THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
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Monday, June 6, 2011

HYMNE AUX MÂLES JUIFS / HYMN TO THE JEWISH MALES. E-> 2011 version

English translation below.


Quelques extraits...


''Foudroyé par de telles forces masculines, je sécrétais déjà tout de mes liquides.''


''Bien sûr j'adorais les arabes. Violents et affables, leurs yeux sombres d'une lumière éclatante transperçaient déjà mon vagin au premier regard, et leur parfait corps de jeunes esclaves dociles sur le mien, ouvraient à chaque rencontre, acerbes et virulents, ma bouche de pute sans lui demander son compte. Foudroyé par de telles forces masculines, je sécrétais déjà tout de mes liquides. Ils se vidaient de leurs besoins sans névrose et comblaient en sauveurs de leur virilité à toute épreuve, les obsessions de leur bienfaiteur. Ils savaient, glorieux, de coups saccadés et sans limite, apaiser les foucades de leur défenseur pour les affaiblir, et plus tard, en salope à arabe férue de leur monde, je pouvais et en juive, une fois bien remplie à fond par de tels canassons, à chaque fois ressortie saine et sauve et victorieuse de tels empalements, sans rien qu'on me demande, à ma façon, en salope devenue sexologue et un peu sociologue, finasser auprès des hébreux sur leurs médisances à leur égard, et essayer ainsi, au moins, de proscrire un max de leur tête ces méchancetés sans passer pour une conne. Enculée de toute part sous un palmier le cul à l'air ou bien isolée en cachette dans une piaule de Palestine qui appartenait à leur père, je faisais une fois revenue de Ramallah ou de Jéricho, de mon mieux avec mes connaissances acquises, pour après parler d'eux, un fois qu'ils m'avaient prise.
Bien sûr, j'avais autant d'amants juifs que d'amants musulmans et en connaissais toutes les différences. La beauté juive égalait celle de leurs frères d'en face, plus exotiques, et leur masculinité, plus occidentale, n'avait rien à envier à celle plus animale de mes grandioses bédouins; elle était du même niveau, d'une même intensité identique. Des deux bords de la rive du Jourdain, ils étaient tous avec leur grosse bitte en attente de dégorger illico presto, mecs à la puissance mec, et avec des gueules de mec qui rendait la mienne en une Audrey Hepburn, ma foi bien fragile. Ils faisaient des gosses à tire-larigot pour perpétuer la race, ou allez en savoir le pourquoi, mais pour sortir leur queue et se faire plaisir de vider le trop plein de leurs couilles sans cesse en ébullition, ils répondaient toujours présents en sages, devant la première tapette de passage pour s'en faire tailler une ou lui défoncer l'arrière de son train selon du moment, leurs pressants besoins. Les yeux bleus de Yaniv ne regardaient que ma bouche pour de sa queue de pilote l'enfourner, celle immense du bel Igal visait de chaque instant tous mes trous, les cheveux noirs de Ido et la barbe de Moshe caressaient pour la mordiller plus tard la pointe sensible de mes seins, le torse invincible de David et la force de Nathan me tenaient à bout de bras en leurs mains pour mieux me percuter dans le bon axe d'une pénétration exacte, et le plumage blond de Asher et les coups de bitte en furie de Yuval, eux protégeaient mes faiblesses de leur inviolable puissance à chaque culbute, comme Hérode dans son temple que nul ne pouvait plus détruire, et le soldat Gilad, dont l'excellence de son absolue beauté de pâtre de Judée qui de son immense carrure de Goliath et de sa courte barbe ténébreuse et rêche, une mitraillette en bandoulière du haut de ses deux mètres de béton, lui me protégeait contre toute attaque et me faisaient, de l'auguste ensemble parachevé de son colossal zob excisé, toujours pointé fixe et prêt à tirer, hurler aux abois en chienne assiégée, m'enculant tel un taureau sa vache pour n'être qu'à lui et sa propriété. Il voulait me garder en exclusivité et m'épouser, en femme juive m'honorer à me faire beugler pour que je n'aille pas sucer et me faire mettre ailleurs par ses confrères, et qu'au retour de la synagogue, je lui prépare les soirs de shabbat, un bon dîner. J'étais des deux côtés, une femme asservie à l'Homme, totalement confirmée, et leur jouissance de mecs en mes trous à gicler leur foutre au quart de tour, traduisait en époux mentaux, et avec de beaux mots, leur infini respect. Le savoir et l'intelligence millénaires d'une culture initiale aux moeurs familiales séculaires, renvoyaient les deux autres de leur copie musulmane et chrétienne droit au mur, et touchaient directement mon âme originelle de petite putain à moitié juive. Ils constituaient la formation de base du fin fond de mes entrailles, qui elles, depuis leur enfance, attendaient de leurs membres circoncis en de continuelles espérances, d'être de leurs origines israélites, entièrement approuvées, agréées, certifiées, et envahies. Le charme de leurs cheveux ondulés blonds, ou plus noirs que noir, ou de leurs cheveux ondulés roux que soulignaient des mêmes couleurs leurs longs cils, les mâchoires carrées de leur gueule dure et sévère et toujours sérieuse au sourire éclatant d'un ingénu garçon dès lors qu'ils se divertissaient, mettaient tous mes émois en joue. Ils pouvaient à sec, en bon juif, tout tirer, tout défoncer, de moi tout extorquer. Je devenais la Marie-Madeleine de mes Jésus qui au bord du lac de Tibériade, se les tapait tous à la chaîne, et je les vidangeais, grandiose, de leur fardeau en surcharge de sperme; je ne laissais jamais leurs démangeaisons du bout de leur gland entaillé dès la naissance au cuir désormais dur et solide, en rade. Ils avaient tant à en sortir et tant d'efforts à fournir pour bien profond, la trique de sang bien irriguée plus radicalement raide, l'évacuer, que chaque goutte se devait d'être exploitée à fond la caisse et sur le champ, en une Grâce du ciel qui m'était attribuée et qui leur faisait oublier tous les malheurs de l'histoire à être juif au cours des siècles, -pour leur bon plaisir. J'avais de mon attirance sans borne pour ce peuple auquel je savais appartenir et les beaux barbus de ses synagogues, de mon grand coeur de salope à la bouche toujours ouverte et de mon cul salvateur, une très large vision, tout aussi accrue, qui elle, bien au-delà du fin fond de mon royal gosier et de mes fonctions anales, apaisait à mes esprits les souffrances qu'ils avaient vécues. Reflués de toute part de Londres à Venise, de Moscou à Offenbach, bannis des prélats et des gros malabars de Cracovie à Zanzibar, il en avait fallu du temps et de l'endurance pour retourner habiter sur son territoire. Ça faisait un bail! Et j'étais venu les rejoindre, farouches, redoutables dans le combat, acharnés à tout entreprendre pour conserver à jamais les cinq mille ans d'histoire qui leur appartenaient. Cette ténacité m'éblouissait et à chaque fois du bout de leur tige si droite et puissante et si fière, conquérante et volontaire et qui n'en démordait jamais. La délivrance de leurs maux en des jets de foutre dans les profondeurs de mes orifices excavés leur rendait la Liberté totale qui leur avait été si longtemps reléguée, et jusqu'à Jérusalem, ils n'avaient plus à aucun intermédiaire à rendre de compte, rien à alléguer, seul à Dieu devant Le Mur de l'ancien temple. Je la recevais dans mes trous cette liberté, sans ordre ni ordonnance, ce qui était était, le bien ou le moins bien l'oeuvre d'un dieu, et mes oreilles, elles, en écoutaient de chacun, toutes les pensées, toujours trois en une, car une pensée juive allait loin, toujours très loin. Et Le Mâle Juif avait, en Maître, tous les droits de la penser, et d'agir. On en disséquait les détails de coeur et de raison, et d'une pierre, on pouvait déjà projeter de construire une maison. La planète que je connaissais bien de l'Australie à Paris n'avait jamais été aussi loin dans ses discussions qui n'étaient que pragmatiques, au concret des choses, trop uniquement relatives aux aspects pratiques. De cette base nécessaire et utile mais primitive, Israël de ses Jules irriguait mes canaux mais aussi mon cerveau de maintes autres réflexions, raisonnements et conceptions, considérations et autres observations. Qu'ils l'aient étudié en lettrés ou non, la Tora avait fait des mes queues des âmes instruites, et de moi sortie du plumard toute épanchée de leur liquide, une érudite. Leurs glandes séminales n'en finissaient pas de reproduire les substances génitrices qui les amenaient direct, de leur trique atrophiée à m'engendrer, et leurs neurones d'un génial cerveau transfusaient d'une même abondance aux miennes, toutes les idées qu'il fallait sans en laisser une s'égoutter au hasard. Et chacun avait raison. Il était dans la nature juive des choses, de les examiner, de les estimer, de les analyser, sans jamais et en fataliste, les juger; ça, c'était réservé à L'Autre.''


''Struck down by such masculine forces, I already secreted all of my liquids.''


''Of course I adored the Arabs. Violent and kind, their penetrating looks shining with bright luminosity the darkness of their eyes already pierced my vagina at first glance, and their perfect body of docile, caustic and virulent, young slaves topping so openly mine, made me proudly open my mouth of a slut without asking anything in return for my due. Struck down by such masculine forces, I already secreted all of my liquids. They emptied their needs without any neurosis and fully satisfied as saviors with their infinite virility, the obsession of their benefactor. They knew, gloriously, with endless jerky cock shots, to appease the caprices of their defender and weaken them, and later, as the bitch for Arabs that I was, fond of their world, once deeply stuffed by such nags, I could in fact, as a Jewish whore, without being asked anything, in my way of a slut that had become a sexologist and a bit of a sociologist, shuffle with the Hebrews to get along with their slanders over them , and try that way at least, to proscribe them the best I could without being taken for a lousy idiot. Fucked in all parts under a palm tree my ass in the open air or isolated in a hidden room of Palestine that belonged to their father, I did with the knowledge I'd got, my best, each time I came back from Ramallah or Jericho once they had royally, screwed me.
Of course, I had as many Jewish lovers as I had of muslim lovers and knew all the differences. The Jewish beauty equaled the one, more exotic, of their brothers in front, and their masculinity, more occidental, did not have anything to envy to the more animal one, but grandiose, of my local beduins; it reached the same level of perfection, the same identical intensity. Yaniv's blue eyes looked at my lips for his prick of a pilot to shove into them, Igal's gigantic one targeted at each moment all my holes, Ido's black hair and Moshe's beard caressed my nipples before they nibbled them, invincible David's chest and the strength of Nathan hold me tight in order to fuck me in the right axis deeper in, Asher's blond plumage and the cock punches of Yuval protected me at each somersault with their inviolable power, like Herod in his temple no one could destroy anymore, just as Gilad the soldier, whose excellence of his absolute beauty of a Judean herdsman, with his rough and dark short beard and his build of a Goliath, a rifle across the shoulder from the top on his seven concrete feet, protected me against all attacks and made me, intoxicated and insane from this august ensemble perfected with his colossal standing rod always pointed to the horizon and ready to shoot, making me scream at bay as a besieged bitch being fucked so hard like a bull his cow to be only his and his property. He wanted to keep me exclusively and marry me as a Jewish wife he would non-stop honor making me moo bro the skies, so I would not suck other dicks and get laid else where by his colleagues at the return of the synagogue when he'd come back on a Sabbath for a nice diner I'd prepared. I was on both sides, a woman submitted to her Man, totally confirmed, and their seed spurting into my holes right way traduced as mental husbands, and with nice words, their infinite respect. The millenniums of knowing and intelligence of an initial culture and morals that cornered the other two Muslim and Christian ones with their copy, directly touched my original soul. All of them were the base of its training from the deepest of my guts that had, since childhood, continuously been waiting for their circumcised member to grant and approve, certify and accept my israelite roots, and invade them as deep as can be. Opening my legs and mouth to receive their sperm was my dignity and privilege. The charm of their waving blond hair, or darker than dark, or their waving red hair which underlined with the same colors their long eyelashes, the square jaws of their hard and severe and serious face that suddenly the smiles of an ingenuous boy enlightened the air with glow each time they laughed, took my flutters aim. They could, and raw, fuck everything, break me in, and extort from me everything they desired at the time they fancied it, no matter what. I became the Maria Magdalena of my Jesuses who by the shore of the Tiberias lake, did them all in a row, and emptied, greatly, the overweight of their heavy load, - I never left a single one on the side the road. They needs mattered way before any whim of mine. They had so much to let go and so much efforts to provide with their fully with blood irrigated rod in order to evacuate it, that each drop deserved to be exploited to the max and straight away, making them forget the disasters at being a Jew through History , - for their full and complete and absolute sexual pleasure from the base of their balls till the glorious peak of their dick. I had with my boundless attraction for this People I knew I belonged to and the attraction for the bearded guys of its synagogues, with my big heart of a whore and my savior ass, a very large vision, very deep, and that, beyond the one of my organs, appeased to my spirits the thousands of years of suffering they had lived though the centuries. Flowed back everywhere from London or Venice, in Moscow or in Offenbach, banished by prelates and monsters in Cracow or in Zanzibar, it hat taken a long long time and endurance to come back and live on their land. Ages! And I had come and joined them, fierce, fearsome at fighting, determined to undertake everything possible to keep for ever the five thousands of years of history that were theirs. This tenacity of theirs dazzled me and each time, from the end of their so straight and so powerful and so proud conqueror and voluntary cock that always stuck to it all, firmly. The deliverance of their wounds into the depths of my excavated orifices, gave them back the total Liberty that had been for so long relegated to them, and they had with their culture until Jerusalem, to no go-between nothing to put forward, only to God in front of The Wall of the old temple. I received in my holes this freedom, without any complex, any judgement, any established order or ordinance, what was, was, the good or the less good as the work of God, and I received to my ears from each and everyone of them, all their thoughts, and way before the two in one conditioners shampoos, always three thoughts in one. A Jewish thought led you far. Very far. And The Jewish Male had, as a Master, all the rights to think, and to act. All the details with heart and reason were dissected, and with one stone, you could already build a house. The planet I knew well never went that far with its discussions that only were pragmatic and only concerned practical things. Out of this useful and necessary but primitive base, Israel with his guys irrigated my canals but also my brain with many other reflections, understandings and conceptions, yet with a thousand words more. Whether they had as well read guys studied it or not, the Torah had made my circumcised cocks being educated souls, and I, out of the bedroom still pouring forth their liquid, an erudite girl. Their seminal glands that never ended to reproduce their begetter's substances that led them with their atrophied stick to ride me on the spot, and their neurons of a genius brain transfused with the same abundance into mine, all the ideas needed that made me think without letting one drop go at random. And each of them was right. It was part of the Jewish nature, to look into things as a fatalist, and appraise them, analyze them, never to judge them. That was left for The Other Chap above.''




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