THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
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Monday, June 6, 2011

Amman, Jordan. MON HYMNE À L'ARABIE. MY HYMN TO ARABIA. E->

English translation below. gs

''Djamel, Ali, Mussa, Marhmud, Billal, Nassim, Adel, Samer, de leur panache arabe si pur et si fier, leur élégance native et leur barbe précisément taillée, ils me passaient tous dessus et m'enculaient avec une aisance inégalable de ce fameux panache d'exception qui me rendait folle et détraquée en une idiote attardée, biologiquement souffreteuse par trop d'attentes physiques et cérébrales.''


''J'avais des centaines de fois au coin d'une page, d'un téléphone de fortune ou de vive voix, loué l'absolue beauté indiscutablement plus Mâle que Mâle des arabes que je ne cessais de décrire, leur force intérieure, et leur courage à tenir asservis, debout, autant que leur servilité à la fermer, et la bosse, toujours consistante, du dessous de leur ceinture à se déployer vite fait et toujours discret, dans quelque trou pour l'enfourner. Ils intoxiquaient depuis longtemps, de leur énorme queue à chaque fois, souvent de leur incroyable taille difficilement crédible à faire entendre, et en permanence, tout comme de leurs sourires moitié naïfs moitié putes de petits footballeurs en effervescence, l'oeil en dessous comme si de rien n'était, la délicieuse vulnérabilité de mes entreprises mentales en un malaise de nymphomanie subalterne devenue depuis, arrogante, dédaigneuse, et hautaine, après tant d'hommages à être si glorieusement enfoncée par de tels Sinbad. Animal, je savais dès le premier regard en saintes-nitouches qu'ils étaient, qu'une fois isolés de leurs potes, j'allais passer à la casserole, bien enfoncée, et allais les vider de leurs idées devenues tout a coup mécréantes. Conquérants marins ou Aladins de passage, ce naturel attrait envers le Pur Mâle n'était pas nouveau ni relatif à ma nouvelle vie en Palestine. Même si je remerciais Allah d'être enculé au-delà de l'entendement à tour de bras comme une chèvre d'Arabie, il avait de ses lois islamiques, si naturellement bien fait les choses, et toute gamine déjà, en France, à l'âge de quatorze ans, l'été, le feu à mon cul brûlant me faisait faire et refaire des tours de vélo en danseuse, sous des shorts voyants autour des groupes de badauds nord-africains rassemblés debout au coin d'une rue d'une petite ville de province. Ils discutaient le coup en bougnouls de fin de semaine de je ne sais quoi, paisiblement durant leur jour de repos, le regard toujours aux aguets sur les autres passants. L'un d'entre eux quand ce n'était pas l'autre, méthodiquement, me suivait alors avec discrétion sur sa bicyclette pour me doubler, et vite me faisait comprendre d'un délicat signe de tête les yeux rivés sur mon arrière-train, que c'était à moi de le suivre dans un quelconque petit bois isolé, ou une entrée d'allée désaffectée, et que ma requête de jeune salope allait être aussitôt accordée. Si j'avais le feu au cul, ils avaient eux, et tous, les couilles pleines de poudre, et la bitte d'un explosif dangereux. Entre deux mandats envoyés à leur meuf restée au bled, il fallait qu'ils bourrent tout ce qui bouge ces drôles d'animaux, et je bougeais beaucoup. Mes armes de grande putain avaient été très tôt aiguisées, et j'avais été comblée d'être si jeune, prise à tire-larigot et royalement enculée. Ils m'avaient de leur lointain Maroc ou de leur Tunisie, tous enseigné et avec panache, à vivre ma condition de femme, et en femelle, celle de m'exécuter à leur infinie puissance. Ceux d'Algérie me parlaient au féminin avec condescendance et me cognaient le postérieur d'une infinie violence. Le tout premier qui m'avait prise dans ses bras une seconde, m'avait aussitôt adossée à un arbre pour vite m'en retourner venait de ce pays. Je n'étais pour lui qu'une planche à baiser. Je pouvais ainsi et depuis plus de quatre décennies, aisément faire la différence d'entre les autochtones de chaque colonie. Ils m'avaient tous et à chaque fois, de leurs interdits au nom d'Allah, mise enceinte, et de Rabat à Monastir, encensée de leur mature virilité orientale et qui désormais, était la seule à me contenter. Elle m'avait de leur acte si naturel à me défoncer, apprise à accepter, et entièrement, les nouvelles morales de ma féminité soumise et dévouée au sexe supérieur. Je portais, fière et vaniteuse, en moi tous leurs enfants après notre accouplement et je remerciais le Seigneur de n'être qu'un trou en offrande en un souffre-douleur. Malicieux et habiles, menteurs et vils, sans couilles au cul, ils m'avaient, subtils, grandement instruit de leur colossale queue, l'art de leur baise en sex-machine si jouissif et ingénieux.
