyes and turned my head the other side on the pillows as a gesture of extreme pleasure that immediately shut up the constant fears of suffering that stroke my mind. My shinbones stuck around his iron neck, he searched for the liberating entrance to his rod, clinging himself on my weakened legs. He just found it, and his wrought iron knob prepared the ground without pushing too hard, till, quite wet and well dampened, the entire allies forces of my dreams with their tanks and missiles that protected us from communism, my feverish brain ordered to my sighs to implore him to explode me. He filled me up in one lot with his full block of hard flesh fulminating, furious, with odious comings and goings cock thumps fucking irascibly my no way out inferno, and I, with his metal trunk up my insides, was only left for screaming, thundering, rumbling in a nervous wreck, bawling myself of pains being impaled by his royal python. And he loved tit. As a well beaten little girl, I started to squeal in order to move him, may be, and protect me, but he screwed me even stronger and stronger, violently, calling me insane names. He was taking, who knows, his revenge over some apartheid or over his white commanding officers who gave him orders, or over the Jews, who in America, in comparison to the blacks, got all the honors back. He now could as a full power commander, comply his I endured, almost dead. I was back to life when at last, his delirium at wildly fucking me like a puppet, was about to make his strategic long run missile that scraped my cabin, hit my deepest chasms and burst them, launching his fast machine to the precise target to explode it and make the cork blow. I received into my valves, all the wreckages of his plane dripping as torrents, all the rivers of his frustrations as one endless flooding that extended his outpourings. He roared at each flow, and I, making pretense of thanking him for his cleverness to have brought me here to screw me, I wanked my miserable little dick his eyes adored, and ordered me with a strong voice, to activate, and spurt. I was on the spot through with my sublimated orgasm, then he got off my hole as quickly as he got in, pouring straight way back into my gob by the bottle, the scotch left, saying that later over night, out of my too alcoholized sleep, he would force me to wake up before he's back on duty at five, in order to set things back in order servicing him as a conqueror, sucking him. He held me in his big arms to cool me down, and, diminished, as a fairy I felt asleep. The four o'clock ringing just been announced, I was back to life again not awakened yet, with his iron pylon right into my mouth. My head on the pillows his knees blocked, I grabbed myself to the bedsprings letting him as a sorcerer, work on my breathless throat that made me spit, cough, throw up, as he insisted in the farthest, to penetrate his dick to its fullest. With my muscled lips and their quartered corners, I took the situation in hand and let him engulf himself there with the exact pressure of their fleshy parts adapting themselves to the veins of his rod for such a piece, to finality fit in and perhaps, move him once more, even by mercy, in order to make him squirt quicker, deep throating. Unable to pronounce a word, I activated the unsteadiness of his balls that slapped my chin, with my full hands then, twisting them in an other direction and pulling, strongly, with my thumb on the immense base of his royal muscle. I was used to it to finish them off that way, the pressure on the vein was radical. I could at last, make his monstrous prick blow, and he, could now go back to the spies bridge and work in his sentry-box, as I, bashed about, could now go back to sleep.''

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