THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
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Monday, June 13, 2011

Un rêve de femme / One woman's dream. E->


English translation down below. gs


Quelques Extraits...


''Maintenant je lui apportais sur un plateau d'argent à ses genoux, le décanteur de whisky en serviteur, et versais dans son verre de cristal reflétant la lueur des bougies, le rare single malt de Highland Park ramené de Berlin qu'il, fixant mes yeux, buvait en maître. Aussitôt le verre reposé après la première délicate gorgée, il caressait lentement mes cheveux, puis, doucement, entourait de sa main ma nuque, et, élégamment, caressait du bout d'un doigt, la pointe de mes seins. J'ouvrais alors la bouche d'un souffle, avant que, léger, de sa barbe, il n'effleurât mes joues, et ouvrit délicatement la sienne, pour de ses lèvres entourer les miennes, ses puissants bras enlaçant alors, ma poitrine entière. Il me transportait dans une longue et silencieuse nuit d'été d'un désert brûlant dont il était sous la canicule, le chef absolu de toutes les tribus, et moi, la préférée de tous ses harems. Ses mains velues et fermes descendaient solennellement sur mes fesses qu'il écartait, en en flattant, longuement, les formes, tout en m'embrassant. Il les pelotait, comme un boucher sa viande, posément, s'attardant de caresses sur les rondeurs exactes de sa déesse. C'est alors qu'il, d'un art habile, précautionneusement, me levait comme un objet précieux, et s'accolait à mon dos, le frôlant de son audacieux membre taillé dans le roc, et me disait en arabe dans le cou, le couvrant de baisers, langoureux en des mots volatils, qu'il me voulait sienne, que j'étais sa chienne, son unique amante, son unique belle. Il me guidait de ses mains sur mes hanches et de sa barbe noire à mon épaule, dans la chambre où je le dirigeai, accolés, sa queue d'étalon solide et fière dans la fente de mes cuisses me poussant, d'une manière lente, et de façon exquise, résolue. Arrivés au bout du couloir aux portes des infinis plaisirs, il m'allongeait sur le lit comme une fée, calant ma tête sur les coussins qu' il rehaussait de gestes attentionnés, caressant à présent l'étoffe de la djellaba qu'il soulevait pour l'ôter, en câlinant, tout doux, mes jambes et ma croupe en attente. Puis il se mettait sur moi, les mains alors agrippées à mes cheveux, la bouche dévorant mon visage, sa queue autoritaire, impérieuse et aimante, entre mes cuisses. Les bras en croix, je me laissais aimer gonflant ma poitrine dans la mélodie de mes geignements, et la ferveur de sa virilité arabe à me baiser. Femelle passive née pour recevoir, fragile sultane faite pour gémir par tant d'ardeurs sous la dictature d'une telle vitalité de Palestine, je soupirais, dans sa langue, la même phrase, la seule phrase, plusieurs fois répétée, 'ana bahebak habibi', en haletant de sa volupté à lécher sa femelle. Je lui disais que je l'aimais. C'est alors que je hurlais son nom de mille et une jouissances lorsqu'il soulevait, plus brutalement, en ses bras mes jambes pour tirer dans la cible qu'il pénétrait aussitôt. D'un seul coup d'un seul, il entaillait de son impérieux spectre mon trou qu'il défonçait en sauvage et me mettre enceinte. Je portais avec honneur sa descendance. L'Arabie toute entière m'épousait. Et la progéniture d'Ihab que de mon rêve de femme je composais, était celle aussi de Einmhad et de Seeman dont je portais l'enfant, moi femme arabe soumise et dévouée à son mâle pour procréer. Je mettais au monde le fils du Cheik de mes époux sublimés, l'essence même de l'apothéose de mon orgueil à appartenir à leur monde. Un rêve de femme merveilleux. ''



Ihab
, Einmhad et Saaman.
I had prepared myself to the greatness of my Arabian Prince.



''I was sitting at the bar of the Massada street in the Hadar district of Haifa. Ihab, the handsome beard actor from Jerusalem was sitting on my left while flattering my looks , my intelligence and my ass with its impressive pilosity that was slowly driving my mind mad of desires for them to let my orifices ready to be broken in. Emhad standing on my right, a fine and beautiful white bearded Palestinian man with a tanned skin coming out from the thousand and one nights whose every word he could say was getting me a hard on by so much of a brilliant mind and instant understanding of the heart, was, with the feel of his breath to my neck, my ears and my hair, amplifying the future slaughter to come my holes were dying for. Behind me, slightly touching my shoulder every time he lifted his glass, the unique beauty of exception which from every angle was a delight to look at, Siiman. The three of them were whispering to my ears Arabic sounds, slowly weakening my body at each word with delirious female desires of delight, refilling my bear glass directly from the counter without paying for it every time the bartender left, chatting away. Siiman, a bit embarrassed by my admiring eyes staring at the magnificence of his beauty was only looking at my lips from the top of his Arab black and shining short cut beard that emphasized the harsh square of his jaws and outlined the definition of his lips that made me prey the skies to be one day mine. I was surrounded by the most absolute Arab male beauties on earth. ''



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