Je pouvais me souvenir, et je m'en souvenais, des beaux mâles amerloques dans les couloirs du 8709 du Santa Monica boulevard qui montaient à la chaîne de leurs incommensurables insanités, la mastodonte à quatre pattes que j'étais devenue et qui ne demandait de leur roquette lancée à vif, qu'à être explosée, et de leur fusée en pleine action, à feux et à sang incendiée. Je me rappelais aussi des corps d'armée british et français à Berlin, qui en alliés, en anciens mercenaires ou premiers tirailleurs confirmés, dans quelque vespasienne abritée ou en chambrée, eux me fusillaient dos au mur en déchargeant leurs mitraillettes de leur foutre, en ma gorge acculée. Ils m'avaient tous de leurs armes si délicieusement homicides fait rêver, et j'avais adoré en bidasse commandée, parachever leurs tirs et tuer leurs désirs. Mais je les avais quelque peu oubliés depuis que les arabes, eux, éminents, me tiraient tous à vue, illico presto, -formidable, - et grandiose.
Ce jour de grande chaleur qui incendiait, excessif, les rivières de mon entendement, ne laissait à fleur de peau à ma cervelle, que des désirs torrides couler dans mes veines de la pointe de mes esprits à celle de mes seins, et je m'abandonnais du coeur de la capitale jordanienne, dans ma chambre nuptiale inventée en préférée du harem devenue reine, aux délices et voluptés de leur radicale autorité. Je m'allongeais un moment pour me reposer, puis je m'arrangeais à nouveau d'un léger maquillage, et me recoiffais en m'inondant de fragrances aux senteurs de patchouli, -ils adoraient. Bref, je me refaisais une beauté vierge pour séduire, dès la porte ouverte de ma chambre d'hôtel, le prochain bédouin d'une quelque tribu entre deux prises qui venait me tirer. Djamel, Ali, Mussa, Marhmud, Billal, Nassim, Adel, Samer, de leur panache arabe si pur et si fier et de leur élégance native à la barbe si précisément taillée, m'étaient tous passé dessus et m'enculé avec une aisance inégalable de ce fameux panache d'exception qui me rendait folle et détraquée, en une idiote attardée, biologiquement souffreteuse par trop d'attentes physiques et cérébrales d'être encore et encore par Le Mâle, prise. Les deux jeunes hommes de ménage palestiniens, puis Othmane, bédouin du désert que j'avais en une seconde au bar repéré, Imad de Beirut, le sommelier, et quelques saoudiens de passage vêtus de leur superbe, irrésistibles d'opulence et de distinction et de dignité, je ne pouvais plus les compter. J'étais ici, matin, après-midi et soir, pour trois jours, venu dans cette luxueuse chambre y vivre en femme arabe et ad libitum, la passion du Christ, et de celle de mon cul, en interpréter toutes les exégèses. L'irakien vendeur d'armes et les autres et d'autres encore, allaient venir me rejoindre dans le quartier de Shmeisani, comme du temps d'Istanbul quand j'avais manigancé d'avance, le même dessein de ce voyage, et de ses orgies. Je voulais me les faire tous et me les faisais. Je me tapais au centre de mon royaume, l'Arabie tout entière venue de ses quatre points cardinaux. Ils étaient trop beaux, trop mâles, trop mec, trop masculins et trop raffinés de culture au savoir-faire effarant pour leur résister, et tous étaient peu farouches du défilé que j'avais provoqué et qui paradait devant leurs yeux, tandis qu'ils l'observaient, impassiblement, se constituer. Ils attendaient patiemment leur tour et d'un regard en flèche, leur heure de tirer en plein dans le mil, le coeur de leur cible. J'étais la reine du harem et je n'étais venue que pour l'affirmer. Une fois de plus accordée de l'être, la grande putain du monde arabe se confortait, croulant sous les médailles, décorée, de sa réalité. Ils le