THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
WorldCopyrights@SACD 2011/ # 245252, 75009 Paris, France.



Thursday, June 16, 2011

PRÉFACE / PREFACE. E->



English translation down below this page.


Quelques Extraits...


''Je n'avais eu que trois contrats dans une vie, et n'avais jamais travaillé, passant le reste du temps à être entretenu et me faire baiser, pour ignorer tout du futur et mieux vivre le présent. Les trois années à chanter au Moulin Rouge de Paris où il était venu de nombreuses fois m'y applaudir, il les avait oubliées. Les deux passées au Dunes de Las Vegas où il était venu quatre fois m'y visiter, ne comptaient plus, et l'unique film que j'avais à Berlin d'un premier rôle tourné, il ne l'avait jamais vu. Je n'avais passé le reste de ma vie de showgirl, qu'à m'occuper de mon cul.''


''Trente-cinq ans plus tard après notre dernier au revoir, je rencontrais, moi toujours divine pensais-je, lui les cheveux vieillis et l'oeil moins vif, mon premier grand amour. Enfin j'entends d'un premier grand amour ne pouvant le comparer alors aux milliers d'autres qui plus tard allaient me passer dessus, la première vraie grosse bitte maîtresse de mon éducation. Une circoncise, énorme, qui de ses couilles très british toujours pleines sur la banquette avant de la Rolls, m'avait tout appris de ma condition de salope et de femelle à fermer ma grande gueule pour la réouvrir aussitôt, large et bien dans l'axe du cylindre. Et, de son compte en banque bien garni, elle avait fait des merveilles et m'avait parfaitement enseigné à en vivre le luxe dont elle m'avait carrément instruit d'opulence. Le grand amour théorique de ma jeunesse, m'avait permis aux aurores de mon existence, d'entrer de suite dans la grande vie pour en connaître tous ses plaisirs infinis et constants, dès lors que j'avais su prendre le train en marche et qui lui, de sa locomotive à toute allure, m'avait permis d'une misérable situation de midinette tapineuse de province, d'en sortir, pour ne plus quitter Londres ni le Food Hall de Harrods où il me payait le caviar quotidien de mes luxures. Et il revenait me retrouver ce grand amour, là, tout seul, à l'aéroport de Lyon, la ville natale de mes tous premiers tapins, trente-cinq ans plus tard avec ses soixante dix balais bourrés de solitude, fouiller dans mes années passées pour savoir des futures, ce qu'il pourrait encore en tirer.
Dans les beaux paysages du Beaujolais où nous allions passer quatre nuits au château de Bagnols devant son parc et son lac à s'y raconter nos vies d'une autre époque, et celle de la Renaissance dont il appréciait les arts et les sciences, l'amour n'était plus au rendez-vous. Je ne savais trop quoi lui dire de mes rêves que j'avais pensé vivre aux quatre coins de la planète à la recherche de la gloire, en une reconnaissance absolue de mes talents. J'avais frappé à toutes les portes de Los Angeles pour y devenir acteur, à celles de Las Vegas pour y devenait chanteur, et de Melbourne à Paris en passant par Berlin, Tel Aviv, Vienne, Athènes, Nassau et Buenos Aires et que savais-je encore, j'avais fait le feu au cul, tout le reste et encore plus. Je devais lui raconter quoi à lui, lui qui d'une vie bourgeoise et confortable de pédé snobinard n'avait jamais pu avec ses millions et sa grosse bitte, quitter le sol de la terre. Je n'avais eu que trois contrats dans une vie, et n'avais jamais travaillé, passant le reste du temps à être entretenu et me faire baiser, pour ignorer tout du futur et mieux vivre le présent. Les trois années à chanter au Moulin Rouge de Paris où il était venu de nombreuses fois m'y applaudir, il les avait oubliées. Les deux passées au Dunes de Las Vegas où il était venu quatre fois m'y visiter, ne comptaient plus, et l'unique film que j'avais à Berlin d'un premier rôle tourné, il ne l'avait jamais vu. Je n'avais passé le reste de ma vie de showgirl, qu'à m'occuper de mon cul.
