THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
WorldCopyrights@SACD 2011/ # 245252, 75009 Paris, France.



Saturday, June 11, 2011

Battery Park NYC, NY., USA. E->

English translation down below this page. gs


Quelques extraits...

''Peu importe la souffrance. Peu importe ses besoins. Je serai prête à déglutir tout ce qu'il voudra. Tout ce qu'il aura à déféquer. Il allait me faire de méchantes piqûres de sperme ad libitum qui allaient me détruire. Il allait me bousculer sans précédent pour vidanger chaque goutte de ses désirs à fond la caisse pour un total nettoyage à sec. Peu importe où et comment, la vidange sera parfaitement faite, n'importe quand.''



''Je ne savais pas, ce jour là, je pourrais le réécrire mille fois, je l'ai, depuis, repensé mille fois, que de ma vie de salope grandement vécue pensais-je, je n'avais encore rien vu. Tous les superlatifs des langues que je parlais ne se suffisaient pas à dépeindre la racontable histoire d'un mirobolant prodige, qui, de mes pauvres dires à mes intimes, paraissaient même à leurs oreilles pourtant familières, chimérique. J'avais gueulé fort, j'avais joui à m'en évanouir, je m'étais affaibli et soumis au Mâle à de nombreux rounds, et j'avais cru avoir été aimé de l'Homme, à son paroxysme. J'entrais ce jour, encore sans le savoir, dans le monde bien réel de ma propre mythologie et allais tout connaitre de mes personnages divins dont chaque Dieu en un seul, de la Guerre, de la Mer ou de l'Amour, l'un après l'autre, Le Dieu des dieux et des hommes en personne, allait, fondamentalement, de son lyrisme exclusivement viril, m'abattre. À New-York. Qui l'eut cru? Un nouveau testament, une nouvelle terre promise, un roi de tous les peuples, une ère nouvelle, un onzième commandement se prophétisaient. J'allais rencontrer l'Être Suprême et braver cette révélation.
Le taxi au 34 de la rue Durantin arriva. J'y montai vite, impatient d'arriver, le coeur battant, énervé, empressé de me montrer, excité de faire ma comédie, le feu au cul que ma détermination voulait à tout prix éteindre. Il me conduisait sous la pluie à toute allure, vers l'aéroport Charles De Gaulle dans la pauvreté de la rue Max Dormoy et du Boulevard de la Chapelle que je ne voulais voir derrière mes lunettes de soleil noires, y prendre le Concorde pour New York City pour plus tard, de là, rejoindre Hector à Nassau. L'appel de mes privilèges de grande putain vivant sa vie ardente de rêves fougueux et passionnés entre les Bahamas, Paris et Manhattan, était des plus incandescents, rendant mes esprits échauffés, lumineux et suffisants.
À mon arrivée, une grande brute serbe aux longs cheveux blonds sous sa casquette de chauffeur m'y attendait, fixe et immobile, hardi et loyal, audacieux, presque effronté mais le sourire assassin et les yeux verts de prédateur qui du haut de ses deux mètres, tenait, discrètement inscrit en noir sur une pancarte blanche, mon nom, d'une belle et grande main ferme. De sourires discrets et froids d'usage, il prit aussitôt mes bagages de grande dame et me montrait, comme un scout éclaireur, le chemin. Arrivés devant la limousine noire longue de dix mètres, il ouvrait délicatement la portière droite arrière me priant avec révérence, de m'y installer, puis mit les valises dans le coffre. Le grand gaillard sportif et méchant se mit au volant de sa grande voiture pour me conduite à l'hôtel. Nous démarrâmes. Accompagnée de ses immenses lèvres charnues qu'entourait sa courte barbe blonde et de mots courtois de bienvenue sous sa casquette de pilote, ses élégantes mains velues d'or l'ôtèrent à ma gracieuse et souriante demande. Je lui proposai en femme du monde retirant mes gants, de se mettre à l'aise en ma compagnie, le regard insistant, les lèvres posément articulées qu'il remarqua avec discrétion dans le rétroviseur. Dès ses premiers pas autour de la limo une fois arrivés sous le porche de l'entrée qu'il fit pour ouvrir la portière, je savais déjà derrière la vitre, assise à la hauteur de ses hanches, qu'il allait me faire oublier de sa carrure et de son pelage de lynx, la suite de ce voyage de touriste avec son manche. Il n'était pas question que ce monstre viril d'une telle exceptionnelle beauté ne me lâchât d'un pouce. Je ne pensais qu'à sa queue et qu'elle allait me faire beugler. J'allais gueuler dur. Elle allait envahir et obstruer tous mes orifices jusqu'au plus profond de mes entrailles, et plus loin encore. Rien à faire, il fallait que j'y arrive et que j'y arrive vite. Plus tard serait trop tard. Je n'allais pas laisser une telle magnificence de masculinité évoluer à distance. Je me devais de préparer mon cul et mes esprits à l'idée d'être transpercée vive de sa verge de gladiateur, empalée de sa bitte de géant, méprisée de sa queue de