savaient, et tous se complaisaient, discrets, de ce visible état de fait. Et ils m'en complimentaient. Ils m'en récompensaient. Et ils me trouvaient beau, et au plumard, se comportaient comme les plus extraordinaires des salauds. Ardemment dévouée et vaillante avec zèle à leur cause, j'atteignais la perfection de leur programme de mâle et de toutes leurs expectatives. Je voulais être plus que parfaite et je l'étais, catin dévouée aux queues de l'Arabie de tout mon art. Je les suçais droit dans les yeux et les comblais de plaisirs que leurs femmes ne savaient ou ne pouvaient de leur culture et usages, leur procurer. Ma perversion d'aliénée occidentale asservie à leur gloire, les déviait de leurs traditions et pratiques antédiluviennes. J'en étais infatuée. Je les satisfaisais l'un après l'autre, chacun d'eux unique, de mes fellations contemporaines, et en étais, de lauriers mirifiques, gratifiée. J'apprenais vite pour parfaire, virtuose, leur attente, les mots essentiels de leur langue et les fonctions d'une reine despote sur une monarchie anale et buccale qu'ils venaient en loyaux sujets, approfondir avec déférence, m'octroyant ainsi le bénéfice et le privilège d'appartenir carrément à leur grandiose terre ancestrale comme si j'étais du harem, native de leur peuple. Ils giclaient leur foutre de grands cheiks après tant de vicieuses fornications en mes conduits, sans un soupir, me culbutant à mon tour d'esclave, profond, jusqu'à la dernière goutte encavée en mes fentes. Ils ne pensaient en enculeurs bédouins mal exploités, qu'à s'assouvir, libres de toute morale, -royal.
Mon amour pour les hommes arabes était lyrique. Les mots qu'ils employaient de leur lyre à mon authenticité à les aimer touchaient droit tous mes viscères. Ils savaient ce qu'était une femme en opérant qu'en mâle, et exclusivement mâle, invariablement Mâle. Martial. Aucun mot d'aucun dictionnaire d'aucune langue ne pouvait exprimer la force infinie de leur virilité, sauf le son des mots de la leur. Je ne visitais de la ville, vite fait d'une visite en touriste, que les ruines romaines de l'amphithéâtre qui ne m'intéressait point, et les autres collines, observant, stupéfaite, du taxi dont le chauffeur à mes côtés me pelotait la cuisse et qui en fin de course, m'emmenait chez lui me farcir, les milliers de beautés sur chaque trottoir marcher, la nuque haute et la bitte toujours en embuscade, redoutable. Il s'agissait d'amour. Ma passion pour Les Arabes n'avait aucune borne. Ces hommes des mille et une nuits n'étaient pas du genre à pisser droit dans une cuvette de chiottes pour en jouer de son clapotis une symphonie de guingois, ni du genre à boire de la bière. Ils n'étaient que fins et délicats et courtois gentilshommes aux mille et une attentions galantes, toujours indiscutablement avec naturelles grâce et élégance, fiers, et valeureux. Ils vantaient de louanges chacune de mes enjambées de tapette et déhanchements de pédale en de beaux mots, et des sourires éclatants d'émail qui le regard sombre mais toujours scintillant de pétulance, étincelaient d'éclairs à chaque seconde, ma vie de garce à être prise sous leurs vigoureuses ailes aux plumes noires.
Je leur rendais tout simplement de mes dispositions naturelles, illimitées, le pardon occidental qu'ils méritaient tous. Je m'adonnais au-delà du possible, aux bittes de ces hommes hardis dans le plus profond de mes intérieurs physiologiques et psychiques, et au son de leurs soupirs exutoires, à cette langue si justement virile qui me rendait si femelle, et magistralement putain. Eux et elle en un tout me faisaient avec grandeur, épouser tout de leurs couilles en besoin immense d'être vidées, et de leur âme.''


''Djamel, Ali, Mussa, Marhmud, Billal, Nassim, Adel, Samer, with their so pure and proud Arab panache, their born elegance and their beard precisely cut, were about to get me laid and top me with this exquisite ease of a unique panache of exception that drove me crazy, insane as one degenerate idiot, hitting my sickly weaknesses of too many physical and cerebral expectations.''


''I had a hundred times through lines in a page or on the telephone or voluntarily raising my voice, greatly praised the absolute beauty of the Arabs I never stopped describing as well as their inner force and courage, just the way I described the strength from underneath their belt and their killer smiles that since long ago, continuously intoxicated the delightful vulnerability of my mental enterprises, as a faint of a subordinate nymphomaniac that had become since, arrogant, vain and haughty after having so gloriously been paid tribute to get screwed by such Sinbads. Sailing conquerors or Aladdins, in fact, this natural attraction of mine toward the Pure Male was nothing new or related to my new life in Paslestine. Even if I thanked Allah being fucked in a row beyond words like an Arabian goat, he had so well written his islamic laws, that already as a young queer in France at the age of fourteen in the Summer, my ass in fire made me ride and ride around my bike for hours, dressed with bright colors not to be missed by the North African onlookers that gathered week-ends, standing at the corner of the street in some provincial town, chatting away quietly about who knew what, but always on the look-out over the passers-by. One of them and always, if not, any other, methodically followed me discretely with his bicycle to farther overtake me and make me understand with a delicate head sign staring at my buttocks, that now my turn had come to follow him to some isolated wood or to a disused factory to be stuffed. My weapons of a great whore had been very soon sharpened, and I had been so satisfied, so young, to be royally, fucked the Arabic way. They all had, coming from their far away Morocco or Tunisia, taught me and with panache, to live my condition of a feminine puff, and as a total used and abused female, to comply their infinite power into my woman's holes. The very first one who leant me against a tree to take me in his arms and quickly reverse me off it was from Algeria. I therefore and over four decades, easily could make the difference between the natives of each country. They all had and each time, got me pregnant, and from Rabat to Monastir, flattered me with their mature oriental virility that from now on, was the only one to content me. With their so natural acts at fucking me, they also taught me to accept, and entirely, the new morals of my submitted feminity that was bound to be devoted to the superior sex. I only was for them, and I thank the Lord, the offering of a drudge's hole. Malicious and clever, they, subtly, greatly, had taught me their so generous and pleasurable ingenious art of fucking as sex-machines.
I could remember and I did, the handsome yankee studs in the corridors of number 8709 of Santa Monica Boulevard who rode in a row with their incommensurable insanities, the mastodon I'd become on her four paws who only asked from their launched rocket to be exploded, and from their cockpit in full action to be set on fire, fire and sword. I also could recall the British and French Allies army corps in Berlin who, as old mercenaries or first skilled skirmishers, unloaded their machine guns with their cum direct into my throat that was leant against the wall of some isolated lavatories or dark barracks-rooms. They all with their delightful lethal weapons, had made me dream, and I had adored as a squaddy under command, completing their shooting and kill their desires. But I somewhat had forgotten the whole thing since the Arabs, eminent, shot me all on sight, -terrifically, - and grandiose.
On that day of heat that excessively set fire to the rivers of my understanding and which only left on my skin after its passing, the torrid desires flow into my veins from the tip of my spirits till the tip of my nipples, in the heart of the Jordan capital, in a nuptial room I invented as a favorite mistress of the harem that had become a queen, I gave my mind away to the delights of sensual pleasures under all laws of their radical authority. I laid down a little while to rest before redoing my make-up and fixing my hair with some patchouli fragrances. In other words, I was regaining each time a brand new virginity, ready once more to seduce the next beduin in line of some tribe between two takes. Djamel, Ali, Mussa, Marhmud, Billal, Nassim, Adel, Samer, with their so pure and proud Arab panache, their born elegance and their beard precisely cut, were about to get me laid and top me with this exquisite ease of a unique panache of exception that drove me crazy, insane as one degenerate idiot, hitting my sickly weaknesses of too many physical and cerebral expectations.The two young Palestinian cleaning guys, then Othman, a desert beduin I had spotted at the bar, Ehmad from Beirut, the wine-waiter, and some irresistible distinguished Saudi Arabians dressed up to the nines which opulence and dignity stroke me, they were all going to have a go at me deep in. I could not count them anymore. I was here, morning, afternoon and evening, for three days in this luxurious hotel room, to live as an Arab woman and non-stop, the passion of the Christ, and the one of my ass understanding all the exegesis of it. The Iraqi weapon seller and the others were all about to come up and join me in my hotel's room in the Shmeisani quarter, just the way I had planned and prepared my Istanbul trip and set it for terrific flights and orgies. I wanted to have them and I did have them all. I was getting laid in the center of my kingdom, by the whole of entire Arabia coming from all over. They were far too handsome, too masculine, too butch, too manly and too refined of culture with an ineffable savoir-faire for me to resist, and each of them the least fierce at seeing the procession I'd provoked and that, impassively, they watched taking place. They patiently waited for their turn and with a glance like an arrow, waited for their time to shout right in the heart of their target. I was the queen of the harem and I only had come here to prove it. They granted me to be it, the biggest slut of the Arab world confirming her to be under the heavy rewarding medals, covered with them living her reality. They all knew that as a tangible fact, I proudly delighted myself to service their Arab circumcised prick, and they highly congratulated me for it. They rewarded me. And they found me handsome, behaving in bed as most extraordinary sex bastards. Fervently devoted and valiant with zeal to their cause, I reached the perfection of their male schemes and expectations. I intended to be more than perfect and I was, a devoted bitch to Arabia with all my art. I sucked them off dry eye to eye , and honored them with pleasures their wife did not know, or culturally could not provide for too imprisoned by ancient customs. My perversion of an occidental insane cock sucker totally submitted to their glory, diverted them from their antediluvian traditions and practices. I was infatuated from it. And I satisfied them one after the other, each of them exclusively, with my contemporary blow-jobs. I received laurel-wreathed, their gratitude. To complete, virtuoso, their expectation, I quickly learned the essential words of their language and the functions of a despot queen over her anal and oral monarchy they all came as loyal subjects, to deepen with respect, granting me that way the benefit and privilege to straightly belong to their grandiose ancestral land, as if I was in the harem, one native of their people. They spurted their load of great Cheiks after so many vicious fornications into my canals, without a sigh, bumping me when my condition of a slave came, deep, till the last single drop deep in, as they only thought as badly exploited Bedouin fuckers, of satiating themselves, freed from all morals, -royally. 
My love for the Arab males was lyrical. And the words they used with their lyre toward my authenticity at loving them touched the deepest of my viscera. They knew what a woman was, always fucking exclusively, invariably, as a male, an emperor, -martial. No word from any dictionary of any language could express the infinite strength of their manhood but the sound of the words of their own. I only visited of the city, quickly as a tourist, the Roman ruins of the amphitheater of which I could not care less, and the other hills, watching, each time astonished, at the thousands of beauties on each pavement walking head up proud and with a fearsome and bold dick. It wax all about love. My passion for them had no limit. These men of the thousand and one nights were not the kind to pee in a sink and play out of its lapping, a lousy symphony, nor were they the kind to drink beer. They were fine and delicate and courteous gentlemen with one thousand and one gallant attentions, always and indisputably, with natural grace and elegance, proud and valorous. They praised each of my faggot walk or query hips swaying, into beautiful words with nice smiles and dark looks that brightened with thunders the world at each second under their vigorous black feathered wings.
I simply gave them back with my natural aptitudes,
unlimited, the occidental apology they all deserved. I abandoned myself to these rash men cocks the best I knew how with the deepest of my physiological and psychological insides to the sounds of their outlet sighs, and the sound of this exact virile language that drove me so brilliantly into being an approved female and slut. It was all in all together, making me with greatness, marry their balls in tremendous need to shoot, and their soul. ''


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