THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Thursday, June 16, 2011

Yossi, le religieux.

English translation soon on line. gs



Quelques Extraits...


''Il m'enculait une deuxième fois, cette fois-ci en une chienne levrette agenouillée sur le lit la tête baissée en offrande sur les oreillers, ses mains sur mon gros cul en train de le baiser dans l'axe exact de son entrée. Je sentais ses couilles taper, hystériques, au cœur de ma croupe qui allait, l'histoire d'une minute, lui faire une seconde fois gicler sa purée, en me traitant de salope, et de pute. Mon honneur.''


'' Cette ville de religieux juifs immigrés de leur banlieue française me désolait d'ennui, autant que ses dunes quand ils venaient s'y engouffrer dans quelque grotte pour être sucés à la va-vite la bite à l'air une fois leur kippa enlevée tandis que leur meuf en haut de la falaise à peine sorties de la synagogue, gardait la marmaille. Leurs bittes de corbeaux sous leur grand chapeau m'en évadaient de temps à autre, le temps que durent les roses. Jusqu'au jour où j'avais Yossi au téléphone. Yossi, un nom de plouc, un Joseph des temps modernes qui n'avait pas encore trouvé sa Marie ni sa Marie-Madeleine, ni son samaritain pour de ses couilles en prières, à sa guise le tirer. Il m'avait contacté après avoir envoyé un courriel sans photo. Je décidais de tenter le coup, ce matin de grand manque me faisait dire oui à tout, en lui donnant l'adresse d'en face et attendre de ma fenêtre, la bonne surprise d'une beauté sublimée à son arrivée. Il ne parlait qu'hébreu, et je n'aimais pas trop les gens qui ne parlaient que leur langue natale. Je pensais leur ouverture au monde, limitée, mais, l'énorme queue d'un circoncis qu'il m'avait décrite et comment il aimait s'en servir, avait grandement atténué à mes esprits cette lacune culturelle. Il cherchait La Femme en un homme, une petite pute à son service, une garce qu'il pouvait sur le champ enfourner pour se les vider, un trou, dans lequel il pouvait sans tarder s'exécuter. Il arrivait aussitôt et m'appelait d'en face. De ma fenêtre je le guettais déjà venir, bien sûr, pour savoir et vite, les jambes frétillantes d'impatience de s'envoyer en l'air, ce qui m'attendait devant la porte d'entrée du numéro vingt-six pour savoir enfin, si j'allais refuser ou me soumettre à son pesant pénis. De dos, un religieux s'annonçait, svelte, heureusement sans bedaine, grand et mince, et du premier coup d'oeil très bien foutu, un beau barbu à la barbe courte et blonde dans sa trentaine qui lisait attentivement les noms inscrits sur l'interphone en me téléphonant, une grosse kippa de velours noir sur la tête et une chemise blanche sur des pantalons noirs dont les fils blancs de tzitzit tombaient sur les côtés. Il avait aux pieds de vieilles chaussures noires abîmées. L'homme ne respirait pas l'argent. Je descendais aussitôt en lui disant de m'attendre un instant et traversais la rue ne fixant que son dos dans l'espoir de voir un visage de mâle qui mettrait tous mes désirs urgents d'être travaillés en émoi. Il se retournait à l'appel de son prénom, et je le découvrais. Il n'était pas beau, il était sublime de masculinité, moitié footballeur moitié rugbyman, les épaules carrées et les jambes arquées, les yeux verts au regard dévié par un strabisme concomitant et qui de son imposant nez tordu de boxeur au-dessus de ses grosses lèvres régulièrement dessinées, me laissaient savoir en regardant ma bouche et mon cul, que j'allais faire l'affaire. Sa barbe et ses cheveux blonds à la coupe militaire lui donnaient l'air allemand d'un nazi méchant qui mettait toutes mes sécrétions vaginales en action. Je l'appréciais d'avantage encore lorsque derrière mes lunettes noires, je jetais brièvement un oeil sur sa braguette bien garnie et déjà convexe et qui dessinait sans limite, les contours de son énorme bitte. Il ne m'avait pas menti et était lui aussi ravi de l'homme en face de lui qu'il rencontrait et qui allait devenir dans les minutes suivantes, sa femme et son récipient à foutre, comme nous l'avions convenus de mots obscènes et indécents qui eux nous avais déjà réunis et moi rendue si chaude.
Son angle de vision déformé lui donnait un air distant de maniaque sexuel pointilleux dont le fluide de mâle religieux rendait le mien encore plus vicieux. Être amoral me délectait. Les portes de l'ascenseur si tôt refermées, je me collais doucement à son cou en femelle bien calée entre ses hanches pour embrasser ses lèvres en m'agrippant d'une main à sa nuque, et de l'autre à son épaule prête à être soulevée, légère et apprivoisée. Je sentais dès cet abord que nous étions faits pour vivre l'histoire d'un homme et d'une femme. Il m'embrassait, dominant mes faiblesses, une main sur mon cul et l'autre dans mes cheveux. J'étais déjà sa greluche infatuée de sa barbe dévote sur ma peau et, rentrés dans l'appartement, je lui prenais la main en guide pour l'emmener directement dans la pénombre de ma chambre dont les volets étaient toujours clos. Il enlevait sa kippa et me prenait de plus belles dans ses bras pour mordiller mon cou et défaire les boutons de ma chemise en corsage, en caressant, délicatement, mes épaules pour l'ôter, et sucer enfin la