THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
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Wednesday, June 15, 2011

Les Amours d'une actrice / The Love affairs of an actress E->


English translation below.


Quelques Extraits...


'' Il y avait Pascal pour le grand amour, et l'acteur, qui devenait un actrice pour l'amour ordinaire. Je savais tout faire.
Roy venait ce dernier jour à la maison me dire au revoir, me regarder des pieds à la tête, me fixer des yeux, s'enchainer à mon corps pour ne jamais me dire adieu, me caresser dans le vent chaud qui traversait la baie ouverte et câlinait ma peau, assis, sa main sur ma cuisse, à la peloter, à la frôler du genoux au bassin sans s'attarder sur la bosse centrale de mes pantalons qui elle, criait de plus en plus à bloc son amour. Il ne venait échanger aucun mot, seuls ceux de son existence et de la mienne au monde, et nos regards pour seule complainte en paroles qui jouait la lyrique musique de notre chanson. Puis, mon superbe Roy, mon si beau Roy, mon adorable Roy, lui qui n'aimait que les femmes et son premier homme, adossé au sofa les jambes entrouvertes, me tendait les bras pour me dire très vite; '' Viens Mon Pascal''. Je restais la tête posée sur son torse bronzé, agrippé à ses jeunes épaules carrées d'athlète olympique que je ne quittais pas, ses mains alors dans mes cheveux qui flattaient ma nuque de mille douceurs. Gêné sans le lui dire de l'absurdité de la situation, recroquevillé sur son corps parfait et sa jeune beauté à la peau ferme qui enlaçaient le mien de deux mètres, moins appétissant et à la peau plus fanée, je continuais de bander un max et ne pensais qu'à lui en tailler une dernière pour le faire jouir une dernière fois à fond de gorge comme il aimait tant, l'entendre gémir de délices et tout avaler de son âme, sa bitte de marbre érigée à sa gloire alors si dure, qui effleurait, impériale, de sa magique passion, la pointe de mes seins. Je pouvais être son père, sa mère, sa vieille pute. Je voulais être les trois à la fois et je l'étais. Je savais que de mon âge, il appréciait la liberté sans bornes à lui faire valser ses couilles dès lors que la moindre pulsion le titillait. Il pouvait me tirer quand il le voulait, là où il le voulait, comme il le pensait. Je l'aimais, et son sperme en mes entrailles était la récompense divine de tous ces effets féeriques. Ses lèvres embrassaient maintenant les miennes, puis mon front, et murmuraient qu'elles aussi, m'aimaient. Et bien sûr j'y croyais. Elles n'aimaient que moi. Je vivais la complète histoire d'un Jules et de sa midinette dont j'avais moi-même écris chaque chapitre dont il avait lu chaque ligne, et si bien concédé de m'attribuer le prix de l'Amour Absolu. J'y croyais toujours. Ses mains, sans condition, me plongeaient à présent, délicatement, vers la boucle de sa ceinture que je défaisais lentement, pour déployer de son zip, l'immensité de sa force du haut de son gland sans prépuce, si robuste et solide, invincible, que j'enfilais directement mais avec précaution, au fin fond ma glotte, fignolant de ma langue amoureuse, le léchage de ses fermes contours. Je plongeais, de la base au sommet, dans la puissance de son membre au summum de sa dureté dont l'assurance me nourrissait, en de lents et longs allers et retours verticaux que je contrôlais en m'attardant, d'impulsions labiales, précisément au centre de la veine dorsale, qui le faisaient d'avantage frémir et tirer sur ses jambes pour encore plus en ressentir à l'extrême, les pulsions de ses désirs. Ses deux mains fortes sur mes tempes guidaient le rythme, plus rapide ou saccadé, ou immobile, ma gorge alors entièrement empalée, de ses gémissements. Il marmonnait mon nom. Il me gratifiait de notre amour, de notre infinie compréhension. Il allait jouir. Enfin jouir. Je sentais la base encore se raidir et le dôme de son empire, s'affermir contre les parois de mon larynx, pour que des gouttes sécrétées en mon gosier, en jaillissent éperdue, sa source dont je venais de puiser vite fait, il le fallait, tout l'amour. Roy partait. Elle sourdait, Ô! Gloire! Des viscères de sa terre, direct en mes conduits, en un torrent violent de sperme qui au son de ses assouvissements, inondait ma foi et m'en transcendait. Je me délectais de ses flots en mon canal et de son furieux courant. Je gardais comme il l'aimait, encore tout en bouche un moment, puis me retirais de son pylône toujours aussi fortement édifié, posément. C'est alors qu'il calait mes regards émerveillés de ma joue posée sur le doux plumage noir de son pubis caressant l'autre de gratitude, pour me laisser admirer toute la grandeur de sa passion encore toute vive, de son sceptre aux pouvoirs suprêmes pointant les horizons. Tout était fini. Il devait partir. Il devait partir mais voulait d'amour, à son tour, me faire jouir. Il me retournait légèrement, délicatement, et, les yeux dans les yeux, toujours en bandant, vigoureux, loyal, vaillant, intrépide, sans autres mots que ceux d'un je t'aime, il mettait sa main sur mon énorme bosse qu'il faisait de mes pantalons éclore, pour en serrer à pleine main son large calibre et branler aussitôt de bas en haut, mon haut cylindre prêt à exposer sans me quitter du regard, tandis qu'il pinçait la pointe raidie de mon sein gauche en me disant une fois de plus, ''Viens, Mon Pascal''. À mon tour je couinais, je divaguais, et, m'agrippant à sa queue inlassablement dure et droite, j'implorais son nom, Roy, mon beau Roy, pour finalement gicler du sommet de mes passions, en des jets grandioses jusqu'à ma dernière larme de joie, sous mes petits cris timorés, toute ma source. D'un si gentil sourire, apaisé, comblé, mon Roy s'illuminait de bonheur et de prospérité. Il léchait de sa langue sans me quitter du regard, le fruit de mon essence sur ses doigts. Notre rarissime richesse venait aux yeux de la terre entière, abondemment de se répandre. Nous étions seuls au monde et tout était fini. Roy devait partir, quitter notre univers et habiter Paris.''


J'étais à l'automne de ma vie, lui à son printemps.
I was at the Autumn of my life, him, at his Spring's.


''He came home to say good bye. To look at me from head to toe. Sitting on the sofa his hand on my leg for only communication. Almost no word had been said. Just him and I, eye to eye for one hour. He sat back and relax opening wide his arms ans said; 'Come here'. I put my head on his tanned chest and grabbed his young strongly built shoulders holding on to them fast. His hands in my hair caressed my nape with gentleness, endlessly. His lips kissed my forehead and whispered they loved me. That they loved only me. Then his mother called to say she was ready to take him to the airport. My heart stopped to the sound of the jets I could already hear and that would tear him away from Earth. He would be in Paris in the evening. Mute, we both walked to the front door of the terrace without our bodies being separated from embracing each other. Yaniv walked down the long staircase stopping three times looking back at me, silent and still. Looking back with an intense, deep and never-ending look. Then he disappeared along the pinewood's path. I rushed to the Winter garden to see more of him going away through the path. He stopped again, and again, and again, to turn round and look at me. As he arrived to the old stones' steps that would make him be for good out of sight, he stopped a fourth time and with a sign of his arm sent me a kiss. Just before he disappeared, his lips mimed the words ' I love you'.''



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