Les longs repas d'une cuisine raffinée autour d'une belle table, et les cognacs et le champagne devant les immenses cheminées, remplaçaient les silences de ses effarements à m'écouter. J'avais accepté son invitation la bouche alerte et déjà pleine, prête à le satisfaire au cas où, n'ayant rien à perdre. L'espoir à mon âge délabré d'y rencontrer un nouveau Dieu salvateur de jouvence et de billets de banque en qui croire, m'avait fait d'Israel déplacé. Son manoir du Dorset et la maison de Kensington m'attiraient encore entre les bons plats d'une cuisine d'exception et les dix millions de Livres sterling qu'ils représentaient, agitant vivement à tous mes esprits, les envies effectives de les dépenser, sans trop penser à ce qu'il y avait encore à jouir de délices avec les autres millions qui restaient en Suisse. Les cellules nerveuses de mon cerveau, en silence forcé, n'arrêtaient pas de ruminer et de bonnes grâces, les saints reliquats de ces tabernacles genevois, quand bien même le siège avant de sa nouvelle Bentley n'avait plus le même attrait, et que sa grosse bitte jadis didactique en ma présence, s'était éteinte et n'avait plus rien à m'apprendre. J'avais de toute façon déjà tout perdu et n'avais jamais rien gagné. Je connaissais les hommes et leur grosse queue par coeur, et le coeur là-dedans n'avait rien à y faire, j'aimais trop me faire mettre. Les auditions passées me renvoyaient en raté à chaque fois droit au mur, et je me réfugiais alors dans les bras des beaux mecs pour y être empalé et tout oublier des misères. Hors mis ces trois contrats d'une vie, j'avais obtenu des centaines d'autres rôles de putes, hors caméra, qui eux glorifiaient à mon mental, mes ouvertures anales et buccales à la place des oscars. Tout à coup après le gigot que nous avions commandé et bouffé en hommes distingués, le ventre plein et les babines arrosées, il me le faisait remarquer, distant et peu amusé, ma situation actuelle qui en fait n'était qu'une prolongation sans faille du passé, la décrivant en un nouveau personnage qui traînait désormais avec lui, une forme d'art. An ''art form'', dit-il dans sa langue natale. En midinette un peu idiote que j'étais restée, je trouvais cette approche pas mal, moins brutale que l'image d'un artiste raté, mais en quelques instants et bien au-delà et vite, elle me faisait très mal, et arrêtait net, mes divagations sur sa fortune que j'avais initialement présumée pouvoir de mes charmes un peu abîmés, reconquérir, et arrêtait net aussi, mon appétit. Je me sentais petit. Il pensait que j'errais encore mes talents en rêves sous quelques lumières du moment pour inventer le personnage que je m'étais fixé d'être. Pourtant, je n'inventais rien ni me m'etais fixé d'être quelqu'un d'autre de ce que je n'étais, j'étais, c'est tout, le même, et de l'adolescence à la ménopause. J'avais traversé les années à les vivre ces rêves, quatre décennies à faire jouir mon cul et mon âme, et à reproduire mes ovaires et mes rêves, et mes rêves encore, et j'y étais arrivé. J'avais accepté de mon grand corps et de l'extérieur, que tout était matière, pour ne me consacrer qu'à eux sur cette terre. Il ne comprenait ni mes phrases, ni mes mots, ni mon style de vie, et en était choqué, broyé d'impuissance à la pénétrer et à l'accepter.
Mon histoire était la mienne, son parcours le mien, que pouvais-je raconter d'autre? Je n'étais que le résultat de mes expériences de cul, immenses, queue après queue, mâle après mâle, tous aussi diverses les uns que les autres. Je les avais tous faits dégorger, ils se comptaient maintenant par milliers, et de ces expériences devenues avec le temps quasi scientifiques, certaines étaient lourdes et légères, d'autres fastueuses et minables. À défaut de ma gueule sur un grand écran en son stéréo, j'avais avec eux tous, de ces innombrables scènes lubriques, écrit mon mon propre scénario, avec ma grosse trique. J'étais une mosaïque de contrastes et je n'y pouvais rien. J'avais été riche et pauvre, chanteur et putain. J'arrivais à la soixantaine encore fraiche et svelte quelque part entre la guerre, le halo des projecteurs, la