colosse, éblouie par ses couilles de titan, sans condition. Je me préparais au supplice. Il devint aussitôt ma prière. Je recevrai tout de lui. Tout. Tout selon ses besoins de surhomme. Comme il le voudra, comme il lui plaira. Peu importe la souffrance. Peu importe ses besoins. Je serai prête à déglutir tout ce qu'il voudra. Tout ce qu'il aura à déféquer. Il allait me faire de méchantes piqûres de sperme ad libitum qui allaient me détruire. Il allait me bousculer sans précédent pour vidanger chaque goutte de ses désirs à fond la caisse pour un total nettoyage à sec. Peu importe où et comment, la vidange sera parfaitement faite, n'importe quand. Il pourra tout de lui évacuer; je m'y engageai à l'instant. Sa moindre pulsion, les moindres titillements de ses reins jusqu'au pinacle de son gland en passant par les cavernes de son édifice seront mon immortalité à les lui liquider. Ma gloire et ma prospérité. La passion de faire jouir cet Hercule se déviait aussitôt en une obsession constante d'admiration profonde en une idolâtrie, un dogme autoritaire, un absolu fanatisme, un constant hymne au Mâle. Un tel ogre se devait d'être mien. Il pouvait déjà me cracher dessus, me marcher dessus, me caquer dessus, me pisser dessus, me faire bouffer ses bottes souillées de merde, me frapper, je sus, maligne et si désireuse de l'être, que j'allais de ses odieuses tortures de héros avoir des pertes. Il allait me mettre, et me mettre K.-O.
Il m'accompagna dans la suite réservée par Hector et devant le groom dans l'ascenseur, je lui dit en effleurant d'un doigt son cou d'acier, qu'il se devait de rester avec moi ces quelques jours ne connaissant pas la ville, lucide et avertie d'un phénoménal monument de malabar qui me faisait déjà un peu peur et me rendait anxieuse. Cette unique anxiété était produite par la crainte de ne pas pouvoir satisfaire son membre en entier pour achever mon travail de tête qui me couronnerait de son l'explosion interne. Tout prendre en bouche et dans mon cul allait être un prodigieux travail, une lourde tâche, une appréhension perpétuelle, un labeur de démesure, un acte de violence, un sévisse. Il fallait que je me conditionnasse à cette première épreuve de martyr qui ne pouvait être que buccale, faisant totale confiance à la perfection de mon art sans faille pour actionner, bien qu'organiquement jamais propulsé à un tel emboitement. Celui dorsal, trop fatigué du voyage et pas encore délivré de ses obstacles, n'eût jamais pu avec excellence vidanger le colosse. Je commandai aussitôt la porte de la suite fermée, du caviar pour célébrer cette première sur le sol des États-Unis, le remerciant ainsi de son accueil. Je le mis à l'aise en lui disant que de ce premier séjour à New York City, il me ferait découvrir Manhattan et que je le paierais pour. Il sourit, d'un regard dubitatif devant mes yeux de mondaine mielleux et hypocrites. Hector avait bien fait les choses; il devait m'y guider durant toute la durée du voyage, ce que je ne savais pas. Il était l'un des chauffeurs de sa banque. Il sourit encore, sans dire un mot, spontané, sincère, à cet empressement de champagne dont j'ouvrais vite la bouteille posée sur la table du salon et s'avança, d'un pas sûr de lui, pour me donner une tape franche sur l'épaule, comme un remerciement emporté de grand gaillard sportif et naïf entre potes à la sortie du stade. Il se mettait peu à peu en confiance de quelques mots familiers d'un mauvais anglais au fort accent slave tout en s'assoyant sur le canapé à mon invitation, les guiboles en béton alors écartées, les gros genoux pointant le seul horizon de mon univers. De mes incontrôlables regards sur ces longues et monumentales cuisses au repos sur le sofa, je me mettais à genoux, cool devant lui au milieu de ce vaste terrain, condamné entre ses deux gigantesques piliers à servir deux flûtes, et lui ordonnai, sans politesse ni vergogne, d'un ton résolu, les yeux détaillant son grand corps des pieds à la tête, une fois le verre en main rempli que je lui tendais, le regard alors précisément rivé sur sa ceinture, de prendre ma nuque de l'autre main sans dire un mot. Il fut surpris de cette rapide supplication en un ordre, mais pas trop étonné quand même à la constance de mon obscure passion qui de chaque seconde depuis la première de mon arrivée, n'avait cessé de grandir en des déambulations, gestes et mimiques de petite garce. L'homme n'était pas dupe. Telle une démarche de repentance à un chef, je m'excusai toutefois d'être aussi ferme. Aussitôt les yeux sémillants d'éblouissement et mes lèvres affamées, tout à coup articulées à l'outrance, vulgaires et sans honte, comme un chant d'opéra dévoilant ainsi leur diamètre pour soumettre à ses esprits le potentiel démesuré de ma cavité buccale, j'allais lui faire