English translation down below this page.
TRUE REPORTS FROM THE HOLY LAND.
REPORTAGES VÉCUS DE LA TERRE SAINTE.
''Les juifs et les arabes me rendaient folle, nymphomane et putain, toujours à l'affût, la bouche ouverte, d'en traire une, ou de tortiller mon cul à la vue de yeux sémites qui me coinçaient de suite derrière un arbre ou entre deux rochers pour la sortir illico et me l'enfourner en deux temps trois mouvements en me défonçant comme une sauvage, puis repartir à l'israélienne une fois bien vidés, une tape sur l'épaule en disant merci. Nymphomane et putain, mais comme on me le rendait bien! Tous beaux et si virils et circoncis, ils pouvaient excaver le trou du cul que je serrais un max et mon gosier à fond de cale que lui j'ouvrais en grand, et ainsi bien limer de leur tringle estropiée, les tunnels paradisiaques qui leur faisaient sauter les soupapes en hébreu ou en arabe. Ils s'accrochaient à la peau de mes fesses ou à mes mamelons pour encore mieux enfoncer tout ça et ne pas en perdre un rayon, m'éclaboussant de gloire à être leur meuf et leur pute du moment. Ils y passaient tous un par un, la bitte à l'air ou à pleine main, cachée derrière un pantalon noir de religieux ou bien encore derrière des jean de petits maquereaux qui de leurs belles gueules barbues de vrais mecs, allaient vite le dire à leurs frères pour qu'à leur tour, ils vinssent me passer dessus et décanter leur queue, les bougres. Oui, je devenais folle, à ne plus penser, à ne plus raisonner, simplement faite et née pour activer et dare-dare, avec agilité, mes orifices de leur gland à l'air libre depuis la naissance. Interdit de l'être par la Bible et le Coran, c'est à croire qu'entre deux coups de bitte reproducteurs de gosses avec leur femme, ils étaient tous pédés depuis trois mille ans. Les arabes me considéraient plus comme une dame, une grande dame, un homme affaibli et dégénéré que l'on séduisait d'abord avec panache pour le tambouriner ensuite, sans lui demander son compte. Les juifs eux, plus fonctionnels, me tiraient droit au but sans considération. Un trou était un trou et il fallait qu'illico, ils l'enfournassent et sans modération, en me prenant pour une connasse. J'adorais ça; ils me glorifiaient de délivrer en mes conduits, leur sperme hébraïque millénaire en entier, moi qui ne l'étais qu'à moitié. C'était ma façon à moi depuis quatorze ans, de connaitre en sexologue affirmé, le Moyen-Orient, et de pouvoir en parler.
Et j'allais le faire, le relater, tout dire, tout ressentir, en faits de société racontés. Ou bien tout jeter, bye bye les petits papiers, je ne savais pas encore. Il n'y avait pas que Gaza et les territoires occupés dans ce pays, on y baisait aussi, et vachement sérieux. C'était d'ailleurs toutes ces ineffables beautés viriles, innombrables, à la campagne ou en ville et qui m'y tiraient les organes, qui me faisaient rester et vivre dans l'état Hébreu.
L'état Hébreu! L'état Hébreu! L'état Juif! Fallait le tourner et retourner dans quel sens pour le présenter et comment?''
'' De la bouche de si jeunes et belles gueules dont je connaissais tout du bas de leur ceinture, j'étais, à entendre de tels propos et intérêts à leur âge sur une zigounette coupée ou non, à chaque fois grandement surpris, à chaque fois énervé, et choqué. Qu'est-ce que ça pouvait bien leur foutre? Ils m'excluaient du groupe? Ou m'approuvaient? Ils n'avaient qu'à venir z'y voir, ces zigomars. Et d'une telle question intelligente, intelligemment je répondais, que de queue dans l'état hébreu, je n'avais que celle d'un homard. Ils en baissaient alors la tête et les yeux, qui aussitôt après se relevaient, toutefois avec un regard beaucoup plus distant.''
''Et puis hier, je revenais de Haïfa et me remettais précipitamment à écrire. À écrire tout. Tout d'un seul coup. Il y en avait assez de leurs minauderies et de leurs procédés, agissements et mensonges. Assez de ce pays démocratique. Je revenais de chez Lewinski, outragé. Un bar où j'avais emmené de nombreuses fois mon ami Thierry qui était de Paris souvent venu me visiter.
Le bel et adorable Haïtham, mon invincible roi, était passé le premier par courtoisie de gentleman, demander en hébreu de son accent arabe et Druze, une table. D'un ton rogue et brutal, on lui refusait aussitôt. Le bar était réservé aux soldats lui disait-on en face de moi. C'était faux. Nous fîmes demi-tour aussi sec. Il était habitué du fait. Moi pas. Je cachais ma douleur et mon coeur. Mais où étais-je? À Munich en 35 quand les juifs ne pouvaient pas entrer dans un magasin? À Berlin en 38 quand ils ne pouvaient plus entrer dans un théâtre? À Paris en 41 quand les parcs leur étaient interdits? En Afrique du Sud? En plein apartheid? Trop c'était trop. Haïtham n'était ici, -que chez lui. Et depuis des siècles. Et j'étais amoureux de lui, il ne fallait pas toucher au sacré. Et son frère était un officier de Tsahal. Trop c'était trop. Mais qu'est-ce qu'il leur fallait de plus?''
(...) 40 pages à suivre.
THE HEBREW STATE.
TRUE REPORTS FROM THE HOLY LAND.
REPORTAGES VÉCUS DE LA TERRE SAINTE.
Quelques Extraits...
''Les juifs et les arabes me rendaient folle, nymphomane et putain, toujours à l'affût, la bouche ouverte, d'en traire une, ou de tortiller mon cul à la vue de yeux sémites qui me coinçaient de suite derrière un arbre ou entre deux rochers pour la sortir illico et me l'enfourner en deux temps trois mouvements en me défonçant comme une sauvage, puis repartir à l'israélienne une fois bien vidés, une tape sur l'épaule en disant merci. Nymphomane et putain, mais comme on me le rendait bien! Tous beaux et si virils et circoncis, ils pouvaient excaver le trou du cul que je serrais un max et mon gosier à fond de cale que lui j'ouvrais en grand, et ainsi bien limer de leur tringle estropiée, les tunnels paradisiaques qui leur faisaient sauter les soupapes en hébreu ou en arabe. Ils s'accrochaient à la peau de mes fesses ou à mes mamelons pour encore mieux enfoncer tout ça et ne pas en perdre un rayon, m'éclaboussant de gloire à être leur meuf et leur pute du moment. Ils y passaient tous un par un, la bitte à l'air ou à pleine main, cachée derrière un pantalon noir de religieux ou bien encore derrière des jean de petits maquereaux qui de leurs belles gueules barbues de vrais mecs, allaient vite le dire à leurs frères pour qu'à leur tour, ils vinssent me passer dessus et décanter leur queue, les bougres. Oui, je devenais folle, à ne plus penser, à ne plus raisonner, simplement faite et née pour activer et dare-dare, avec agilité, mes orifices de leur gland à l'air libre depuis la naissance. Interdit de l'être par la Bible et le Coran, c'est à croire qu'entre deux coups de bitte reproducteurs de gosses avec leur femme, ils étaient tous pédés depuis trois mille ans. Les arabes me considéraient plus comme une dame, une grande dame, un homme affaibli et dégénéré que l'on séduisait d'abord avec panache pour le tambouriner ensuite, sans lui demander son compte. Les juifs eux, plus fonctionnels, me tiraient droit au but sans considération. Un trou était un trou et il fallait qu'illico, ils l'enfournassent et sans modération, en me prenant pour une connasse. J'adorais ça; ils me glorifiaient de délivrer en mes conduits, leur sperme hébraïque millénaire en entier, moi qui ne l'étais qu'à moitié. C'était ma façon à moi depuis quatorze ans, de connaitre en sexologue affirmé, le Moyen-Orient, et de pouvoir en parler.
Et j'allais le faire, le relater, tout dire, tout ressentir, en faits de société racontés. Ou bien tout jeter, bye bye les petits papiers, je ne savais pas encore. Il n'y avait pas que Gaza et les territoires occupés dans ce pays, on y baisait aussi, et vachement sérieux. C'était d'ailleurs toutes ces ineffables beautés viriles, innombrables, à la campagne ou en ville et qui m'y tiraient les organes, qui me faisaient rester et vivre dans l'état Hébreu.
L'état Hébreu! L'état Hébreu! L'état Juif! Fallait le tourner et retourner dans quel sens pour le présenter et comment?''
'' De la bouche de si jeunes et belles gueules dont je connaissais tout du bas de leur ceinture, j'étais, à entendre de tels propos et intérêts à leur âge sur une zigounette coupée ou non, à chaque fois grandement surpris, à chaque fois énervé, et choqué. Qu'est-ce que ça pouvait bien leur foutre? Ils m'excluaient du groupe? Ou m'approuvaient? Ils n'avaient qu'à venir z'y voir, ces zigomars. Et d'une telle question intelligente, intelligemment je répondais, que de queue dans l'état hébreu, je n'avais que celle d'un homard. Ils en baissaient alors la tête et les yeux, qui aussitôt après se relevaient, toutefois avec un regard beaucoup plus distant.''
''Et puis hier, je revenais de Haïfa et me remettais précipitamment à écrire. À écrire tout. Tout d'un seul coup. Il y en avait assez de leurs minauderies et de leurs procédés, agissements et mensonges. Assez de ce pays démocratique. Je revenais de chez Lewinski, outragé. Un bar où j'avais emmené de nombreuses fois mon ami Thierry qui était de Paris souvent venu me visiter.
Le bel et adorable Haïtham, mon invincible roi, était passé le premier par courtoisie de gentleman, demander en hébreu de son accent arabe et Druze, une table. D'un ton rogue et brutal, on lui refusait aussitôt. Le bar était réservé aux soldats lui disait-on en face de moi. C'était faux. Nous fîmes demi-tour aussi sec. Il était habitué du fait. Moi pas. Je cachais ma douleur et mon coeur. Mais où étais-je? À Munich en 35 quand les juifs ne pouvaient pas entrer dans un magasin? À Berlin en 38 quand ils ne pouvaient plus entrer dans un théâtre? À Paris en 41 quand les parcs leur étaient interdits? En Afrique du Sud? En plein apartheid? Trop c'était trop. Haïtham n'était ici, -que chez lui. Et depuis des siècles. Et j'étais amoureux de lui, il ne fallait pas toucher au sacré. Et son frère était un officier de Tsahal. Trop c'était trop. Mais qu'est-ce qu'il leur fallait de plus?''
(...) 40 pages à suivre.
THE HEBREW STATE.
''Jews and Arabs drove me crazy, into a nymphomaniac and a whore, always my big opened mouth on the look-out for milking one, or twisting my ass to the sight of Semite eyes that would stick me behind a tree of between two rocks to get it straight away out and shove it in to screw me like an animal, then leave the Israeli way, a gentle slap on my shoulder saying thank you. Indeed, I turned into a nymphomaniac and a whore, and how they granted it so! All of them so handsome, so virile and circumcised, they could excavate the tight hole of my ass and file my gob I opened big to the max for their crippled rod, get in deep into the heavenly tunnels that made their valves blow, in Hebrew or in Arabic. They held themselves to the skin of my butt or to my nipples to fuck it all better and not loose a thing, splashing of glory over me being their broad and bitch of the time. They had a go at it one after the other, cock in the open air or in their hand, hidden behind religious black trousers or hidden behind little pimps' jeans who, with their pretty bearded faces of real men, would quickly go and tell their brothers for their turn to come to me and decant their chap's dick. Indeed, I became crazy, unable to think, unable to reason, only made and born to activate and fast, with nimbleness, my orifices with their since birth, opened knob. Forbidden to be it by the Bible and the Koran, it was to be believed that between two reproductive fucks of kids with their wife, they were all queers since three thousands years. Arabs considered me more like a dame, a lady, a weakened degenerated man they seduced first with panache before straight after, fornicating without pleasing my due. As for Jews, they were more functional, and fucked straight to the point without any consideration. A hole was a hole and they had, on the spot, to screw it without refraining themselves, taking me for a fool. I loved it; they glorified me delivering in my pipes, their full millennium Hebraic sperm, me who only was half of it. It was my way to know since fourteen years, as a confirmed sexologist, the Middle-East, and be able to talk about it.
And I was about to do it, to relate it, say everything, feel it all, as reported sociological facts. Or throw away everything, leave it all, bye bye my little notes, I did not know yet. There weren't only Gaza and the occupied territories in this land, they fucked there too, and rather seriously. It was by the way, these countless ineffable virile beauties that screwed my organs deep in, who made me stay and live in the Hebrew state.
The Hebrew State! The Hebrew State! The Jewish State! I had to turn it and return it it into what to present it and how? ''
''I was, by listening from such young mouths and beautiful faces of which I knew everything from underneath their belt, by hearing such a talk and interest about a dick being cut or not, every time, tremendously astonished, almost in chock. What's the hell they cared? Was I out of the group? Or still in? And, to such an intelligent question, intelligently I answered that as a cock in the Hebrew state, I only had the one of a rock lobster tail. They then cast their head and eyes down to look straight up back, somewhat looking at me much more distant.''
''And, yesterday, I came back from Haifa and had to rush to come back and sit and write down. Write down everything. Write it all at once. I had enough of the way they behaved. Enough of their lies. Enough of this democratic country. I was coming back from Lewinsky, outraged. I was coming back from a bar where I had taken my friend Thierry that had visited me more than once from Paris.
The fabulous and handsome Hitham had, as a gentleman that he was, with his Arabic and Druze accent, just stepped forward up the stairs of the place to ask in Hebrew for a table. With a brutal and rude tone, they told him no. The bar was a bar for soldiers so they said. That was a lie. And we walked back on the spot. Hitham was used to the fact. I was not. I was hiding my pain and my heart. Where was I? They would not let him in because he was an Arab. But where was I? In Munich in 35 when Jews could not enter a shop? In Berlin in 38 when Jews could not enter a theater? In Paris in 41 when Jews could not walk in a park? In South Africa in the middle of the apartheid? Enough was enough. Hitham was only here,-home. And since centuries. And I was in love with him, they could not touch who I cared the most for. And his brother was an officer in the Israeli army. Indeed, enough was enough. What else did they want more?''
(...) 40 pages to be followed.
And I was about to do it, to relate it, say everything, feel it all, as reported sociological facts. Or throw away everything, leave it all, bye bye my little notes, I did not know yet. There weren't only Gaza and the occupied territories in this land, they fucked there too, and rather seriously. It was by the way, these countless ineffable virile beauties that screwed my organs deep in, who made me stay and live in the Hebrew state.
The Hebrew State! The Hebrew State! The Jewish State! I had to turn it and return it it into what to present it and how? ''
''I was, by listening from such young mouths and beautiful faces of which I knew everything from underneath their belt, by hearing such a talk and interest about a dick being cut or not, every time, tremendously astonished, almost in chock. What's the hell they cared? Was I out of the group? Or still in? And, to such an intelligent question, intelligently I answered that as a cock in the Hebrew state, I only had the one of a rock lobster tail. They then cast their head and eyes down to look straight up back, somewhat looking at me much more distant.''
''And, yesterday, I came back from Haifa and had to rush to come back and sit and write down. Write down everything. Write it all at once. I had enough of the way they behaved. Enough of their lies. Enough of this democratic country. I was coming back from Lewinsky, outraged. I was coming back from a bar where I had taken my friend Thierry that had visited me more than once from Paris.
The fabulous and handsome Hitham had, as a gentleman that he was, with his Arabic and Druze accent, just stepped forward up the stairs of the place to ask in Hebrew for a table. With a brutal and rude tone, they told him no. The bar was a bar for soldiers so they said. That was a lie. And we walked back on the spot. Hitham was used to the fact. I was not. I was hiding my pain and my heart. Where was I? They would not let him in because he was an Arab. But where was I? In Munich in 35 when Jews could not enter a shop? In Berlin in 38 when Jews could not enter a theater? In Paris in 41 when Jews could not walk in a park? In South Africa in the middle of the apartheid? Enough was enough. Hitham was only here,-home. And since centuries. And I was in love with him, they could not touch who I cared the most for. And his brother was an officer in the Israeli army. Indeed, enough was enough. What else did they want more?''
(...) 40 pages to be followed.
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