THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

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Sunday, June 12, 2011

Hymne aux mâles arabes/ Hymn to the Arab Males / E-> 2011 version.

English translation down below this page. gs


Quelques Extraits...


''Isolés au bas d'un palmier ou dans une cabane abandonnée, c'est là que leur nature féconde faisait crier mes passions. Je les connaissais bien les Arabes, et les admirais tous.''



''Je les avais rencontrés à Beyrouth, à Amman. À Beyrouth, consciencieuse et dévouée, j'avais été une élève violée au bon plaisir de mon absolu roi qui m'avait fait jurer sous les bombes, de toujours l'admirer, menottée et offerte, radieuse d'offrir mes faiblesses de femelle à un tel mec puissance mec, chef unique en dictateur de toutes les tribus musulmanes qui me défonçait à gueuler le ciel de recevoir encore un tel bonheur qu'aucun superlatif ne pouvait décrire. Ils m'avait tous, ces Magnifiques, ces Fabuleux Mâles arabes, rendue si fière d'être devenue une pute impériale sans égal, si précise de ses talents, et si pointue. À Amman, arrivés d'Arabie Saoudite chaussés de bottines Weston un attaché-case Vuitton à la main, sous leur lumineuse djellaba blanche et leur keffieh rouge et noir, les yeux noirs des ténèbres et la barbe sombre précisément taillée, courte et régulière, parfaite, dans les bars des hôtels des beaux quartiers de Wadi Esseir, je les avais, derrière mes sourires affriolants de petite garce occidentale en totale admiration de ces beautés, attendus et guettés au comptoir du bar en priant Allah qu'ils vinssent me parler, me parler d'abord, puis me caramboler, j'en suppliais le ciel, et ils étaient tous venus me causer, me rencontrer, avec distinction mais quasi familiers, me parler de Paris, de Londres ou de Venise, et du monde arabe que je connaissais bien, séduits de m'entendre leur répondre dans leur langue qui m'ensorcelait et que j'apprenais. Puis à mon invitation, ils étaient montés dans ma chambre, l'un après l'autre, pour enfin me faire beugler et à leur rythme endiablé, se les vider sans compter. En Palestine, de Ramallah à Jéricho, c'est dans les villages de bédouins et au bord de la mer morte côté territoires occupés que j'allais les chercher. Isolés au bas d'un palmier ou dans une cabane abandonnée, c'est là que leur nature féconde faisait crier mes passions. Je les connaissais bien les Arabes, et les admirais tous.
En Israël, qui elle ne leur avait pas laissé beaucoup de choix pour s'émanciper, c'est dans les petites villages de Galilée que j'allais les provoquer pour être culbutée, leur parler, les connaître. Ils avaient construit le pays et avaient été délaissés sur le bas bord de la route sans considération. La route du succès vers la bourgeoisie et l'establishment locaux leur avait été depuis bien longtemps barrée de sens interdits pour la plupart d'entre eux. Et j'étais l'un des rares à leur ouvrir tous azimuts la mienne et sans condition. Ils me savaient sincère et totalement admiratif de leurs pouvoirs, d'absolus mâles, certes, et de leur infinie culture. J'étais à leurs yeux et à leurs dires que leurs grandes lèvres pulpeuses prononçaient, une catin d'exception mise sur un monument au zénith de sa gloire à chaque fois qu'elle était baisée, finement prise avec un panache de courtoisies et d'attentions en une énergie qui me remerciait de leur poigne sur mes hanches et de leur queue de géant entre mes cuisses, d'une gratitude immense à l'amour de leur peuple. Ils m'emmenaient, discrets, en copain de passage, rencontrer leur famille, père, mère et grand-mères, frères et soeurs, qui eux toujours me recevaient avec une ineffable générosité, heureux et fiers d'inviter un peu d'occident à leur table dont ils étaient avides de savoir et de sa façon de vivre qu'ils ne pouvaient s'offrir. Les gouvernements de leur péninsule, complices avec le mien et les autres européens en points-virgules, ne leur laissaient pas trop le pouvoir de s'y rendre. Puis, ils revenaient tous me tirer. Tous revenaient m'enivrer de leur admirable et toute puissante beauté virile de mâle absolu, imposant et sans concession, dont je sentais la force alerte et vivace entre ma croupe. Elle envahissait mon âme. Ils savaient que je les aimais hissant grandiose, au plus haut, le pavillon de leur bravoure que je laissais si volontiers flotter avec vanité et amour. Leur confiance en moi était sans limite, pure comme mes sentiments, et ils m'en honoraient de fierté à chacun de mes zélés et enthousiastes gémissements. Leurs soupirs d'assouvissement étaient ma récompense, mon honneur. Je priais d'autres Dieux que ceux des pays qui les considéraient comme une race inférieure, afin que leur bonheur absolu et total que leur impérieuses beauté et élégance naturelles m'imposait d'exaucer sans réserve, fût à l'extrême exaucé, en compagnie de la royale putain d'excellence que j'étais. Je voulais en silence louer au grand jour sous les Lumières de l'Orient, leur incroyable Savoir, leur effarante beauté, l'un et l'autre millénaires, et apaiser leurs souffrances d'hommes résignés que l'Occident, de ses exclusives universelles valeurs, avait rejetés de toutes parts. Et pourtant, ils nous avaient tant appris d'architecture et de poésie, de négoce et de mathématiques, de lois de la cité et de nos tasses de thé, de la vallée du Nil jusqu'à celle de l'Euphrate et plus loin l'Assyrie, ils nous avaient appris l'art de la table et les plaisirs des mille et une nuits, tant appris de beaux mots et de musique aussi. C'étaient eux nos pères.
Et j'étais fier, oui fier, de gémir dans leurs bras asservi, dépendant de leur bon vouloir, en attente perpétuelle de devenir leur femelle, et ainsi, dans mes rêves les plus fous, faire partie de leur peuple.''



An intellectual elegance of gratitude
.


''I had met them in Beirut, in Amman. In Beirut, applied and devoted, I had been a raped pupil under the good will of my absolute king that had made me under the bombs falling, swear to always admire him as I offered myself to him with handcuffs on, giving radiant, my female weaknesses to such a man power man, the one and only big chief as one dictator of all muslim tribes that ran into me yelling the skies with such happy prayers no superlative could express. He had made me so proud to become an imperial slut with no equal, so precise in her skills, so sharp. In Amman, from Saudi Arabia with Weston shoes and a Louis Vuitton attache-case in their hand, under their luminous white djellaba and black and red keffiyeh, with darker than dark black eyes and a black short beard, in the posh Wadi Esseir quarter's hotels, I had watched at the bar and waited with nice tempting smiles of a tourist little bitch, for them to come to my room and hit me, and they all had come up to make me cry to their frantic rhythm to empty, so gloriously, their balls. In Palestine, from Ramallah to Jericho, it's in the beduin villages or in the occupied territories of the dead sea that I looked for them. Hidden at the bottom of a palm tree or in a old isolated shanty, that's where their fertile nature made me shout. I knew the Arabs well, and I admired them all. In Israel, which did not have given them much room for emancipation, it's in the little villages of Galilee that I went to provoke them to be tumbled. They had built the country and had been left apart without any consideration but the one to be looked down. To reach the upper class and enter the bourgeoisie was one way road they could hardly take to be part of the local establishment. They knew my road was opened bright and clear with no obstacle of any kind. Indeed, all of them were coming back to do me with their admirable powerful male beauty whose living strength I could feel between my legs with indescribable vanity through their terrific energy. They knew they could trust me and my sincerity to them was no shadow of a doubt. They knew I loved them and that did not lie. Each groan of mine was honored with pride and the sign of my total admiration of their power, and they all knew it. Each sigh of theirs was my reward. I was preying other Gods for their imperial beauty to be totally, -absolutely fulfilled to the extreme the way they deserved to reach a total ecstasy the skill of the royal whore of excellence I was could unconditionally provide as the miserable surrounding Gods of this country hadn't left them much alternative points but the one to be considered and thought as an inferior race that did not have much to offer. I silently intended to show and show big under the lights of the Occident, their incredible knowledge, their astonishing beauty, both so natural, and appease their suffering of resigned men who were rejected from all parts.''






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