THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Monday, June 6, 2011

Emmenez-moi au bout de la terre. E-> 2011 version. Take me to the other side of the world.

English translation below.


Quelques Extraits...


''Il lui semblait que la misère était mois pénible au soleil. Il avait raison. Je les connaissais depuis longtemps tous les deux, la terre et le soleil. Et pour partir les rejoindre je n'avais pas eu besoin de traverser les mers en travaillant dans une soute à charbon. Il me semblait à moi, qu'Aznavour, lui, les connaissait bien les rêves des miséreux pour les écrire ainsi. Je constatais en observant avec les yeux d'un voyeur mû d'une curiosité quasi malsaine les quarante années de la star que je pensais être et avais voulu être, que l'un dans l'autre avec leurs grands hauts et leurs grands bas elles n'avaient pas été malheureuses, encore moins ennuyeuses. Je les voyais défiler comme les rush d'un film en extraits non séquentiels, seul maitre à bord de mettre à l'écran pour le public un point final à la scène, un peu comme ces cent dix histoires à lire au hasard et qui sortent de ma mémoire. Mais il y avait un grand mais qui devant chaque constat de chaque échec me renvoyait aussitôt le miroir de la réalité bien en face de ma grande gueule encore souriante. ''


If you lived well, you died well, that was my philosophy that strengthened me not to be scared from the final end.


''He thought that misery was easier to stand in the sun. He was right. i knew since a long time both of them. The world as well as the sun. And to get there, I never had need to work in a coal bunker at the bottom of the boat. It did seem to me that Charles Aznavour knew all about dreams and misery to write them down so well. The forty years of the star I was and had wanted to be, all in all with their ups and downs never have been unhappy, least of all boring. I could see them running like movie rushes as non-chronological extracts being the only director to leave on the screen for the public the final scenes for them to think the act the way I led them to. A bit like these hundred and ten stories coming out here and there of my memory. I had had my share of big cocks and small dicks, my share of growing and aborted loves, my lot of long and busy winding roads, my prize of famous stages and sordid cabarets. ''

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