gonfler le levier. Tout chez lui sous son costume de chauffeur était énorme de virilité. Ses épaules taillées dans la masse, ses cuisses de rugby man, ses mains de gorille, ses mâchoires carrées dont sa barbe parfaitement taillée amplifiait les angles, ses chaussures de taille quarante-huit, son regard vert méchant, sa queue que je savais de bulldozer, sa pilosité de velours et ses longs cheveux blonds allaient me faire tomber en syncope. J'avais déjà perdu la conscience et le mouvement. Tout chez lui était immense. Tout. Ma chatte, en un feu incontrôlable, mouillait de brûlants liquides infâmes. Gêné et captif, il me fit d'abord boire dans sa flûte de champagne caressant de deux doigts mes lèvres, prêt pour l'aventure que je lui soupçonnai d'être nouvelle. Il amorçait ainsi ses désirs et calmait sa légère angoisse dont je pouvais cependant subtilement observer sous la flanelle, la montée grandissante d'une formidable bosse. Il allait bander à mort. Il avait eu pour ordre d'Hector en chauffeur et garde du corps, d'avoir à mon égard la plus grande attention et il me le dit, moitié narquois, outrecuidant, moitié bagarreur. L'homme était dévoué à Hector et cela se lisait sur son visage de serviteur en chien fidèle, qui ne pensait pas trop; tout ce qui me fallait pour être suppliciée d'une gueule de footballeur et d'étalon sauvage. Je n'oubliais pas non plus que cette tapette d'Hector l'avait sans doute engagé aussi pour sa beauté de gladiateur et se le taper. J'arrêtai de penser. Je dirigeai doucement mes mains en direction de sa ceinture en lui demandant les yeux dans les yeux; 'je peux?'. Son discret sourire légèrement craintif mais curieux et téméraire, en réponse les yeux baissés, m'invitait à le faire. L'homme ancien flic ou gangster n'en avait rien à faire de se faire traire. Je sortais sans tarder aussitôt de sa braguette que j'ouvrais déterminé, mais avec délicatesse afin de ne pas heurter l'ampleur de sa consistance ne lui ôtant pas les pantalons, sa verge, à l'architecture titanique déjà avec brio durcie, et lentement, je déployais le montage final du gabarit pointant désormais les cieux, maintenant bien dressé sous les pressions de mes caresses verticales et succions buccales jusqu'au zénith. Fermement déployée à son point culminant, solide et résolue, j'enfournais sa bitte en ma gorge. Implacablement plantée là en mon gosier devant mon bonheur, je sévissais. Sévèrement franche et gaillarde et sans retour possible à un autre âge, imperturbable, elle s'engouffrait. Le monstre architectural de trente centimètres de haut sur cinq centimètres de large me pilonnait de son gland coriace et têtu, en une force excessive. Il se braquait farouchement de son point culminant dans les abîmes de ma caverne, déployant de faiblesses et de désirs, mon acharnement à le satisfaire. Je m'agenouillai alors de plus près avec respect tel un culte vénéré à ses pieds pour le décharger de sa pesante cargaison. La taille de ce gigantesque pilonne avec comme décor le fond de ses pantalons noirs sur ses entre-cuisses poilues blondes, ne m'invitait qu'à une lourde et intense concentration à exécuter mon oeuvre qui tournait de son art, en une performance de corridor des babines aux amygdales offrant ainsi les portes de mon larynx à son paradis. Un lieu de délices où sa bitte ne s'était jamais débardée. Et j'allais tout dévorer. Je voulais lui prouver à qui il avait à faire. J'insistai dans le silence de mes mains sur les siennes tout en continuant mes allers et retours, à l'inviter de tenir fortement ma tête pour la guider à son rythme favori tandis que j'adaptais de mon buste, le bon niveau d'inclinaison de ma pente dorsale à empaler mon orifice oral de ce monumental engin dans le bon axe de son ouverture, m'agrippant alors à ses chaussures pour une parfaite stabilité et maîtriser de fait, ma respiration nasale sans fêlure. Il baignait dans le fin fond de ma crevasse à sa guise. Je ne voulais pas le brusquer. Il commençait sous mes pressions labiales intensément contrôlées par les inspirations hautement techniques de mon pif au travail, à percuter de son cylindre herculéen dans son entièreté le fond de ma cale, à soupirer et geindre en fermant les yeux. Il commençait à râler en étirant posément ses jambes pour plus de confort en calant bien ses hanches. Il embourrait la rainure de mon infinie fierté à son comble; ça y est! L'Homme était conquis dans le plus intime à m'asperger un max de son organe. Il commençait illico à forniquer l'intérieur du conduit en serrant tout à coup ma tête beaucoup plus fortement, la guidant ainsi dans la cadence de ses fonctions une fois le cylindre avalé en entier, et tamponnait de plein fouet le larynx. Il enculait les profondeurs de ma gorge comme on encule un trou du cul trop étroit. Il enculait ma tronche. Ô! Seigneur! Avec insistance et sans complaisance, il la baisait à fond de cale de plus en plus fort. J'étais aux anges. Il la limait sans politesse ni respect, à fond la caisse. Son diligence s'appliquait de plus en plus forcenée, et ma vanité à dérouiller de son engouement, inépuisable. Il gémit tout doux en un court instant mon nom, couronnant alors d'honneurs sa déesse. Maintenant, il geignait, il commençait à marmonner, à grogner son plaisir, à se lamenter de ses désirs. Gardant, serré, distant et dédaigneux, de ses pouces mes tempes dans le bon axe, j'étais à son service. C'était fait. Seul au monde pour lui mon trou comptait pour rentrer au plus profond du vice. Il avait compris sa place à tenir et me montrait ainsi la mienne à garder. L'Homme était en moi. Il me prit une folle envie salace d'activer comme une aliénée les pressions et les allers-retours de ma bouche en un tempo de violence précipité et hystérique. Je m'agrippais alors à ses cuisses pour de son globe en butoir, écarter mon larynx jusqu'aux anneaux cartilaginaux de la trachée. Ainsi je communiais avec lui dans les grondements de sa voix rauque dont il était prisonnier, et moi asservi au fondamental. Une telle prouesse physique d'engouffrer un tel instrument dans ma tuyauterie me faisait larmoyer. Le front chaud et brûlant d'avoir un tel élément extérieur en mon corps, j'activai. J'activais un long, un long moment les pressions et la cadence de mes entrées et sorties glottales. Les sons émis de ses cordes vocales m'étaient une bénédiction. Une alliance totale. Une complète harmonie. L'Homme allait jouir, tout jaillir, tout cracher, tout balancer. Il allait enfin déverser son liquide et le répandre en mon fabuleux embrayage. Exténué de mon éprouvant exercice, je décidai, l'index pressé à la base de la veine inférieure frontale de son auguste colonne caressant du reste des doigts ses couilles, aux activations dévorantes de mes intensives navettes buccales, de me faire inonder, favorisant alors la pression labiale au niveau exact du méat urinaire pressant en plus de mon annulaire, la veine dorsale. C'est alors qu'il explosa en tonnant, directement sa foudre en mon entonnoir, giclant sa lourde semence dont le suc éclaboussa les parois pour descendre passivement en mes entrailles au son de mon nom à nouveau sourdement soupiré juste avant l'éjaculation finale libératrice de ses souffrances. Je me délectai à son nectar d'une gloire infinie et d'un fabuleux orgueil. Un Gloria Alleluia. Une gloire à Dieu. Un éloge à la virilité. Une oraison au Mâle. Une célébration. Une inclination à la Force.
Calmement, mais le geste déterminé, après quelques secondes de répit à expirer l'ardeur que son épopée exprimait, il sorti, tout doucement, en redressant son torse, ma bitte de sa petite culotte de soie, descendant délicatement l'étoffe comme une mini-jupe portée par une femme fragile mais déjà infligée de taches humides aux préliminaire, aussitôt ma gorge libérée de son emprise. D'un mouvement circulaire et prolongé en une cadence alternée, il agitait alors son index en mon prépuce tel un clitoris, afin que je fisse avec mes petits cris graveleux de femelle affaiblie, les froncements d'un visage assujetti à sa puissance, et en jouisse, les yeux dans les yeux, immobile. Il me demanda, et me le dit, empoignant fermement mon épaule le regard fixe et foudroyant de mépris. Il voulait entendre jouir une salope de mon niveau, l'abattre et l'amoindrir, il me le dit aussi. Il insistait sévèrement de ses mots de mauvais anglais, sur l'instant qu'il était entrain de vivre à faire jouir une queue de sa propre main, j'étais sa première. Il me glorifiait sans le savoir en me le disant, la femme handicapée que j'étais. Il devenait ainsi Dieu, et, en quelques secondes, il provoquait l'orgasme rêvé, avivant mon vagin qui déversait ses rivières de gloire en couinant, petite fille blottie dans ses bras. Il essuya l'air dégoûté, volontairement, mon foutre sur ma veste de cachemire comme sur une serpillière pour vite s'en débarrasser, me faisant bien comprendre l'autre main sur ma nuque et le regard fixe, qui de nous deux devait garder sa place. Il allait me dompter. Puis il se retirait lentement se radossant aux coussins et posait ma tête sur son torse en caressant ma gorge et mes lèvres, les remerciant. Nous nous endormîmes comme de vieux amants. Qui eut pu le croire? Le son de nos inspirations sereines sur le divan pour tout dialogue n'en aspirait aucun autre. Nous étions au sortir de nos orgasmes les exclusifs possesseurs d'une absolue fusion. Lui, L'Homme omnipotent d'une Absolue autorité et moi, La Femme, une histoire simple en somme. Je croyais avoir vécu ma vie de salope. Je n'avais encore rien vu. Je venais de naître.
Chez lui, le lendemain à Battery Park, après un soirée de goinfreries au restaurant du Waldorf où, invincible, je l'avais à mes côtés exposé en trophée devant les regards jaloux des femmes qui n'arrêtaient pas de contempler sa beauté, chez lui le géant dont j'avais à nouveau avalé en entier dans la nuit ses trésors, il m'emmena. Avec peu de phrases ni beaucoup de mots dans son anglais très pauvre, il me faisait comprendre une main sur ma cuisse en conduisant, qu'il allait me tirer d'amour en une baise sauvage d'une danse serbe qu'il allait me faire connaitre dans le petit lit de son petit taudis qu'il voulut me faire visiter au hasard des visites en voiture de la ville dont je n'avais plus rien à foutre. Dans les escaliers de bois délabrés et dans les senteurs humides d'une moquette grise et sale déchirée qui menaient à sa porte, tous deux redevenus des étrangers au faste de mon hôtel, prédateur calant sa proie aussitôt la porte refermée, à l'angle précis du mur que longeait le matelas, embrassant mes entrailles de toute part, lèvres contre lèvres et langues entremêlées, dépendante de sa masse de malabar, soumise à sa force, gouvernée par sa grandiose suprématie, mordant chaque centimètre de ma peau, me pénétrant les yeux dans les yeux dans un carambolage sans contrecoup du choc, je recevais béatifiée, tout de son âme, les bras en croix qu'il serrait de ses mains mordillant mes aisselles. Il me baisait. J'avais longuement préparé avant d'être broyée de sa queue de mastodonte, ma voie rectale, totalement libérée de ses obstacles, désormais parfumée et huilée, et ses parois, nickel et résistantes à l'épreuve de sa force, maintenant prêtes à être assénées. Il pouvait cogner de toute ses forces pour me culbuter et me culbutait, en enfonçant son imposant tronc dans le plus profond. Il me bombardait de ses sécrétions en des souffles rauques sur ma nuque aux allures de foehn. J'étais à lui, chez lui, sa chose, son objet pour jouir, son trou a désirs, l'excavation de tous ses plaisirs. J'avais déjà depuis la veille les clefs de se petite bicoque, honoré de délices au jardin d'Eden, bouffi d'orgueil d'être enculée par un si beau mâle à la puissance mâle et dont les allers-retours de ses mèches blondes sur le front, au son de l'agitation de l'air dans ses poumons, m'opprimaient de désirs obscurs. Il m'enculait et m'enculait encore et encore, me martelait en saccades à mes implorantes prières d'être enfantée, hurlant de cris féminins qui décuplaient l'intensité de sa baise à me tirer l'oignon déjà bien amoché par ce dragon. À quatre pattes en levrette tête baissée sur le drap chiffonné et puant, en offrande, mon trou du cul pour se déchaînât, frénétique. Sur le dos les jambes écartées à recevoir ses crachas et ses insultes d'homme des Balkans, un doigt, deux doigts, trois doigts, quatre doigts humectés de salive dans mon fion pour le dilater d'avantage, il me tambourinait de plus belles d'un seul coup d'un seul de son bulldozer en ma merde et le sang de l'agonie de mes souffrances qu'il aimait agacer. J'avais des pertes. Assise face à face sur son monstre comme sur le camionneur de Palm Spring à tortiller de ma grosse caisse son entrée pour en sortir son jus, accroupie de dos sous son corps allongé à me tirer la peau dorsale pour contrôler la perfection de ses désirs à la mélodie de mes balancements verticaux qui le feraient encore jouir de son gland en mes intestins jusqu'à la dernière goutte d'épuisement, l'ogre me faisait atteindre le point culminant des traumatismes de l'aliénation mentale de mes cieux. Dans l'angle de cette pièce, je remerciais tous les Dieux d'avoir donné à mon cul une âme. Il n'arrêtait pas de contenter mes implorations de femme aux enfers en enfonçant jusqu'à la cime stratégique de ma cavité rectale, d'agressives entrées et sorties, les trente centimètres de sa divine procession. Il sortait de mes boyaux, toute ma dévotion à L'Homme. Il avait en lui la force manichéenne et moyenâgeuse de l'état serbe tout entier à son apogée sans aucune barrière. Je le rendais Libre. Il était enfin désentravé de ses lourdes chaines qui avaient depuis son arrivée, empêché de faire travailler son épaisse et si longue verge dans cette ville où seul, l'argent qu'il n'avait pas et qu'il envoyait à sa femme et ses gosses l'avait privé de plaisirs. Mon cul devenait sa providence à s'affranchir de tous ses manques et envies qu'il n'avait pu s'offrir. Et comme ils savaient m'anéantir. Je ne voulais plus repartir. Je venais de rencontrer l'apologue du Mâle. Une splendeur infinie. Toute l'absolue Beauté d'une dictature enchanteresse dont je remerciais encore, tous les Dieux d'être canonisé par l'Être suprême et d'entrer en amazone conquise dans la Jérusalem céleste. Zlatko en était l'exclusive clef, l'exclusif chef. Et j'étais déjà, je le savais, de tout l'argent d'Hector qui m'avait fait quitter Paris et attendait à Nassau dans le coffre de son château, de ce méprisable bastion déjà saccagé, avec outrecuidance excommunié. Je préférais être l'épouse de ce travailleur immigré.''


I thought I had seen it all and had lived my life of a slut, I had seen nothing yet.


''I did not know on that day, and I could re-write it a thousand times, in fact, I have been thinking about it since, indeed a thousand times, that my life of a slut I thought I had greatly lived so far at its peak, had seen nothing yet. All the superlatives of the languages I could speak were not enough to depict the relatable story of a terrific wonder which, even told with poor words to familiar relatives' ears sounded, fanciful. I had screamed hard, I had come and had fainted from it, I had weakened and submitted myself to the Male rounds and rounds before and I had thought I had been loved by Men at a paroxysm never on earth, by anyone, equaled. I was on that day, entering the real world of mythology and was about to know its divine characters of whom each Greek and Roman God, in one, one after the other, God of War, God of the Sea or God of Love, The God of the gods and men in person, was to, fundamentally, with his exclusively virile lyricism, knock me down. In New York city. Who would have believed it? A new testament, a new promised land, a king of all people, a new era, an eleventh commandment were being prophesied. I was about to meet the Supreme Being, and brave him.
The taxi arrived at number 34 of the Durantin street. I got in in a hurry, eager to arrive quickly, impatient, excited to do my bit, irritated, nervous and alert at the same time by too many emotions. He drove speeding away in the rain to the Charles De Gaulle airport as fast as he could to my demand, through the poverty of the Max Dormoy street and the murky darkness of the Boulevard de la Chapelle I refused to see and did intend to avoid behind my dark sun glasses, in order to only concentrate on my luxury trip ahead, the exquisite journey of a highly paid whore. The Concorde was waiting for me on my way to New York City where I would stay a few days and from there on, fly an other plane to meet Hector in Nassau. The hot-blooded call of my privileges of a first class slut living her life between Paris, Manhattan and The Bahamas, was torrid, burning all of my spirits, making me only be, luminously bumptious.
As I got there, a tall blond Serbian brute wearing a chauffeur cap was waiting for me with a killer smile and the green bright eyes of a seven feet tall predator, immobile, proud staying still with the little white pad in his hands on which my name was written in black. He carried the suitcases of the great Lady who just arrived and showed me the way to the limousine until he formally opened the back right door bowing for me to take place and put my luggage in the boot. His long golden hairy hands and big lips were now set to drive me to the hotel with the usual welcoming words as he took his cap off at my demand and me, my gloves off. I wanted him to feel comfortable and watch his terrific long shining fair hair that already imprisoned me. I knew from the moment we arrived under the porch of the Waldorf Astoria as he walked his first steps around the limousine to open my door that his stature as well as his lynx fur would make me forget the rest of this Dame of quality's journey. It was simply out of the question for this exceptional gorgeous monster to leave me for a second no more than one yard away. I only thought of his cocks that was going to make me scream and scream loud. I was about to yell hard. It was going to invade and alter my holes to the deepest of my guts and farther. No other way possible. It was bound to be that way, knowing that I had to prepare my ass and my mind to the idea of being pierced under no condition by his titanic dick and balls of a giant. It became my one and only prey. I would receive everything from him. Everything. Everything according to his needs. As he wishes. No matter the pain. No matter his needs. I had to get ready to swallow anything he'd want and fully satisfy his fancies. Anything he'd have to defecate, I'd provide what it takes. He was about to give me injections of sperm ad libitum, hustling me to get rid of each single drop of desire. No matter where, no matter when. The slightest pulse, the smallest little tickling from underneath his belt would be my immortality to liquidate them. My glory and my prosperity. The passion of making this Hercules come was turning into a deep admiration, second after second into an authoritarian dogma. Into an absolute fanaticism. Into one constant Hymn to the Male. Such a beast had to be mine and do me as he'd please. I knew by coming in my insides under his wicked tortures, I was about to get losses.
He escorted me to the suite Hector had reserved and in front of the elevator groomsman, I said to him touching with one finger lightly touching his iron neck, that he had to escort me during the few days of my staying in NYC as I did not know the town at all, with only his member in mind I guessed by experience to be phenomenon knowing I had reasons to be frightened from it. My only anxiety was produced by the fear of not being able to satisfy him and achieve my head job of a queen till the last drop deep in to conclude my task. To take everything in my deep throat and in my ass was about to be a tremendous work. One continuous apprehension. An overweening labor. An act of violence not anyone could stand. A suffering. I had to immerse my mind from all ideas to achieve this first test. And this first test could only be oral for me to feel self-confident as I could only rely in order to reach my legendary perfection of my blow jobs, on my highest skill and hold myself to it with no failure. My back was far too tired from the trip and not yet had been delivered from its obstacles to reach equal valuation. I at once ordered some Champagne and caviar as the door closed to celebrate my first on the soil of the United States. That was my way of thanking him and making him feel at ease before i asked him to make me discover Manhattan and that he would be paid for. Hector had done things nicely; he was here to escort me during my entire staying anyway but I did not know it. He was one of his bank's chauffeurs. He smiled as he saw my hurry to drink Champagne and stepped forward spontaneously to slap my shoulder as a frank thank to this invitation. The frank thank of a naive and pure sportsman congratulating his buddies after playing in the stadium. He slowly bit by bit felt confident and used again in a bad English with his Serbian accent, the common usual welcoming words before he sat on the sofa stretching his long impressive legs. i opened the bottle on my knees in front of him and begged him straight away with a firm shamelessly voice to hold my head strongly without saying a word, while my eyes were gazing at underneath his belt. He looked surprised by such a quick beseeching but not so agape after he had been watching the ambulations of a little bitch in need that could not control anymore her raising passions right from the moment we met. I guess he knew from the start what to expect with me. I told him excusing myself like a process of repentance to a chief with yearning eyes, outrageously articulating my lips like an opera singer would, submitting, suggesting to him that way the potential of the diameter of the aperture. Everything in him was enormous of virility. His shoulders built in a rock, his rugby man's legs, his gorillas' hands, his square jaws, his shoes size thirteen and his aggressive natural look and his cock I knew to be a force of nature and his velvet hairiness and his long blond hair. Everything, Everything in him was immense. I was getting wet. Embarrassed but captive, he first made me drink in his glass caressing my lips first with two fingers getting slowly ready to explore the adventure I could feel to be a new one for him. He was adjusting his desires to my baits calming down his light anxiety. He had received as an oder from Hector, to give me the best possible treatment. The man was devoted and that could be read on his face like one faithful dog that did not think much. One docile wild stud. I did not forget he had been hired by Hector that obviously had employed that beast for his exquisite beauty. I slowly directed my hands toward his belt asking him eye to eye; 'May I?'. I was determined. His discrete and slightly fearful smile was inviting me to carry on just like his curious and bold eyes downcast did. The man was not afraid of anything. Without waiting any longer, without taking his trousers off, I took out of his zipper that I carefully opened with care in order not to hurt the magnitude of its consistency, his birch whose titanic architecture started for get hard with splendor but slowly and still embarrassed until it finally stood harder and harder to reach the final assembly of the template to its highest peak, strong and resolute. Implacably standing still in front of my happiness. Severely brandishing its invincible power with no possible return to some other age. Imperturbably proud. An architectural monster pointing up its twelve inches high by two and half wide whose stubborn and tough knob fiercely aimed to the skies intoxicating my weaknesses and desires like a revered worship down to his feet. The size of this huge pounded standing in the decor of his black trousers and his fair hairy legs I could guess through invited me to a heavy concentration to start my head job. The performance of my corridor till the tonsils was about to open him the doors of my larynx for his paradise. A place of delights where his dick had never engulfed. I was about to eat it all up. To prove him who he was dealing with. I insisted once more without saying a word with my hands on his to keep them as tight on my head as can be while my chest took the right slope of inclination for him to dig my oral functions with his monumental cock in the right axis of their aperture. I hold myself to his shoes for the perfect corporal balance, mastering my nasal breathing so he could bath as he pleases to the bottom of the crevasse. I did not want to browbeat him. Under the ins and outs' action of my intensively controlled lips pressure and my highly technical breathing at work getting this herculean cylinder deep in , he started to sigh closing his eyes and stretching widely his legs for a better comfort. He was stuffing my infinite pride to its deepest. That's it! The Man was conquered. He started to fornicate at once the interior of the pipe firmly holding my head guiding with his hands the rhythm of the up and down action crushing right in front the larynx's aperture with his warrior's knob. He was screwing it as he would fuck a too narrow ass hole with insistence and no complaisance. He was smashing the bilge to its hollow, rimming it with no politeness or respect speeding a max. His eagerness was grand and my vanity to whack, inexhaustible. Then, he softly groaned my name for a moment. And he started to groan endlessly. Started to grumble of desires. The man was captured and done. Only on earth my hole counted. He had understood which spot to fulfill and was showing mine to keep. The man was in me. A sudden salacious insanity came to my mind to activate like mad in a violent tempo the in and out returns with a stronger lips pressure when the whole of his thirteen inches were all in. I grabbed his steel legs for better stability for his globe as a final foil to swerve the bony rings of the trachea. The communication with the rumbling of his vocal cords whose a prisoner he was and me enslaved to them was perfect. I was enslaved to the fundamental even if it was a physical prowess to gorge such a gear into the pluming .That was making me weep to have such an external element in my body. I activated. Activated a long, long time the pressures and the cadency of my glottal entrances and outs. The sound of his mumbles was to me a blessing. One total alliance. One complete harmony. Then, exhausted by my stressful exercise,. I decided, my forefinger pressed on the frontal inferior vein of his majestic column , caressing with my other fingers his balls to the activations of my devouring mouth and intensive shuttles, to make him come. He automatically exploded directly into my funnel shooting his heavy seed whose juice passively dropped down to my insides to the sound of my name he secretly last sighed before the final ejaculation. I relished of infinite glory and fabulous vainess his nectar. It was a glory to God. A Gloria Alleluia. A praise to virility. An oration to the Male. A celebration. An inclination to the strength.
Quietly but with a decisive action, he took my stick out of his fine underwear as he was taking it out of a mini-skirt once my gob liberated from his impalement, and, with a circular alternating movement he turned round his forefinger into my forehead skin like one would play with a clitoris to make me come listening to the weakened little cries of a female slut moaning about and watched eye to eye my frown face under the influence of his power. He said it to me immobile. He asked me to blow that way. He wanted to hear a bitch of my caliber, despondent, felled and defeated. He was God. In a second I got an orgasm. He wiped off the load on his hand onto the sleeve of my cashmere jacket like one would on a mop while holding my nape with his other hand not taking his eyes off mine. He was predicating whom between us two had to keep the part of a servant. He was going to tame me. Then he gently withdrew leaning his back against the cushions taking in his hands my head he bent on his chest and caressed my golden throat. The serene sound of the air we inhaled and exhaled needed no other dialogue. We felt asleep on the sofa. We were both at the edge of our accomplished orgasms the exclusive possessors of an absolute fusion. He The Man. I The Woman. I thought I had lived my life of a slut. I had seen nothing yet. I just had been born.
The next day at his Battery Park's place he wanted me to see, when driving around town for a visit I could not care less anymore since I arrived, we quickly went. I knew I was about to get screwed to the rhythm of a Serbian dance I never explored before and I had prepared myself for it, oiled, perfumed, delivered from any obstacle, my path of pleasure was fully ready to receive. With no long phrases of introduction into words he could hardly speak in English, in the broken little single hospital bed of his little slum which wooden floor staircase was covered with an old and dirty torn grey carpet smelling damp, he was welcoming me, about to make love to me, both alone on earth, him and I as strangers to the splendor of the Waldorf Astoria suite. This hovel was pure art. Everything was so perfectly disgusting and putrid. Heaven was so perfectly set. He became the predator wedging his prey eating my guts alive all over on the old dusty mattress along the wall, lips to lips, mouth to mouth our tongs intermixed, totally dependent on his colossal bulk, submitted to his force, governed by his authority, every single inch of my skin bitten to blood, screwed slowly at first eye to eye, my arms crossed tight by his hands receiving his soul by the biting of his teeth on my armpits. I was totally his, at his place. I already had since the night before the keys of his shack, honored of delights in the garden of Eden. Puffy of vanity to be fucked by such a handsome man power male whose ins and outs of his blond wicks on his forehead and his hoarse breathing were oppressing me of obscure desires. We did not sleep a wink the whole night long. He fucked and fucked and fucked again to my heartfelt prayers to give birth, screaming feminine cries that increased as he liked the intensity of fornication into my gap that was already quite bruised. Used and abused to his command. In a doggy style on all fours, head down on the mattress, my hole in offering for him to fuck berserk frenetically. Legs up laid on my back greeting the spits and insults of the man from the Balkans, one finger, two fingers, three fingers, four wet fingers moistened by his saliva to dilate the entry even more and hammer in one stroke his trunk into the the shit and the blood of my sufferings he pleased himself to annoy. Sitting face to face on his monster like I sat on the Palm Springs' truck driver screwing my ass up and down till he got rid of his juice. Or, back squat on his laid body for him to pull my dorsal skin to control the perfection of his desires to the melody of my vertical swinging that would make his knob come again into the my intestines till the last drop of exhaustion. In the corner of that room, he never stopped contenting my pleas poking my rectal cavity with the aggressive shuttles of his thirteen inches as a divine procession. He knew how to take from all of my love and guts my devotion to the Male out. He had in him this Manichaean and mediaeval Force of the entire Serbian state at its apogee with no barriers. I was freeing him in this town where only money he did not have to be sent to his wife and kids was depriving him from all pleasures. My ass became his providence to overcome himself from all the lacks and envies he could not afford. And how that could annihilate me. I did not want to leave. I just had met the fable of The Male. An infinite splendor. All of the absolute Beauty of an enchanting dictatorship. Thanking the Gods to have given to my ass hole a soul. Thanking them to have broken the chains of the heavenly Jerusalem whose Zlatko was the only key. And I was, from all Hector's money that was awaiting in his Nassau castle, in that already despicable sacked bastion, with presumption, excommunicated.''




No comments: