THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
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Thursday, June 16, 2011

Une Femme mentale / One mental woman E->


English translation down below this page. gs


Quelques Extraits...


L'HYMNE À L'ÉROTOMANIE D'UNE FEMME
MENTALE.


Bonus;

LA FEMME MENTALE DE MED. MEA CULPA.


''J'imaginais bien mais mal, plutôt mal, que sous mes allures de snobinarde internationale et fêtarde sophistiquée qui sous sa façade de grande pute inégalable cachait ses angoisses, tous mes jeunes amants d'un jour ou de plusieurs, me jaugeaient à un moment ou à un autre, n'être qu'une vieille tantouze désoeuvrée, une sorte de vieille folle dingue en Technicolor sur grand écran, tout juste bonne depuis ses adieux au show-business et à n'importe quel prix, à ouvrir la bouche pour une queue en besoin d'être libérée de ses jets. Ils devaient observer du haut de leur jeunesse, en un, leur papa et leur maman en une tante éduquée de haute gamme, fière et glorieuse de payer des verres à sa belle et vaillante cour qui allait, tôt ou tard, faute d'Amour, se la farcir sans vergogne. Ils m'aspergeaient à sec ce pauvres petits bonshommes. De l'Amour ils ne connaissaient rien, que les rêves candides de débutants et qui ne leur permettaient pas encore de se concilier avec. J'avais vécu les miens grandement, et à leur écoute, elles en étaient toutes restées bouche bée, ces jeunes grosses queues ambulantes prêtes à jouir aussitôt qu'elles en ressentaient la pulsion. Siman de la sienne énorme, avait aimé mon âme. Yaniv de son gland de maitre, hautement apprécié mon aura et mon savoir et Haitham qui venait d'être père, durant la grossesse de sa femme, s'était morfondu de ne pas pouvoir venir tirer son coup en sauvage. La bitte en béton armé d'Imam m'avait trouvée géniale. Ben avait adoré me baiser du fin fond de sa grosse culasse et Mike, que je lui payasse ses whiskies entre un aller retour aux chiottes à lui défaire sa braguette pour m'occuper de sa grosse bosse d'amerloque circoncis et la réduire, de mes succions aspiratoires en fureur, à néant. Ils me l'avaient tous dit, d'autres me l'avaient écrit. Ils n'avaient trouvé aucune salope de mon envergure dans laquelle ils pouvaient si aisément et avec brio, enfiler leur bitte pour se vider de leurs couilles trop pleines. Puis, plus tard, quand leur source était complètement épuisée de son sperme, bien plus tard après les nombreux verres et copulations de nos nuits et moments ensemble, sans même un mot banal, le regard tout à coup froid et absent, sans un pourquoi à leur comportement brutal, ils ne revenaient plus m'abattre. Je n'avais plus d'amour illusoire par qui me faire mettre. Ils me fuyaient, ces petits trous du cul. Il ne restait alors aux esprits de ma petite boite crânienne, que les songes de leur initial empressement assidu, excommuniant de fait celle vide de mes arrière-trains, désormais inactive et désaffectée.

