THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Sunday, June 12, 2011

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English translation soon on line.


Quelques extraits...De ''L'épicier VI'', en somme.


''J'avais bien fait de venir, pour entendre le son froid de la constante intonation de sa voix rauque et grave de mâle sans émotion qui me faisait autant bander que sa bitte; << O! Petite garce. Tu vas morfler. >>.''


''20cmsx3.5, c'était assurément, circoncis bien sûr, la taille de bitte que j'adulais. Quatre centimètres de largeur pouvaient encore aller, mais plus, je trouvais ça laid. Je pouvais en toute circonstance, alors tout prendre et m'occuper de tout à ramasser la sève finale, et peu importait le récipient choisi dès lors je savais que je pouvais la vider en entier sur toute sa surface pour le grand bonheur de mes messieurs. Et ce matin encore, j'en revenais de ma préférée dont le maître, et à chaque fois, savait si bien s'en servir, si bien que, j'aurais pu devenir facilement amoureuse de mon épicier tellement qu'il savait avec brio me baiser. Ce matin d'hiver sous les palmiers affolés dans le vent et sous la pluie, j'allais emmitouflé de vêtements de coton pour aller chercher vite fait, mes cigarettes dans son taudis que je n'avais depuis des semaines, pas fréquenté, depuis que Hocine Le Magnifique hantait mes esprits et que Makhmoud de sa puissance spécifiquement arabe me baisait à sa place. Et ce matin là, sans même penser à mon vagin trop fatigué de la veille, je voyais en poussant la porte du magasin, cette grande bringue au style de grande banane sèche, derrière son comptoir vêtue d'un gros pull, d'un bonnet et d'une écharpe comme s'il faisait moins vingt degrés, se caresser la queue dans sa triste boutique vide de clients et de chauffage et de marchandises. D'un geste brutal sans dire un mot, il fermait d'un seul coup la porte à clef, me balançait mon paquet de cigarette que j'attrapais au vol devant le comptoir, puis aussitôt mis dans mes poches, il agrippait ma main pour me la foutre sur sa bitte déjà sérieusement durcie, la taille parfaite de mes rêves que je savais si bien remettre à sec, et à plat ventre sur le comptoir, le soufre coupé à la lui caresser sur son jean, il m'embrasait de pelles d'enfer qui me faisaient aussitôt suinter de désirs, tout en caressant d'affection les cheveux de sa déesse. Ma queue à moi, cognait fort contre les rebords du bar en bois, gémissant de soupirs affaiblis quand il commençait à tripoter de ses deux mains, la pointe si fragile de mes seins qu'il connaissait bien. Sa barbe et ses lèvres se retiraient un instant de ma bouche pour me regarder, la toute première fois qu'il me regardait depuis deux ans, les yeux dans les yeux, et me dire; << Tu vas sucer ma queue ma p'tite. >> , puis, il m'embrassait à nouveau à pleine bouche aussitôt pour me faire languir, tandis que je défaisais précipitamment mais difficilement d'une main, sa fermeture éclair trop gonflée pour la laisser glisser d'un seul geste. Sa langue alors caressait mes dents et mes gencives d'une langue ferme et exaltée, et, sans lâcher prise, sa bitte bandant à mort, enfin sortie et que je commençais à branler tout en branlant la mienne, il tirait d'un pied un tabouret derrière lui en éteignant d'une main les néons, pour se mettre cinq secondes plus tard dessus, et debout, sa fabuleuse queue pointée devant moi avachie sur le comptoir, me dire; << Vas-y. Suce. Elle est à toi. >> . Tant bien que mal je me relevais sans perdre de temps de ma position, pour atteindre, précise et ciblée, sa hauteur, un genoux appuyé sur le rebord du comptoir et l'autre jambe dans le vide à quatre pattes déséquilibrées qui ne me permettait d'atteindre, que la base de son puissant gland sans s'occuper du mien. C'est alors qu'en un tour de bras d'un seul coup d'un seul, je décidais de m'adosser sur la banque afin qu'il me vit me branler et plonger sans tarder sa bitte dans ma grande bouche ouverte. Lui qui parlait peu et jamais ne s'occupait de ma queue, il pouvait ainsi tout voir de moi et de mes frénétiques émois à lui vider avec honneur et présomption les couilles. Il prononçait encore une phrase, -j'avais bien fait de venir, pour entendre le son froid de la constante intonation de sa voix rauque et grave de mâle sans émotion qui me faisait autant bander que sa bitte; << O! Petite garce. Tu vas morfler. >>. Il s'appuyait immédiatement de ses mains sur mes hanches en baissant son torse après avoir baissé ses pantalons, pour mieux me limer de sa bitte bien à fond et sans concession, la tronche qu'il enfournait un max, malicieux de me faire souffrir et de m'handicaper à porter tout le poids de son corps, pour commencer ses allers et retour de queue fornicatrice, bien calé en chargeant la charge de ses kilos et prononçant du même ton calme et grave; << Branle toi, salope, branle toi. Régale-toi. >>. Ne pouvant répondre la bouche pleine et trop garnie, immobile et consciencieuse de garder le bon axe de pénétration, je le laissais m'étouffer sachant qu'il n'y en aurait pas pour longtemps avant qu'il ne gicle son foutre. Voir sa petite pute se branler d'émerveillements à le recevoir allait lui faire balancer très vite. Et je ne me trompais point, je le sentais à bout d'exploser. Il ajoutait de la même voix sereine et décidée, nous n'avions jamais autant parlé; << Viens, ma p'tite. Tu vas frémir et gicler, viens vite. >> Je me laissais aller à son ordre pour en finir, et serrant à pleine main ma bitte, j'activais de bas en haut ma manuelle musique, et balançais alors toutes mes rivières de jets jusqu'à sa gueule, gigotant des jambes sous le courant électrique, ivre de faiblesses à recevoir en même le temps, le grandiose sperme de son énorme gland qui empalait mon larynx cloué à la renverse. Il se déversait sans compter, et j'avalais, fière et contentée, à grosses gorgées chaque giclée prolongée de mon allaitement. Il savait me nourrir de toutes ses vitamines et enzymes jusqu'au fond de mes abymes, rien que moi sa petite garce, rien que moi sa petite salope, rien que moi sa déesse, rien que que sa petite poupée que sa putain de femme ni autre pédé ne savait égaler. Il me couronnait une fois de plus de son égoïste virilité en se rhabillant aussi vite qu'il avait descendu ses pantalons, et me demandant de mots brefs et grossiers que l'on adresse à une bonne à rien, de vitre foutre le camp avant qu'il ne rallumât les lumières et rouvrît la porte pour commencer sa journée. Je commençais aussi la mienne, heureuse de ce matin à être culbutée du Jules qui connaissait si bien les putains. ''




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