THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Thursday, June 16, 2011

KHALIL, OR THE HYMN TO SODOMY / L'HYMNE À LA SODOMIE E-> 2011 version.

English translation down below this page. gs


Quelques extraits...


''Il me faisait endurer la rudesse de sa grume dont mes boyaux ressentaient avec brio, les bordures cogner impunément au coeur même du paradis que je venais, pour la première fois cet après-midi là, de lui faire découvrir. Khalil m'enculait de sa gloire.''


''Les palmiers s'envolaient, féminines, hautes sur pattes, élancées, sans poitrine. Comme des cinglées hystériques elles se dandinaient, en avant, en arrière, de gauche à droite, et ça recommençait, les cheveux aspirés en tous sens par les violentes bourrasques des vents du large pour tout chignon. Ces grandes folles heureuses d'être remarquées en tortillant leur cul de longue tige, enroulaient tant bien que mal dans la bise, leurs écharpes de vieilles feuilles grises décolorées autour de leur tronc. Ça les rendait encore plus bavardes et pressées, comme des précieuses énervées en manque d'exulter leur vie d'asexuées. Elles en rajoutaient de plus belles ces grandes dingues, alors se trémoussant, frétillant, courbées, elles en étaient presque agaçantes, pour venir de la pointe de leurs palmes, en un tour de reins, gifler comme de grosses jalouses, les fenêtres mouillées de la chambre assombrie par les pluies torrentielles d'un hiver d'Israël tandis que j'étais assis, les yeux dans les yeux, bien enfoncé, quasi totalement empalé, sur l'énorme queue d'acier, renflée fixe et raide, robuste, ferme, assurée, de l'irrésistible Khalil prêt à gronder de geignements sourds et prolongés, son extase physique et mentale en mon conduit anal, et dont l'exquise et exclusive virilité arabe, elle, au fin fond de mes entrailles immuablement enracinée, de sa force déterminée à rester silencieuse, n'oscillait pas d'un pouce et allait me faire hurler, docile, de plaisirs déjà disposés à l'obéissance. Moi seul tourbillonnais sur son cylindre de fer pour l'infléchir, en avant, en arrière, et de côté, dans le tempo de mes copines au-dehors je dansais autour de sa colonne, et, dans la profondeur de ma paroi postérieure, moi seul lui faisais ainsi couvrir de ses soupirs exaucés, le son du tonnerre à l'extérieur. Il entrait dans le profond obscur au plus loin de l'ouverture, plus fort, plus tranquille, presque impassible mais avec sagacité, de sa barre de plomb circoncise à vif, bien résolu du sommet de son infrangible gland, à tout cracher de sa sève en l'orifice de mon rectum brûlant d'amour et humide. Il me faisait endurer la rudesse de sa grume dont mes boyaux ressentaient avec brio, les bordures cogner impunément au coeur même du paradis que je venais, pour la première fois cet après-midi là, de lui faire découvrir. Khalil m'enculait de sa gloire. Mon superbe étalon d'Arabie se laissait aller sans gêne, avec volupté extrême, le regard obligeant, à la découverte de la sodomie, révérant ainsi en vainqueur triomphal de son gigantesque levier à honorer sa jument, sans qu'il ne le sut, mon âme toute entière et fière à être percutée. Lentement, mais avec assurance et détermination, l'extrémité de son pilier sans prépuce à l'attaque, en un commandement exclusivement phallocrate, dictait tout à coup, mes désirs opprimés de petite garce gémissante sous la grandeur de son dictateur. Il commençait, sérieux, de ses sursauts excavateurs à l'assaut, à sévir. À sévir gravement. Je couinais de petits cris aigus et soupirés de femelle que je contrôlais, en pinçant comme à l'école de Fontainebleau de deux doigts, la pointe de mes fermes tétons. Affaibli de douleurs et de plaisirs confondus par la puissance de son spectre en béton en mes entrailles, je lui révélais sous l'orage, de nouveaux sens, de nouvelles sensations, de nouveaux pouvoirs. J'implorais son nom. Je le guidais ainsi dans la force absolue de sa nature virile de conquérant que je voulais qu'il atteignît à son paroxysme. Et il l'atteignait. Il commençait à me tringler à m'en faire beugler avec pour seule attraction terrestre, celle de mon cul entrainant la gravitation de sa bitte de géant. C'est alors que soudain, les grandes folles du dehors qui frappaient toujours acharnées sans répit aux carreaux, simulaient à mes esprits de leur tonalité, les coups de fouet cinglants que je voulus tout à coup réels, me frapper à mon tour, bien costauds, sans équivoque, fort. Pour recevoir de mon maître cette bonne tabassée et imiter les bruits subits de leurs claques, je prenais sans me désemplir, sur la chaise sa ceinture, et la glissais doucement entre ses mains, enfonçant aussitôt d'une synchronisation parfaite, sa trique de fer en ma cale humide au plus profond de l'abîme. Oh! Seigneur! Il commençait à hennir. Quel bonheur! D'abords timides, il me fouaillait le bas du dos, puis, au régal de mes prompts petits cris craintifs et demandeurs, il cinglait de plus en plus fort, tout de mon torse pour me châtier de mon péché et m'insulter, martelant alors, toujours les yeux dans les yeux, de plus en plus résolument drastique et abrupt, le centre de gravité bien dans l'axe de pénétration, sans compromis, en saccades. J'ondulais. J'ondoyais. Je gueulais. La tête renversée les yeux révulsés au zénith, j'avais des pertes. Je sécrétais tout de mes liquides. Au rythme des palmes qui continuaient de talocher les vitres, je me balançais tantôt d'un côté, tantôt de l'autre, frappé par la foudre, électrocuté sous ses tapes, empalé un max. J'implorais son absolue beauté bédouine de me cravacher plus brusque, plus brutal, en rafales, qu'il me considérât enfin comme sa cible à tirer droit dans le mil de coups de chevrotines. Je voulais toute la force de sa magnificence rosser la seule voie intérieure de mon récipient dans tous ses exutoires. J'étais né, femelle, pour recevoir. Lui, mâle, né pour tout balancer, tout gicler, tout procréer. Il fustigeait dur le vache. J'hurlais. Il exécutait davantage à chaque lamentation. Je déversais mes contenus, et j'allais, en criant mes faiblesses, jouir, et à mon seul autocrate, lui faire jaillir tout de sa source, tout de sa source jusqu'à la dernière goutte et d'avantage. J'allais la tarir. Gloria Alléluia! Il venait, en intervalles de grognements rauques et de soupirs haletés, avec les mots de sale pute qu'il gueulait dans sa langue natale, de gicler, de m'inonder, de tout cracher, de me gratifier. Je portais enfin en mon cul son enfant et tout de son âme. Sous le ciel opaque, noir, devenu tout à coup enténébré et que seuls les éclairs contrastaient de lumières furtives derrière les palmiers, qui eux n'arrêtaient toujours pas de s'ébrouer devant nos ébats, dans le vacarme de ses ultimes plaintes rédemptrices et des miennes, tout en fouettant encore, éperdu et violent, mon dos un dernier coup, il drainait glorieusement en cascade, ses torrents de fougue en mon conduit d'écoulement, alors transformé sous les pressions immenses des ses dernières poussées, en un large pipe-line. J'étais, d'un incommensurable prestige, submergé de son fluide. Et lui, vaillant et transcendant gaillard devenu Le Minotaure, le regard ingambe et l'âme solide comme un roc, venait de se libérer, -exclusivement viril, de ses lourdes entraves. Sodomie, Ô Merveille! Sous la pluie, le tonnerre, le vent et les éclairs, dans le tumulte de leurs forces qui tonnaient mon radical abandon à l'Homme, tu n'avais aucun pareil. Zeus venait ce jour de me faire, avec Khalil pour frère, partager l'univers.
Qu'y avait-il de provocateur à se faire enculer et surtout le dire à voix haute ou l'écrire noir sur blanc? Ces emportements violents, c'était bien souvent les autres qui de leur prude morale les avaient, les yeux alors effarouchés et le mental un peu déglingué dès lors que les tristes neurones de leur petit cerveau se représentaient une belle et grosse bitte enfiler un tout petit trou du cul comme une perle pour le forniquer. La fleur ouverte de ma croupe telle une corolle pleinement déployée s'en réjouissait de suintements, aspirant en pompe au plus profond comme elle le savait, la sève intraveineuse de la verge excavatrice plantée là et qui plongeait elle, ses attirails virils cinglant mes cuisses dans l'intérieur noir le plus lointain, de mes entrailles. C'était une délicieuse histoire que de la raconter, si simple et si facile à concevoir, pas du tout faite pour être pensée. Il suffisait pour en connaitre ses délices, d'être né pour recevoir avec la forte volonté d'atteindre dans son entièreté, une totale extase qui ravissait de ses plaisirs physiques, l'esprit. Une simple histoire en somme, l'absolu don de donner et de recevoir. ''


My superb stallion of Arabia was letting himself fully go to the pleasures of sodomy, quietly, with an extreme sensuality, but sure of himself and with determination. I was under the storm, revealing him new senses, a new sensation.


''The tall palm trees' leaves were madly flying away in the air, feminine, shaking about backward and forward and from right to left like crazy hair that were being vacuumed by the strong winds of a tornado, turning them all into night queens twisting their ass, showing off their late tinted platinum hair color like scarves which rolled around their trunk, chatting away in a hurry to finish their silly worried old maids talk, bending their body even more to get attention by slapping with the tip of their leaves, the wet windows of the bedroom that was fiercely darkened by downpours of an Israeli Winter, while I sat, eye to eye, well sunk and screwed deep down, on that hard and steady irresistible Khalil's dicks which harpooned me firm as solid as steel. Its Arabian virility did not swing one inch and did intend to remain silent. I was the only one who could inflect it, deep in my back pipe, swinging backward and forward and from right to left to the rhythm of my girlfriends shaking themselves outside who were now teaching me on that day to cover my male's sighs with the sounds of the thunder coming from the skies. I was making him reach on that afternoon, with his sharp open circumcised cock of which I could feel the harshness of its log slowly rimming the interior of my guts, the deepest of one paradise I assumed he was reaching for the very first time. My superb stallion of Arabia was letting himself fully go to the pleasures of sodomy, quietly, with an extreme sensuality, but sure of himself, clear and strong, with absolute determination to push his knob at its peak into my deepest darkness . I was under the storm, revealing him new senses, new sensations, new powers. The big queens outside were still violently slapping the window, simulating with the sound of that tone to my spirit, the whip claps I suddenly wanted real to hit me just as strong. That's when, in order to imitate their sudden slaps, I carefully took from the chair, without emptying myself from his steel pillar, his belt I delicately suggested to hold in his hand, driving at the same time his imperial cock into the deepest bottom possible of my wet wedge. O! Lord! What a happiness! He started to neigh. To the sound of my delightful timorous little cries, he, timidly first, started to whip my lower back, until, quite quickly with passion, under the influence of my cries getting into louder severe groans and laments, he lashed stronger and stronger my skin, punishing me for my sin and calling me names while still fucking, eye to eye, in a more abrupt and definite attitude he meant to firmly keep. I undulated. I waved. I could feel I started to exude all of my liquids. I swung to the rhythm of the palms that still strongly cuffed the window, swinging from one side to an other being hit by the thunderbolt, electrocuted by his slaps, impaled to the max. I begged him to flog me stronger. I wanted all the forces of his exquisite manly bedouin beauty, to thrash clear and big, to burst with no concession, the outlet of my container. I screamed. He executed his task more. All of my liquids bled. I was, mooing, about to come, and, Gloria Alleluia! about to dry up his spring, and dry it up to the last single drop. Under the black opaque sky from which only its lightings lighted the gloom of our frolics, he was, with his woolly eyes facing other worlds, reaching the total and absolute level of physical ecstasy. To the din of his last redeeming whining, he powerfully whipped me one last time and, abruptly, drained in torrents his waterfall of ardor into my running tube that became, under the thrust of his boundless pressure, one large pipe-line. I was, with incommensurable prestige, flooded with his sap. And him, as a valiant and transcendental warrior whose dirty bitch were the only words that he, between whines and moans, pronounced in his language, had become The Minotaur, with spry looks and a solid soul, had, -exclusively male, just freed himself from his hindrances. Sodomy! O! Wonder! Under the rain, the thunder, the winds and the lightings, in the turmoil of their strengths, you had thundered my radical abandon to The Male. You had no such equal. On that day, Zeus, with Khalil as a brother, had just make me share the universe.
What was so provoking to get screwed, and most of all saying it loud or writing it down? I could often feel repulsive transports from the others with startled eyes, getting then their prude morals into a miserable and degenerated irritated mind as soon as the neurons of their little brain figured out as one image, a beautiful and big cock fucking a little ass hole like a pearl to fornicate it. The opened flower of my rump as a fully opened corolla, delighted itself oozing, and vacuumed as an active pump the way it knew how, the intravenous sap of the excavating rod that was stuck there, digging in its virile gears into the deepest black interior of my welcoming guts. It was a delightful story to tell, so simple and so easy to achieve and definitely not made to be thought. You only needed in order to know all of what its delights gave, to be born to receive with the determined will to reach total and complete physical ecstasy as a matter of absolute spiritual give and take. ''


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