pointe de mes seins fortement durcis de désirs et qui me démangeaient. La force de sa queue massive en béton armé que seuls les circoncis pouvaient de nature à ce point raidir, se cramponnait alors à mes entre-cuisses. Collée contre le mur les yeux chavirés devant le mystère de l'univers caressant son dos et ses joues, soupirant de bêlements chancelants, diminuée et défaillante sans vigueur, je prononçais son nom. Il descendait alors mes pantalons comme une petite jupe d'été en pelotant doucement de ses mains le tour de ma taille, puis il se relevait pour me ceindre à pleine bouche, enfonçant la puissance de son pylône entre mes poteaux que je serrais vivement. L'histoire d'un homme et d'une femme dont je rêvais si souvent la configuration exacte, se vivait parfaitement, à ma guise et la sienne. Je sécrétais de tout pore. Puis sans un mot, mon clitoris à son zénith, il m'allongeait, nu, en se déshabillant et ne regardant que moi pour s'y mettre dessus en léchant mon corps de bas en haut, et s'attardait sur les cordes sensibles de mon piano dont il jouait à merveille, en mordillant allegro, les notes qui me faisaient bruire et implorer son nom en do majeur. De rythmes syncopés en tournant les pages de ma partition, il me faisait chanter, puis gueuler. Je pouvais jouir de suite mais contrôlais mes orifices qu'il excavait. Mon corps affaibli frissonnait d'une asthénie propre aux femelles. Le Mâle lui, se complaisait de plus en plus à m'amoindrir et portait à son sommet, des allers et retours prolongés et violents de sa bitte, ma féminité. Pour parfaire ce sublime accouplement, après de longues fornications buccales qui le faisaient grogner et moi me branler, il m'engendrait. Une fois mes atouts amplement étirés sur le côté gauche en levant ma cuisse droite, il l'empoignait sérieusement de pleine main, bien décidé à me sodomiser et me foutre enceinte. Mon bonheur était pénétré peu à peu de l'ensemble de sa lourde matraque en mortier dans mon petit trou épanoui et dilaté. Le sein droit précisément cambré à la hauteur de sa bouche, il le suçotait, tirant de l'autre main mes cheveux avant qu'il ne recommençât une fois la totalité de son cylindre dans l'axe de l'encolure, d'activer ses fornications de plus en plus effrénées pour devenir plus féroces, puis carrément endiablées. Mes gémissements d'aliénée prenaient alors la mesure de sa mélodie en une parfaite harmonie, marmonnant ça et là, que j'étais à lui. Puis il répandait longuement, tout son amour en mes intérieurs jusqu'au sortir de sa dernière perle nacrée dont je sentais la chaleur intense brûler la matrice. Je me mettais, fière, à enfanter et à définitivement l'aimer. Il continuait de m'embrasser sans lâcher prise, de la même et radicale puissance enracinée en mes entrailles et me branlait. J'en explosais sans tarder, la souffrance de mon bonheur, ma dévotion à prolonger sa dominance. Puis il retirait doucement du conduit l'autorité de son rouleau compresseur, toujours fermement rectiligne pour se caler contre moi, la tête reposée sur ma poitrine comme un gosse tout penaud qui se confesse d'un interdit. Je devenais sa femme et sa mère, sa nourrice à allaiter tous ses appétits. Puis il remettait ça, en recomposant du même sermon à ma gloire, son exploit. Il m'enculait une deuxième fois, cette fois-ci en une chienne levrette agenouillée sur le lit la tête baissée en offrande sur les oreillers, ses mains sur mon gros cul en train de le baiser dans l'axe exact de son entrée. Je sentais ses couilles taper, hystériques, au cœur de ma croupe qui allait, l'histoire d'une minute, lui faire une seconde fois gicler sa purée, en me traitant de salope, et de pute. Mon honneur. Ça y est, il larguait tout, sans concession jusqu'à la dernière goutte, tambourinant encore un max mes ovaires anales pour me remettre à ma place, et laisser en vainqueur, à sa queue les ultimes instants pour m'abattre. Farcie
au-delà de mes espérances initiales, je me reposais sur le lit les bras ouverts d'une pose en déesse l'admirant, tandis qu'il était sous la douche à remettre sa queue de religieux à jour, puis il partait, félicitant de doux mots, mes talents de putain et mes prouesses.
Devant un tel hommage à ma création innée du sexe faible, je me caressais encore pour exciter mon sublimé client et que ses désirs de mâle revinssent me visiter, eux et lui tout court. Il revenait le surlendemain. Le jour intermédiaire, il m'en écrivait avec détails les instances. Il attendait de moi des cris femelles plus forts et des implorations verbales plus crues, et sans équivoque. J'allais bien sûr exécuter ses souhaits comme des ordres et n'attendais que lui. Je l'attendais quarante-huit heures, comme je j'avais attendu Fadi, Zlatko, Filippo et Richard, la queue des Carpates et tous les meilleurs des baiseurs, cloîtrée dans mes murs, rêvassant, divaguante, de mes futurs orgasmes avec la ferme intention de lui déclarer à son retour, ma fougue latente, avec éloquence. Il venait de glorifier les entrées de mes forages en l'Absolu Mâle. Il me restait à sonder qui il était pour que son essence jaillît encore plus loin et plus fort et enculât mon âme, - intégral.''







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