THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
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Saturday, June 11, 2011

San Fransisco, Ca., Usa. E->

English translation below.


Quelques extraits...


''Je descendis au bon vouloir du chauffeur de taxi à l'hôtel Hyatt dans le centre.Une chambre en haut d'une tour en dominait la ville. J'y restai seul, isolé. Deux nuits et deux jours. Ne sortant que pour dîner dans le restaurant du dernier étage qui pivotait sur lui-même et me laissait découvrir différents angles de la ville à laquelle je ne m'associais pas. Je tournais lentement seul à table sur cette plateforme devant les baies vitrées qui défilaient une à une, bouteilles de vin après bouteilles de vin en fumant cigarette après cigarette. Je n'arrêtais pas de tourner. Je me ressourçais sans savoir exactement où ni comment mais l'exactitude de ce manège en cercle n'était pas de mise. Vide et vidé, j'essayais d'évaser mes énergies jusqu'ici trop consommées. Pour se ressourcer il eut fallu une source impérissable. Je vivais le moment présent tel que je n'avais ni futur ni passé. Ni source impérissable. Celle à laquelle je pouvais m'abreuver ça et là au cours de mes chemins, une fois gorgé ne me concédait qu'un goût inssipide dans l'attente d'un autre plus goûteux.
Je délaissai dans cet hôtel l'artiste et la putain. Les scènes de Las Vegas et les messieurs de leur queue dans les belles suites de Sunset Boulevard. Je préludais les perspectives d'une troisième condition que je ne trouvais pas. Les caméras de mon imaginaire toujours présentes devant les actes et actions de ma gueule enfarinée se jouant des trucages parfaitement appareillés, peut-être étaient-elles là sans cesse fixées pour désaltérer une déréliction.''


San Fransisco, 1980.


'' I had no interest for the town, so I took the first hotel the reservation desk at the airport advised me to go to and ended up at the Hyatt downtown. My room was at the top of the tower dominating the city. I staid there alone, isolated for two days and two nights. Coming only out to go to the top floor restaurant whose platform was slowly turning around to see the city from different angles that none of them could cheer me up. I was only turning, that's all. Slowly turning round like my life was. Ordering bottles after bottles of wine trying to go back to my roots without knowing how and वेयर. I was empty and gutted like a fish. Trying to open out my energies that had been in L.A. over consumed used and abused. To go back to my roots implied to have some. I was living the moment so high that I had no future and no passed. I was looking for an inexhaustible spring to arise out of my unaccomplished life. The spring I had watered myself to along the way, once I had been filled had no more taste and could only drag me to a more tasty one. I was leaving in this hotel the artist and the whore in me not knowing which I stood for first. I left the Las Vegas stage and my the dirty old men. I was searching for a third condition of my being I could not find. May be the cameras of my imaginary were simply there to quench the thirst of a dereliction.''




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