Alors, il était fréquent, les nuits, depuis qu'ils ne me tiraient plus, afin de me remplir de leur passion perdue, allongé dans les ténèbres sur le creux de mon lit à ne pas dormir, de soulever délicatement de mes mains tel un handicapé moteur, ma jambe droite pour la poser d'avantage sur la pointe extrême de sa droite, puis, idem, tout doucement décidé à me préparer, le regard exalté et malade et déjà fiévreux totalement invisible dans le noir, d'étirer la gauche sur la pointe extrême de sa gauche, pour enfin commencer à rejoindre l'amour absolu de mes leurres en une extase physique, et geindre. Une fois les deux quilles bien installées, parées au futur proche qui les fera tressauter, j'étirais l'extrémité de mes orteils pour mieux sentir ainsi les muscles de mes cuisses que je caressais en observant, lentement, la grande ouverture du centre que je visionnais de mes troubles, en une chatte sombre à l'ouverture immense, peu velue mais baveuse, en attente désespérée d'être culbutée par la terre entière. La tête relevée sur trois gros oreillers, j'allais observer de haut, la mises en scène de ma propre masturbation. C'est à ce moment précis qu'arrivaient à ma mémoire, tous les personnages rencontrés des jour passés et qui m'avait défoncée. Les uns après les autres ou bien tous en même temps, ils allaient s'occuper à nouveau, une fois prête et bien calée, de ma chatte sublimée, et l'aimer à m'en faire hurler.
Je commençais alors posément à l'énerver, manuel, à tripoter de plusieurs tours les parties génitales en de délicats doigtés dans un prépuce travaillé à vif, provoquant bien assez tôt de ma bouche, des signaux sonores en soupirs qui les appelaient de plus près et me faisaient prononcer sans contrôle, leur nom imaginaire ou réel, activant ainsi aussitôt les idiosyncrasies de mon imaginaire alors écrasé sur les trois coussins. Les idées sans défense, délicieusement obscènes, je redoublais de manipulations salaces. Je balbutiais, faible et amoindrie, languissante, des sons d'une nouvelle femme asexuée, et tortillais, doucement, épaules et chevilles, pour me tordre progressivement mais tout aussi lentement, dans tous les sens, torpillée de missiles, la pointe de mes seins que je pinçais dès lors très durcie. Les lèvres ouvertes bien en avant murmuraient dans l'axe de pénétration, les noms de ceux à qui elles étaient offertes. Égrotante et chétive, dolente, au centre même de l'affaissement, malade, je pantelais de respirations haletantes, souffreteuses et malingres. Égarée de désirs, empalée par eux tous au son de leur souffle à mes oreilles qui me harcelait, déficiente, vacillante, épuisée, j'agonisais sous la force de leur verge à l'apogée de sa raideur, la bouche grande ouverte et sèche et la chatte mouillée. Allongée sur le côté gauche et couverte de baisers, leur fornication effrénée en contrôle de ma cuisse droite tout à coup surélevée de leur poigne pour mieux pénétrer en profondeur le pivot de mon canal anal, ils me faisaient défaillir, et moi, je m'abstenais de jouir en implorant leurs noms. Leur récompense à idolâtrer la femme mentale que je devenais en une putain et épouse dévouée, honorée et comblée de leur puissance virile à m'enfoncer comme une bête tel un taureau sa vache, suffisait amplement à tous mes plaisirs. Là était mon seul souhait, mes seuls désirs. J'activais d'avantage l'étirement de mes muscles, et mon jeu digital du dessous de la ceinture pelvienne me faisait maintenant sentir, les jambes désormais écartelées, ma croupe, qui elle crachait le feu et s'ouvrait de gloire en encaissant grave, les projectiles. Elle endurait ainsi les mitrailles, en rafales de tir et sans répit, de tous mes conquérants guerriers. Empoignant ma poitrine gonflée à bloc, je délirais. Je gueulais d'implorations douloureuses de me visser un max, plus fort, plus loin, plus profond, l'un après l'autre et vite n'en épargnant aucun, je voulais, les yeux dans les yeux, qu'ils s'enfoncent d'avantage dans mon incandescence et enculent mon âme pour m'y corroder et m'y détruire. Les tourbillons et les remous de mon corps qui ébouillantaient ma pétulante effervescence, minaient tous mes esprits pour les faire éclater d'explosions, intrépides. Celle organique des vestibules de mon vagin, au final, je la voulais maniée alors par des pognes encore plus autoritaires et méchantes. Elles saisissaient avidement d'un seul coup, les chairs de mon bassin pour mieux scinder en deux mes vulnérables fesses qu'ils enculaient tous sans me demander mon compte, Ô! Bonheur! Tous ensemble, ils persistaient à me défoncer de violence et d'acharnement pour se vider de leur foutre. Ils les agaçaient d'avantage dans le noir absolu, et de leur perpétuelle fornication en coups de queue frénétiques, ils renflouaient mes entrailles à flot d'une marée montante, blanche de leur écume. Je leur laissais à volonté la voie libre et suintante de l'axe à déverser leur liquide dans un corps en attente, servile et immobile, tandis que d'autres, en secret dans les aliénations de ma fureur, se chargeaient en simultané d'écarter de leur gland l'ouverture de mon larynx pour directement sourdre leur giclée en mon tube. Ma chatte, elle, était baisée synchro par Imad, Julien, Simad, Yaniv, Yossi, Fadi, Haïtham et les autres qui fulminaient sans exception, leur décharge dans l'étroit col de mon utérus. Les deux orifices de mes délires en trois subliminaux, ne devenaient qu'un. Ils balançaient illico de leur foudre en mon unique trou, la mienne frontale, après une subtile manipulation verticale et plane de doigtés subitement brusquée, en une branle de maniaque acharné pour que je gicle à leur gloire, et exprimer ainsi mon humble gratitude à la victoire de leur phallus. La gueule de mon volcan expulsait alors brutalement ses laves en hurlant ma faiblesse et ma subalterne pâmoison de leurs noms confondus. Je les avais sous dépendance, tous d'amour en mon cul et âme. Et je les avais moi, femme exclusivement mentale, tous aimés en une nuit et affranchis de toute tutelle, sans aggravations de leurs chimères qui laissaient ainsi libres, tous les passages de mes hallucinations de surréaliste femelle. Mon abandon total de femme mentale à l'absolue procession du Mâle était ma seule gnose, l'incomparable théosophie de ma singulière espèce.
Et de mes rêves de femme, tellement mentale qu'ils en devenaient réels, je prenais, les jours de grands besoins et de solitude, les jours de mes amants au travail ou trop affairés de plaisirs pour penser à leur putain de service, à deux mains, mes seins mentaux de huit kilos chacun à pleines mains, pour en sucer la pointe moi-même, tantôt l'une tantôt l'autre, la durcir et la pétrir, la meurtrir, de ma salive les lécher, de mes lèvres les triturer, de mes dents les agiter, et me faire jouir, toute seule, un autre doigt à mes pensées qui s'enfilait au fin fond de mon vagin, et un autre, à mes esprits tourmentés, qui énervait le prépuce de mon clitoris innervé pour mouiller le sol, puis l'inonder de mes liquides sortant tout droit de ma trompe de Fallope, délaissant ainsi mes seins au moment précis de l'orgasme qui me faisait trop soupirer, la bouche ouverte, impuissante à la refermer, et gueuler de cris trop aigus et saccadés pour continuer à les sucer. Je les laissais alors tomber d'un seul coup comme de gros ballons les bras en croix en écartant les cuisses, admirant de grandiose le Mâle en train de me baiser, qui lui, venait de son immense dévidoir cylindrique, de communiquer avec mes ovaires pour en féconder mes ovules imaginaires.
Tout de ma vulve et de mon système limbique était ainsi de leurs fonctions, pleinement instruits.''


LA FEMME MENTALE DE MED, MEA CULPA.


''Et femme, je l'étais jusqu'au bout des ongles, que je rongeais, jusqu'au sang, jusqu'à l'os, mon grand corps viril d'un arabe sportif des bords de la Méditerranée m'empêchait de séduire l'homme de mes rêves, le plus absolu, le plus viril, le plus sensible, le vrai Mâle, qui lui, n'aimait que les femmes, les vraies. Je souffrais tant de ressentir intérieurement, tout de son souffle, physique, de voir articuler ses lèvres, de voir ses bras et ses mains si puissants qui transfusaient de son âme serrant mes épaules, sa lumière d'homme sensible, intelligent, à la culture infinie, et de vrai mec. Oui, je rongeais mes ongles encore et d'avantage, de plus en plus depuis qu'il savait, et je lui avais tant fait savoir, que mon vagin inventé rêvait jour et nuit d'être pris au plus profond par son membre martial, d'être estropié, déformé par tant de puissance, et qu'il en redemandait encore, mes cuisses si heureuses d'être grandes ouvertes pour qu'il me défonçât la chatte à me faire hurler, et l'inondât de son sperme en torrents, comme il le méritait, sa langue enlacée en la mienne, preuve de notre amour, comme ses sucions labiales sur la pointe de mes seins de femelle qui me faisaient geindre, et implorer son nom, qui louaient de gloire, son pouvoir et qu'il aimait entendre, - ma récompense, la récompense de mes rêves. Je luis avais tout dit, parlé de ma bouche de salope aussi, au hasard d'une envie, qu'il pouvait sans me toucher, enfourner, à fond la caisse, se laisser sucer ou la forniquer jusqu'à explosion en mon larynx, et l'abreuver à tout instant de sa source. J'étais à lui, il était Mon Maître. Entièrement soumis à ses besoins, à ses envies de jouir que je sublimais d'être incessantes, et d'une vanité typiquement masculine, et libératrice. Je voulais être enceinte de lui, sa femme et sa putain, honorée de porter ses enfants. Je luis avais tout dit, tout écrit, à brut, je m'étais mis à nu, et il m'ait répondu, de beaux mots, que j'avais mal compris.
Sa grandeur et sa chaleur, son amour des autres, sa quasi bonté, m'avaient laissé rêver au plus loin de mes attentes, et pour mon unique mari arabe, au Maroc j'étais déjà prêt à arriver. En mâle grandiose qui comprenait tout, il me laissait avec élégance, divaguer, mais je divaguais au-delà du possible. Je le gênais, perturbais ses besoins qui ne rejoignaient pas les miens. Et j'insistais. Ses dernières réponses plus distantes et craintives m'avaient troublé, je ne voulais en aucun cas le gêner, l'ennuyer, l'incommoder. Il m'aimait à sa façon, je n'en doutais pas, mais lucide, sans passion, en sachant qu'il ne pouvait me contenter, et moi, j'étais alors aussitôt prêt qu'à l'admirer, le regarder, le vénérer. Je pouvais de suite faire fi de ma présomption et suffisance d'irrésistible femelle séductrice pour le garder, le voir et l'aimer et le lire, tous les jours, matins et soirs, comme ami. Mon amour pour lui était infini. Il en avait peur je crois, trop vite, trop intensément surpris. Les sublimations de mon absolu mari se devaient immédiatement de s'estomper, je préférais vivre dans le silence de mes coïts et en oublier nos accouplements qui ne feraient gueuler au lit, que moi. Tout à coup, je devenais son fardeau, je m'en rendais compte, et ses derniers mots furtifs entre deux silences d'un seul soir, frappaient mes esprits, comme un subit de coup de marteau. J'arrêtais de me masturber, de me caresser en suppliant son nom, Ô Mon Med!, Ô Mon Maître!, de me baiser; j'étais femme jusqu'au bout et devais m'arrêter de l'être. Je préférais en une seconde, souffrir, stopper mes rêves pour ne vivre que de souffrances, celles d'un homme mal formé, sans seins ni poitrine, mal formaté, sans vagin ni ovaires, handicapé de sa barbe et de sa queue d'être né viril, moi qui n'étais que femme, seule sur son île.
Je ne pensais qu'à le garder, avec respect, -l'aimer. Ne plus jamais l'ennuyer. Il me fallait oublier sa queue, L'Homme m'était trop précieux. Oui, je préférais dans mon coin me lamenter, lui mentir, pleurer mes envies et ne plus rien dire qui le gênerait de ne plus me répondre. Il n'y aurait désormais, que son âme, d'âme à âme, qui nous ferait tous deux refondre, sans rejet, sans réprobation, sans sanction, sans jamais plus aucun blâme.

Med, Je T'aime.''



Imad, Julien, Simad, Yaniv, Yossi, Fadi, Hitham and all the others could then unload their heavy freightage in my hindquarters that was provoking my frontal unloading after some sudden and hustling fingerings.



THE HYMN TO EROTOMANIA OF A MENTAL WOMAN.


''It was something quite regular at night, by absolute devotion to the lovers of my fantasies, when laying on my bed unable to fall asleep, my head resting on high pillows delicately taking my night trousers off like silk stockings, to lift with my hands, just like some disabled guy would, slowly one after the other, my right leg to its farthest right, then, well decided to prepare myself for a flight with exalted and feverish invisible rolled upwards eyes in the dark of the room, gently lift my left leg to its farthest left. I could then start stretching them both once set in the exact position, and pull my toes to their extremities in order to feel my strong thighs ready to calve from the one that got me pregnant. That's when I could start my manual game. That was the moment when all the loves I had met during the day could start entering my wild memory one after the other or all together at the same time and start attending to my pussy to love me and only me. I was then slowly starting to annoy and excite it by fiddling and pressing on it with gentle fingerings that would soon enough make my opened mouth emit beeps of sighs that were calling them to come closer, making me whisper their names while my imaginary world was heavily leaning on the three cushions and my totally unprotected thoughts were hopeless. I was beginning, weakened and diminishing, languishing, to twist my shoulders and ankles and wiggle, offering my pointing hard nipples that were being caressed to the lips that were about to imprison them. In the hollow of the bed I could then, sickly, puny, dolefully, let myself go to peaky and panting breaths as my misled desires were making me die under the influence of their virility and strength. When laying on my left side with my right lifted leg which was then being controlled with one hand and as I was being overwhelmed with kisses, their frantic fornication was making me faint and abstained me from coming. The reward to be adored for the mental woman I was becoming was turning into a glorification of a devoted and honored fully satisfied spouse who was being amply contented by her males. Each of my husbands was passionately making love to me. That was my only wish to be totally theirs. My only desire to be their one and only goddess they worshiped. I was then carrying on activating my manual pulses under the pelvic belt to feel my rump opening with glory that endured the firing bursts of my men with the sound of their sighs to my ears. When grabbing my tits I was pinching, I started to be delirious. Eye to eye, I was screaming of painful entreaties their names for them to screw me deeper and stronger in order to weaken and destroy me. I wanted the swirls and stirs that were shaking the effervescence of my mind to make my organic one blow and explode loud in the center of hell. For in the total dark of the room, they were all irritating my only physical status to annoy its condition more with their love and irascible cock punches in my insides to finally, maniacally, authoritatively, let the oozing axis free for them to flow their liquid into my servile and immobile waiting washout body. Imad, Julien, Simad, Yaniv, Yossi, Fadi, Hitham, Kinan and all the others could then unload their heavy freightage in my hindquarters that was provoking my frontal unloading after some sudden and hustling fingerings. The maw of my volcano was then brutally gushing its lavas yelling my weaknesses and their names I muddled. I had all of their love in my little narrow ass hole. I had all of them in my holes, exquisitely just for me as a mental woman. I had set them free from all possible guardianship without worsening their idle fancies that were letting all the paths of my female hallucinations free.
Did all those boys know how far they were making me loose all of my minds? I could not think or see or hear or listen to the rest of the world for they were the one alone that were forming my own, encircling one by one all of them together the perimeter of its center in which my delightful and impeccable oddnesses were interning me. I loved them all with passion. I could not love any other way anyway. They could hardly just figure out how far the love and dreams of the mental woman could go. They could only presume at the most presume , -may be, when thinking for a moment of their hidden gluttonies in my company, to satiate their classical trifles and needs of blow-jobs with me which were in no possible way as heroic and chivalrous as mine for they were only males' drives. My pulse rate was the constant one of a natural woman and my total relinquishment to their absolute male possession as a mental woman was my one and only gnosis. To my contentment, they were only born to fuck. I, the mental woman, was only born to be loved. Anywhere around the world and with each and every one of them, it was the incomparable theosophy of my peculiar species. Floodlit, I was setting a communication with the virile Divinity. And it was it alone that was screwing me.
''


THE MENTAL WOMAN OF MOHAMED. MEA CULPA.


''And a woman, I was it the end of my nails, that I bit till blood came out, till the bone. My tall and strong body of a sportive Arab guy of the Mediterranean shores avoided me from seducing the man of my dreams, the more absolute one, the most virile one, the most sensitive one, the real Male, who, only love women, the real ones. I suffered so much to feel inside everything of his breath, a physical way of feeling it, and see his lips move, his powerful arms and hands that transfused from his soul when holding my shoulders, the light of a sensitive and intelligent, infinitely well read, real guy. Yes, I bit my nails even more, more and more since he knew, as I told him so many times, that my invented vagina dreamed night and day to be taken at its deepest by his martial prick and being, tremendously crippled, distorted by so much power, and asking for more, my legs then so happy to be wide opened for him to bump my pussy till screaming and over flood it with his sperm into mountain streams , the way he deserved it, his tong embraced in mine, proof of our love, just like his sucking on the end of my nipples of a female that made me groan and implore his name, praising with glory, his power he loved to hear, -my ultimate reward, the reward of my dreams. I had told him everything, spoke about my throat of a slut too, at random of his needs, he knew he could without touching me, shove his dick into it, deep down, and let himself being sucked or fornicate my oral hole till explosion in the inside of my larynx, water it at anytime with his spring. I belonged to him, he was My Master. Entirely submitted to his needs to shoot his load that I sublimated to be endless, and with a typical masculine liberating vanity. I wanted to be pregnant with him, to be his wife and his whore, honored to carry his children. I told him everything, wrote to him everything, and said it rough, totally naked, and he answered me, with beautiful words, that I hadn't understood well.
His greatness and warmth, his love for others, his extreme kindness, together had let me dreamed my expectations even farther than they actually were, and for my unique Arab husband, to Morocco I was already bound to fly. As a grandiose Male he understood everything, and, with elegance, let my mind ramble, and it did, over what was possible to reach. I embarrassed him, disturbed his needs that did not join mine. And I insisted. His last answers that were more distant and timorous, had upset me, for there is no way I wanted to trouble him, bother him, annoy him. He loved me his own way, I did not doubt about it, but in a lucid way, a non passionate one, as he knew he could not content me , as I, was then suddenly ready just to admire him, look at him, worship him. I could immediately forget about my presumption and self-confidence of myself at being an irresistible female seducer in order to keep him, see him and love him and read him, every day, mornings and evenings, as a friend. My love for him was infinite. That scared him a bit I think, for too soon, too intensely surprised by it. The sublimations of my absolute husband had to immediately fade away; I preferred to live in the silence of my screwing and forget the coituses that would, in bed, only make me groan of joy. Suddenly, I became a heavy load to carry, I felt it, and his last stealthy words between two silences of one night, stroke my mind, like a hammer would hit my head. I stopped masturbating and wank my cock frantic, stopped caressing my ovaries begging his name, O MY Med! O My Master!, to fuck me; I was a woman till the end of times and I had to stop being it. I preferred in one second, to suffer, stop my dreams and only live with sufferings, the ones of an unformatted man, with no teats and no bosom, badly shaped, with no vagina and no ovaries, handicapped with his beard and his cock to be born a man, as I was a woman alone on her island.
I only thought of keeping him and love him. Not to ever trouble him. I had to forget about his dick, The Man was too precious. Indeed, I preferred moaning in my room alone, lie to him, cry my envies out and not to ever say anything that could bother him enough not to answer me anymore. There would be from now on, only, his soul, soul to soul, that would make us melt in each other again, with no reject, no reprobation, no sanction, for ever not a single blame anymore.

Med, I love you.''


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