prison, les millions, la routine et l'extraordinaire, j'avais tout fait, et plus encore, et essayais de vivre de façon sereine, le moins malheureux possible de n'avoir pu vivre en artiste reconnu, ni même en salope amoureuse qui tous deux, cachaient tant bien que mal leurs peines. Il ne comprenait rien à ma vie, rien, absolument rien, rien à l'argent ni à l'amant que je n'avais jamais eus et n'avais toujours pas. J'étais incompris, et sans vouloir en faire, un incompris solitaire. Et je pensais alors en digérant cette pesante remarque et le gigot, que sans doute tout au long des années je l'avais toujours été. Il ne pouvait me situer dans le clan bien gardé d'une bienséance matérielle et morale. Ma vie grandement atypique déstabilisait manifestement, la sienne d'un homme riche, mais ordinaire, et pédé. Un bar, une verre, un mec, une petite queue pour s'envoyer en l'air et son tour était joué. Moi, c'était la terre entière qui m'était passée dessus, tous orifices confondus. Je n'avais que ça à raconter et à dire, et cette terre, vous allez la lire. J'étais honnête et n'avais rien à cacher du fin fond de mon subliminal vagin à la pointe de mes seins en passant par le petit vélo qui tournait en permanence dans mon cerveau. Il n'y avait de mes odyssées, aucun ombrage. Tout était clair, limpide, lucide, mais jamais modéré, ni sage.
En fait, il n'y avait rien à comprendre ni à vouloir le faire quand on savait aimer. Connaitre et aimer l'autre sans le calquer sur sa propre vie m'était chose facile, animale, instinctive, et ce flair naturel l'emmenait illico et à chaque fois sans me poser de questions, au creux de mon plumard, en une totale acceptation. Il avait peur de tout quand je n'avais peur de rien, en perpétuelle recherche d'une reconnaissance jamais atteinte et de mon absolu mâle que je cherchais encore. Je n'avais atterri nulle part et ça emmerdait le monde, ça l'emmerdait lui. J'étais toujours le même et celui que vous allez connaitre. Plus libre que lui, vous saurez l'accepter, ou le fuir. À vous d'y ajouter les adjectifs de ma vie et de se complaire à les interpréter, si vous le voulez ainsi. Je m'étais envolé, loin et haut, là où tous mes rêves m'avaient guidé, puis emmené, puis enlevé. Ils avaient été le moteur indiscutable de chaque voyage, et m'avaient fait parcourir la planète plusieurs fois dans tous les sens pour atterrir en leur coeur. À chaque départ, à chaque arrivée, l'élan était intact et passionné, vif et effréné. Vous allez entrer dedans, en moi, et dans chacun de mes nombreux amants. Il la voyait faraude et fanfaronne mon histoire. Pourtant je la connaissais bien, elle et le monde. Je l'avais absorbé de toute queue sur chaque continent, il était rentré dans mes veines, dans mon cul et dans mes neurones. Il était rentré encore et encore dans tout. Je l'avais bu. Je l'avais bouffé. Je l'avais entendu. Je l'avais chié. Il m'avait enculé, tant de fois farci, et je l'avais écouté. Il m'avait fait bander et réfléchir et pleurer. Mon savoir déréglait trop son égo bien bourgeoisement établi. Il ne déréglera pas le vôtre. Tout au plus il bousculera un peu vos valeurs et vos codes, peut-être. Il s'agissait en décidant de tout dire, de préserver et conserver radicalement mon existence des forces positives qui lui restaient. 
Alors, voilà, c'est à vous. Ce livre est à vous, il vous est dédié, corps et âme. Vous allez pouvoir page après page, avec doigté, vous seul, en privé, entrer dans la mienne et dans mon cul tous deux intimement connectés. À vous maintenant, d'y pénétrer, au plus profond, leur monde.
Car, de toute cette histoire de chanteur et d'acteur à trois contrats dans une vie, il ne me restait qu'à aller me faire enculer même si c'était depuis l'âge de quatorze ans, déjà fait. Entre les pompages de queues et les enculades à la chaîne et autres curetages, c'était bien là, les seuls contrats d'une vie que les Dieux avaient concédés, avec brio, d'exécuter, à Hollywood, comme ailleurs, pour que j'y fusse applaudi de bravos.''



''I only got three contracts in my entire life, and never had worked, spending the rest of my time at being kept and fucked, ignoring the future to live the present better. The three years when I sung at the Moulin Rouge of Paris where he came so many times to applaud me, he had forgotten them. And the two years I spent at The Dunes in Las Vegas where he came four times to visit me, did not count anymore, and the only film in which I got in Berlin the first role, he never had seen it. I only had spent the rest of my life of a showgirl, attending to my ass. ''


''Thirty years later after out last good bye, I met, me divine as always thought I, my first big love with older grayer hair and less keen eyes. Well, I mean by first big love not being able to compare him to the thousands of others that would later get me laid, the first real big master cock of my education. A circumcised one, that with its British balls always full on the front seats of the Rolls Royce, that had taught me to live my condition of a female slut and shut my gob to open it straight back wide, in the right axis of the cylinder. And his well off bank account had made wonders and perfectly taught me to live in complete luxury of which I knew all of its opulence. That one big love at the dawn of my existence had allowed me to enter into the high life as soon as I had known to jump quickly on the running train to London that led me fast to the Harrods Food Hall and to the every day caviar of my lewdnesses, not letting me ever going back to my life of a provincial whore on the game. And that one big love was right here, alone in front of me at the Lyon airport, the town I was born in and had lived all my games, thirty-five years later with his seventy years of solitude, trying to dig in my passed years to find out if he could still get something out of them.
In the beautiful landscapes of the Beaujolais, we went to spend four nights at the Chateau of Bagnols in front of its park and its lake to tell our lives of an other age away, and the ones of the Renaissance of which he appreciated the arts and the sciences for love was not there anymore. I did not really know what to tell him about dreams I though I had lived throughout the world searching for glory as an absolute recognition of my talents. I knocked at all the Los Angeles doors to become an actor, at the Las Vegas ones to become a singer, and from Melbourne to Paris via Berlin, Tel Aviv, Vienna, Nassau and Buenos Aires and who knows where else, I had done with my constant burning ass, all the rest and more. What could I possibly tell to him, him who lived a bourgeois and comfortable life of a snobby queer all along, him who never with his millions and his big cock had been able to lift off the ground off the earth. Big meals of a fine cuisine around a nice table and the cognacs and the champagne we sap replaced it all. I had accepted his invitation my mouth already full, wide opened and quite alert to satisfy him just in case as I had nothing to loose. The hope at my wrecking age to meet a new saving God of youth and bank notes I could believe in had made me fly from Israel to here. His Dorset manor and the Kensington house still attracted me between the nice courses of an exceptional cuisine, and the ten millions of Pounds that they meant, infinitely moved in my spirits, the effective envies to spend them, without thinking too much of what for other delights I could spend away with the other millions that remained in Switzerland. The nervous cells of my brain, forced to be kept quiet, never stopped ruminating the holly remainders of these Geneva tabernacles, even though his fat prick once next to me didactic, now was pretty inactive on the front seat of his new Bentley and had nothing more to teach me. I already had lost everything anyways, and never had earned anything anyway. I knew men and their huge dick by heart though my heart was never at stake as I loved being screwed more than a lot. The auditions I had sent me each time back home as a failure, and I sheltered myself in the arms of beautiful handsome guys to be impaled and forget the present, only thinking surely, of the future contracts to come. I only got three in four decades, that was all my life, and got hundreds of roles as a whore off stage that glorified to my mind, my anal and buccal apertures instead of the oscars. Suddenly, after we finished the lamb we ordered, with a full belly and wined lips, he said, describing a new character that dragged along with him his passed, I was an ''art form''. As a stupid little girl I somewhat still was, I found this approach not bad, less brutal than the image of a failed artist anyway, till I realized in a minute, quite quickly and beyond these two words, it actually huts me and hurt me deeply, stopping on the spot, my rambling over his fortune I thought my slightly rotten charms could gain back, stopping also straight way, my appetite. I felt little, small, tiny, a peanut, a good to nothing, low. He thought I was still dragging along my talents and my dreams under some lights of the time in order to invent the character of my mind I fixed years back. I did not invent anything. I had kept crossing the crossroads of my dreams and living them, at making my ass and my soul blow, at reproducing my ovaries, and I had been there. He could not understand my phrases, nor my words, nor my style that shocked him.
to be continued



No comments: