THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Thursday, June 16, 2011

ANDY WAHROL'S CAMPBELLS' SOUP. E->

English translation down below.


Quelques Extraits...


''Entre folles de grande classe éduquées, je modulais précipitamment mes allures en celles totales d'une pute, désormais sûre d'elle et de ses fonctions vaginales et buccales. J'allais être prise dans le tourbillon de deux bittes d'exception sur des matelas de dollars. Je n'arrêtais pas sans le sou, de vivre dans le luxe.''



''Je dansais, je dansais, je dansais encore sur les musiques de Kool & The Gang et de Donna Summer, en star, les mains dans les poches de mes pantalons de velours noir comme si je marchais, dandinant sous les boutons dorés de ma veste de daim rouge sang mes épaules en avant, en arrière, les Persol sur le bout du nez, dédaigneux et distingué je méprisais tous les regards des clients qui me croisaient sur la piste de danse du studio 54. J'étais jeune et j'étais beau, j'étais belle, une putain royale invincible et intouchable, la star du Moulin Rouge de Paris qui revenait des Bahamas enfin débarrassée d'Hector et de ses misérables envies, toute bronzée et qui faisait, avec éclat, rayonner ses dents blanches sous les projecteurs aux cents couleurs à l'affut d'une queue friquée qui remplirait mes trous à m'en faire gueuler, et les creux de mon compte en banque pour ne plus y penser. Je partais à Las Vegas dans trois jours de La Guardia Airport avec la TWA et la ferme certitude d'y vivre toutes mes gloires. Personne ne m'y connaissait dans cette disco, mais on m'observait. On m'y guettait. J'y gesticulais comme sur la scène du Moulin, tout à fait à l'aise, et les gens pour laisser évoluer mes élégants pas de danse s'écartaient pour m'applaudir et m'admirer. De telles vanités, je n'en pouvais plus d'être imbu de moi-même. J'étais dès la première heure de la soirée dans cette boite de la cinquante quatrième rue, le centre parfait d'attraction dont je jouais à la perfection le rôle de mon accent volontairement français, à la conne, d'un parfait anglais, petite provinciale émerveillée d'être à Nouillorques dont je me foutais complètement, sauf de Prévert. Retourné au bar y fumer et m'abreuver de bulles bien fraiches de Champagne dans l'impatient espoir d'y faire une rencontre d'une nuit qui m'allongerait en pute sur le plumard de ma chambre d'hôtel pour m'y baiser, divine, un des serveurs de la salle venait d'un grand sourire m'annoncer que la table, là-bas, plus loin, celle qui dominait la piste, m'invitait. Ce monsieur aux cheveux gris blonds qui me paraissaient à distance un peu sales, la peau blanchâtre quasi maladive m'était totalement inconnu et ne mettait de sa cinquantaine, d'aucune façon mes envies en appétit, moi qui rêvais en femme fatale de l'Absolu Mâle pour me culbuter. il n'y avait que les lunettes que nous portions à l'identique qui semblaient de cette toute première approche nous réunir, même si j'avais remarqué de la piste qu'il m'avait observé danser. En femme du monde dans mes beaux vêtements achetés à St Germain des Près, j'acceptais toutes dents luisantes dehors que renforçait de luminosité mon bronzage, l'invitation, et, d'un pas décidé mais sans précipitation, je m'avançais à la table une coupe à la main pour le remercier. Il était accompagné d'un beau jeune homme de mon âge qui lui, par contre, pouvait de suite me tirer dans les chiottes s'il le voulait. Il correspondait de sa barbe noire et de ses cheveux mi-longs sous son beau costume d'Yves St Laurent dont j'avais de suite en m'avançant, repéré les entre-cuisses bien gonflées, entièrement à l'idée de la grosse queue de service dont j'avais besoin cette nuit pour m'excaver. Mais je l'ignorais. C'est l'autre qui m'invitait, et qui de suite, me proposait de m'asseoir en congratulant mes talents de danseur. Lui Andy, moi Pascal.H, l'autre beau Jules s'appelait Declan, sous les présentations d'usage je savais déjà que je lui plaisais, à lui, et à l'autre. Nous étions entre femmes du monde, d'égal à égal. La soirée s'annonçait d'une partouze grandiose dont je serais l'ingrédient du sandwich. Il me demandait ce que je faisais ici et je lui répondais que j'y faisais la pute en attendant d'aller la faire dans les sables du Nevada. Il s'éclata de rire aussitôt en ajoutant du tac au tac qu'il y faisait la même chose sur le béton local. Il ouvrait une autre bouteille de Champagne, et j'observais la salle nous regarder. Je ne savais pas qui il était, il n'était pour moi que Andy que je venais à l'instant de rencontrer, ne pensant de sourires discrets de petite garce, qu'à la bitte de Declan qui me défoncerait plus tard sans me préoccuper de la présence de Andy Warhol dont je connaissais vaguement le nom mais pas le visage. C'est Declan qui venait de le dire en parlant d'art et d'une exposition qui était proche, et moi, je parlais alors de la scène du Moulin Rouge où je chantais et de Nassau d'où j'arrivais. Mais je calmais à son égard aussitôt, ma distanciation à l'écoute de son nom, déjà prêt à passer à la casserole dans l'attente d'avoir le mien qu'il rendrait peut-être aussi célèbre que le sien. Entre folles de grande classe éduquées, je modulais précipitamment mes allures en celles totales d'une pute, désormais sûre d'elle et de ses fonctions vaginales et buccales. J'allais être prise dans le tourbillon de deux bittes d'exception sur des matelas de dollars. Je n'arrêtais pas sans le sou, de vivre dans le luxe. J'allais pour être désiré d'avantage, redanser sur les notes de La Vie En Rose qui passaient à l'instant chantées par Grace Jones, et je quittais un moment la table pour aller élégamment me dandiner sur la musique. Je sentais derrière mon dos, la fièvre de Andy Warhol et de Declan monter du dessous de leur braguette, électrique. Et j'en rajoutais, dansant alors avec de belles femmes dans mes bras que je retournais comme pour les enculer, collées au cul devant moi mes mains alors sur leurs hanches. Elles se laissaient faire ces petites mégères, me demandant alors si j'étais un ami de Andy Warhol ce à quoi, bien sûr, je répondais oui.
Au retour l'air terminé qu'enchainait ''I miss you'' des Rolling Stones le DJ, je finissais mon verre et Andy me demandait si je voulais les accompagner. Ils allaient dans un bar du Village, un bar avec une chambre noire ajoutait-il. Declan parlait peu. Je pense qu'il était le Minotaure de service dont je me régalais par avance de sa force immense à l'oeuvre dans mes orifices, calé dans les bras de Warhol pour un parfait équilibre. Nous étions, mondains, entre salopes, de grands connaisseurs. Je disais oui. Sur le trottoir en attendant le taxi, les passants nous dévisageaient tous les trois, et surtout lui, Andy, le fameux Warhol que je ne connaissais pas, s'attardant après sur Declan et moi pour savoir qui de célébrités à l'accompagner, nous pouvions bien être. Tous trois montés derrière, moi au centre jambes contre jambes serrées de l'un et de l'autre qui me pelotaient les cuisses, je bandais déjà et le chauffeur descendait sous les lumières de Broadway en regardant en silence dans le coin de son rétroviseur, ces deux grands bruns se caresser tandis que la star aux cheveux couleur platine décolorée entourait ma nuque caressant de temps à autre délicatement des doigts, celle de Declan. Nous étions partis pour le grand jeu, bien décidés aussi silencieux que le chauffeur, à s'envoyer en l'air en des voluptés les plus salaces possibles, et moi de cette luxueuse intimité, tout aussi décidé à en tirer tous les profits. Le chauffeur de taxi en arrivant devant le bar demandait à Andy un autographe tandis que je lui sortais un billet de vingt dollars qui réglait sa course. Le bar était minable, aux moquettes déchirées et aux odeurs de transpiration et de foutre, de bières et de mégots, les murs rouges et noirs délabrés et la clientèle en jeans déchirés, la biite à l'air en train de se faire sucer. D'autres au fond s'enculaient, juste à côté de la baignoire où d'autres y pissaient sur des belles gueules de machos barbus la bouche ouverte en attente et qui à poil, se branlaient. Le contraste de nous trois endimanchés puant le fric, le parfum et le Champagne était divin, mais nous n'étions pas de ces gays là, si lointains. Ils connaissaient tous Andy qui aimaient les observer baiser, et le barman lui versait aussitôt à notre arrivée son whisky préféré pendant que la sève pour moi commençait à monter de voir tant de beaux mecs s'enfiler. Declan se frottait la bitte déjà bien dure que je sentais par tous les Dieux devenir énorme, contre moi en attendant son verre, et pelotant mes seins sur mon pull de cachemire, il embrassait Andy. Nous étions enfin dans le vice des plaisirs qui nous était familier tous trois réunis, entourés de dizaines de mâles en rut sans savoir encore de la nuit qui allait prendre qui. Je comprenais de l'excellent anglais et des naturelles et élégantes manières de Andy, la sophistication de son esprit de voyeur qui rejoignait le mien, comme des caméras qui prennent à distance des scènes de la vie sans s'inclure dans l'action du moment, même si parfois, lui, le corps ne s'y entendait pas et comme ce soir, nous faisait défaut pour nous rabaisser à vivre notre vie de simples bougresses en chaleur. J'avais comme lui, eu ces mêmes visions-là dans les bars cuir de Paris après mes soirées au Palace. Nous devenions alors des travestis et de son regard sur le mien pendant que Declan continuait à lui rouler des pelles, je sentais la caméra de mon oeillade sur son acte le déranger de n'être qu'un homme fait de chair. Je les laissais ainsi un moment au bar pour aller branler trois ou quatre queues dans la chambre noire et le leur dis. À mon retour, je venais en fait d'en sucer une, Declan et Andy discutaient en observant le manège incessant des mecs habillés de cuir se draguer, et qui n'arrêtaient pas tard dans la nuit, d'arriver. Le bar était maintenant plein et d'un gentil sourire, Andy me proposait de passer la nuit avec eux deux, chez lui. Je ne voulais pas aller chez lui, la notoriété de son nom m'en empêchait de peur de passer pour un opportuniste de pacotille, et en star que je voulais être d'égal à égal, je refusais son invitation en leur proposant de venir à mon hôtel, ce qu'ils acceptaient de suite. Après tout, la suite du Waldorf Astoria d'où j'avais déjà de nombreux souvenirs valait bien son appartement pour une baise à trois, et classait de suite le chic du personnage qui devenait ainsi de fait, au même niveau que le sien de descendre dans un palace. Je me sentais aussi célèbre qu'une boite de Campbells' soup, une bouteille de Coca-Cola, ami de Tennessee Williams et de Jimmy Carter, collaborateur, moi aussi à mon tour et pourquoi pas, associé de Paul Morrissey. Je n'avais jamais quand bien même je le connaissais mal, considéré son art comme du grand dont je ne retenais que le nom de pop art en des peintures et photos atrophiées qui en faisaient le génie et la popularité, et le sien immensément connu aux quatre coins de la planète. Les cellules de mon cerveau encore en action pensaient plus aux millions qu'il devait avoir qu'à ses créations. Arrivés à l'hôtel, je commandais trois bouteilles de Roederer Cristal que l'on nous montait quelques minutes plus tard. La nuit vers les cinq heures du matin pouvait, Andy et moi agenouillés devant le beau Declan, commencer. Et elle commença.
À huit heures nous avions terminés nos activités et beuveries, en fait, assez sensibles et douces, fatigués par trop d'action et notre dernière discussion sur l'apocalypse de notre société la troisième bouteille de Champagne terminée, et ma vision des USA qui étaient pour moi nouveaux et qui apparemment, l'intéressait de connaitre même si l'homme connaissait déjà presque tout. J'avais mis en avant ce rêve quasi de naissance de conquérir de mes talents Hollywood, et de laisser pleinement vivre toutes les fantaisies de mes esprits du bout de ma queue à l'idée la plus pointue. Il venait de me répondre que gamin, il avait eu les mêmes attentes, avec la ferme différence peut-être plus aiguë qu'en Europe étant né américain, de faire de l'argent. Je trouvais si tôt le matin cette affirmation si honnête, si libre et libérée, qu'elle me donnait des ailes. Il était lui aussi, vingt-cinq ans plus tôt, évidemment passé par là et l'Amérique lui avait les bras grands ouverts, souri. Il pouvait m'en apprendre des choses de la vie d'une star en stand-by. Je n'étais pas le premier connard venu et de mon second séjour dans cette ville sans connaitre encore la côte ouest, je parlais avec ma jeunesse à ce personnage mondialement connu d'égal à égal, et il me le faisait savoir. C'était dans l'air, palpable. Il était c'était certain, tout à fait sincère, sans leurres ni mensonges, quelque peu aussi gamin que moi, visionnaire sophistiqué mais cool, mondain pour les autres, en fait il n'était que lui-même, à survoler le monde pour l'observer, un peu comme je le faisais couvert de paillettes sur la scène du Moulin Rouge regardant surélevé, des planches les yeux brillants du public affamé de rêves et de sensations fuyant un quotidien désabusé. Il me mettait en confiance et valorisait mon intelligence tandis que Declan commençait à s'endormir. Puis ils partaient tous les deux au petit jour d'un matin glacial et Andy m'invitait le soir chez lui à dîner en inscrivant sur le cabinet Louis XV du hall d'entrée, son adresse et son téléphone, soixante-sixième rue est, pour neuf heures, entre Madison et Park Avenue ajoutait-il. J'avais déjà rencontré Shirley Mc Laine à Paris et Shirley Bassey à Londres, Ginger Rogers et d'autres au Moulin Rouge, et être invité par un tel nom ne m'impressionnait pas, mais surpris, j'étais ravi d'une telle marque et assurance à être l'un des convives en ses murs. Nous avions lui et moi entièrement satisfait le beau Declan de ses attentes comme une simple distraction, quelque part plus intéressés lui et moi par notre discussion que nous avions menée avec passion. Il ne me considérait donc pas comme un simple objet sexuel de salon. Je les embrassais tous les deux sur le pas de la porte d'un au revoir à la française qui les fit sourire en leur disant à ce soir, et allais prendre un bain puis me coucher. (...)


''Between educated high standards queens, I suddenly adjusted my moves into the ones of a total whore feeling her buccal and vaginal functions being totally operational. I was about to be done in a whirl of two dicks of exception on mattresses covered with dollars. I never stopped being broke, living in luxury.''


''I was dancing, dancing, dancing on and on till the end of the night to the sound of Kool & The Gang's and Donna Summer's musics, putting my hands in my black velvet trousers' pockets as if I walked, waddling along backward and forward my shoulders under the golden buttons of my red suede jacket and wearing Persol sun glasses at the extremity of my noise, vain, and stylish. I despised everybody around that was looking at me dancing away on the Studio 54 dance floor. I was young and handsome, a pretty babe, a royal untouchable and invincible whore who as the star of the Moulin Rouge, just came back from the Bahamas, all tanned and at last rid of Hector's miserable envies, now free to show off all teeth out shining under the hundreds of colored spotlights, and search for some pretty well off cock that would fill up my holes to make me scream as well as the lacks of my bank account for me to stop thinking about it. I was on my way to Vegas three days later from La Guardia airport flying TWA with the definite certainty in mind to live there all of my glories. No one knew me here in this disco, but they did watch me and did not miss any of my moves. I danced the way I performed on the Moulin Rouge stage, totally sure of myself, and people around stepped backwards to admire my elegant steps and applaud. Such vanities, I did not have enough of, I wanted more to be full of my own self. I was, since the very first hour of the night in this disco on 54th street, the perfect center of attraction I perfectly used to play with my overdone French accent, the part of a lousy provincial little girl with a perfect English who was absolutely marveled at the surrounding and happy to be in New York of which I could not care less. I only dreamed to be rich and famous under the fake crystal Las Vegas chandeliers, nearer to L.A., showing my face in town walking on the bright red acrylic Strip big hotels' carpets. I did not care about Broadway theaters, they were far too European for me. I wanted to live at its fullest the decadence of a factitious and made up America that was new to me, and in which I delighted myself living its apocalypse at the early era of the 80's I was about to write. Back to the bar to quench my thirst with cold bubbles of Champagne and smoke a cigarette, I was wondering, impatient, who next in my hotel room would get me laid, divine, when one of the waiter with a big smile came to tell me that the table over there, a bit farther, the one in the middle facing over the dance floor, invited me to a drink. This face with grey blondish white hair that looked dirty to me from afar, this almost sickly whitish skin in its fifties were totally unknown to me, and in no way raised the envies of the appetite I had to be as a femme fatale, screwed by the Absolute Male. Only the sun glasses we both wore the same way seemed to gather us for that first approach, even though I did have noticed that guy watching me more than once when I was dancing. As a high society Lady wearing beautify clothes I had bought in St Germain des Près, I smiled back and slowly, with no rush, walked, debonaire, toward the table a glass of Champagne in my hand to thank him. He was sitting next to a very good looking young man of my age who could at once have fucked me in the toilets if he had wanted to. He was, with his black short beard and long dark hair, with his Yves St Laurent suit from which I had spotted walking toward them both, the big hump under the zipper, the perfect idea I had of the handy cock I fancied that night to dig my needs. But I ignored him. It was the other guy who invited me and kindly asked to take a seat and join, congratulating my talents as a dancer. He was Andy, I was Pascal, and the other stud's name was Declan. After the usual and civilized way of introducing ourselves, I could feel they both fancied me. And we were as ladies of the world, equal to equal. I could also feel the rest of the night about to be a grandiose sex party of which I'd be the ingredient of the sandwich. He asked me what I was doing here and I answered him straight back I was here a whore on a stand by before working as such in the Nevada sands. He laughed loud and gave tit for tat the same answer, adding he was more a local one. He opened an other bottle of Champagne as I felt the public watching us. I did not know who he was. I only knew he was the Andy I just met, only thinking with discrete smiles of a little bitch, of Declan's dick that later would fuck me with or without the presence of Andy Warhol whose name I vaguely had heard with no face on it. It's Declan who just had said it, speaking about a very near exhibition that was about to take place, as I spoke about the stage of the Moulin Rouge where I sung , and about Nassau I was arriving from. But I held back the kind of distance I kept toward him by hearing his name, now ready to be more opened to his passing fancies knowing that may be, he might help to get mine as famous as his. Between educated high standards queens, I suddenly adjusted my moves into the ones of a total whore feeling her buccal and vaginal functions being totally operational. I was about to be done in a whirl of two dicks of exception on mattresses covered with dollars. I never stopped being broke, living in luxury. I was, in order to be desired more, now leaving the table to go to the dance floor and do my bit again, this time on La Vie en Rose Graces Jones was singing, slowly, elegantly, swinging my body to the music. I could feel behind my back, Andy Warhol and Declan's fever raise, electric, from under their fly. And I was over doing it, dancing with beautiful women in my arms I turned round as if I was about to fuck them, stuck to their ass holding firm, their hips with my hands. And they left themselves go those little shrews, asking me if I was a Andy Warhol's friend, to which of course, I answered yes.'' (...)

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