THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Monday, June 6, 2011

Atlit Beach, Israel. E->

English translation down below. gs


Quelques Extraits...


''J'arrivais près de ma dune préférée, isolée, dominant le bleu et le vert d'une mer sans vague aux eaux transparentes de la plage d'Atlit non loin de la vieille cabane en ruine sans toit au milieu du désert, et d'où des deux vieilles fenêtres sans vitres on observait hommes et femmes forniquer et se sucer en se branlant à pleine main comme un malade mental la gueule salivante activant en groupe de plein fouet sa manivelle. Ou bien, afin d'éviter à certains une branlade manuelle trop fatiguante, quelques bouches de jeunes pédales agenouillées au dessous des fenêtres attendaient le dos collé au mur un quelque voyeur de passage afin de le soulager directement à son arrivée du spectacle qu'il venait observer en s'accoudant alors aux rebords, la bite pointée pil devant l'orifice prêt à l'enfourner pour le tirailler. Il faisait trop chaud ce jour-là. La plage et la cabane étaient désertes. Seul un jeune couple allongé nu allait s'enculer dans l'eau de temps à autre pour revenir sur le sable où là, elle commençait à repomper son bonhomme, s'arrêtait pour discuter le coup puis l'embrasser à nouveau pour recommencer des heures à sucer son petit truc comme on suce un esquimaux et s'en distraire à un entracte. J'y étais depuis le matin. Leur manège ennuyeux était simple et mécanique et m'agaçait à la longue de sa minauderie machinale. Tout à coup, Superbe, ange sorti de son nuage, un short long pour tout habit, un corps parfait bronzé et parfaitement dessiné, un imposant contraste entre les cuisses, le seul voyeur sorti des dunes qui passait enfin son chemin ce jour vint de suite vers moi allongé nu sous le soleil pour me parler. Il me parla debout à très courte distance d'un sourire qui renversait d'envies subites mes lèvres en manque et qu'il fixait. Ce magnifique jeune homme de vingt-deux ans me parlait de la pluie et du beau temps en me disant qu'il s'appelait Itaï. J'attendais attentif que sa fièvre monte. Et le laissais à ses brèves conneries de dragueur maladroit mais volontaire. Le jeune étalon était bien décidé à parvenir à ses fins. Je répondais impatient à ses phrases insipides que par des oui de faveurs accueillantes en souriant de candides mimiques. Très vite enfin, il commença à s'en lasser et la sève s'activant commençait à commenter de mots simples mais directs la queue du mec qu'elle entourait à ce moment précis aussi bien que moi à fond de gorge. Cela lui était facile à cette petite apprentie. Il n'y avait presque rien à sucer. C'était un boulot d'écolière et je le dis à mon jeune mâle en besoin d'un air plus affirmé. Il se mit alors malicieux de me l'entendre dire, à décrire tenant à pleine poignée la bosse de son short gonflée, sa chatte qu'il imaginait étroite dès qu'elle assit sur lui à quelques mètres de nous. Il s'éloigna peu à peu doucettement d'un regard m'invitant à le suivre vers la cabane en boitant d'un pas lent. Mutilé par sa grosse bosse alors toujours soutenue de pleine main rentrée cette fois-ci dans le short pour les observer de plus près et épier ensemble leurs ébats. Je pris de suite mes cigarettes et le suivis sans tarder en me rhabillant vite fait d'une petite culotte. Arrivé dans cette bicoque pour tout bordel, il alla se mettre debout devant l'ouverture de la fenêtre en effleurant mes épaules, baissant son short à moitié lorsque je me mis à ses côtés, sans me toucher. Il cracha en me regardant dans la paume de sa main pour aussitôt la tortiller autour de son gland d'acier gravement circoncis tout en me parlant de cette petite conne en train de pomper son jules. J'attendais un signal pour le contenter. Il continuait de commenter les ébats du couple allongé comme on commente un match de football. Vas-y, enfonce, retire-toi, attaque! En jouant fermement de son trombone au rythme d'un arbitre qui distribue les points. J'écoutais les mots de sa voix rauque qui commençait à tirer la langue et s'essouffler avant qu'il ne se mit à les observer plus discrètement d'une brèche dans le mur qui ne dévoilait pas son visage ni le mien. Il monta sur la sixième brique du sol s'agrippant alors à celles du haut. La taille de son short descendu alors précisément à la hauteur de ma bouche. Ce que j'attendais depuis des heures enfin arriva. Il me dit d'un ton sec mais naturel, les yeux rivés sur la scène observée de sa petite lucarne de fortune; ''Vas-y. Maintenant tu peux y aller.''Il resta alors solidement accroché, d'un seul coup d'un seul immobile, ne perdant pas une miette des deux sur la plage à batifoler tandis que je commençai infatigablement ma besogne au fleuron de son savoir faire. Un si beau jeune homme méritait le meilleur. Un trésor s'ouvrit à moi. Régulier et puissant. Un boulot incessant. Un barreau de chaise que nul ne pouvait détruire. Du solide et du constant. De l'incevable. Et, toujours fermement immobile sans un geste ni mouvement ni aucun son aux activations de mes allers et retours oraux forcenés pendant une heure, du cuir râpé de son indéfectible tronc d'acier je reçus enfin en cadeau son liquide de plusieurs brefs jets et de courts soupirs soudainement intensifs en final. Juste une seconde avant la violente explosion d'un abondant foutre qui le fit rugir d'une vibration grave à bout de souffle. Puis, tout autant immobile mais libéré de la dernière goutte de ses désirs qu'il attendit d'enclaver bien en bouche pour en ressortir nickel, il sauta aussitôt de ses moellons de béton, remonta son short en un tour et partit. J'eus encore droit comme dernier cadeau à une phrase. Celle qui me fit entendre que je suçais comme un dieu une fois ses deux pieds au sol. Je ne sais pas ce que dieu venait faire là-dedans mais je le remerciai à cet instant. Fier et confus d'une reconnaissance que je souhaitasse un autre jour en entendre à nouveau la mélodie. Il disparut dans les dunes aussi furtivement qu'il en était venu, aussi vite qu'un renard sans que je ne le vis s'éloigner en me disant à la dérobée à bientôt. Il m'avait plu ce petit animal. Je retournai en marchant nonchalamment vers ma place de sable au soleil et dans ma solitude en sublimant de cette dernière beauté en date, une fois de plus l'amour absolu d'une vie. Un amour illusoire. J'en avais la joyeuse habitude.''

A cock to remember.

''I arrived near my favorite isolated dune looking over the blue and the green of the dead calm sea and its transparent waters at Atlit beach, not far from the old wreckage house in the middle of the desert where from two ruined windows some passer by voyeur could watch men and women fucking and sucking each other while playing with himself. Or, in order to get rid of this manual job, some young men would wait kneeing their back against the wall to satisfy directly a voyeurs fantasies from the show they came to watch. It was too hot on that day. The beach and the house were both empty. Only one naked couple was fucking in the water until they came back to lay on the sand before she started to suck him for hours. Superb, wearing long beige shorts, a perfect body as well as well as perfectly defined , the only voyeur that passed by came to talk to me from a distance with a smile that raised my sudden needs. This outstanding twenty-two young man started to talk about the weather and such telling me his name was Itay. Soon enough, he started to comment with simple and crude words on the cock of the guy she was sucking deep throat as good as me, then commented on her pussy he thought to be narrow as she sat on him. He then went to the wreckage house asking me to follow him. I put my clothes on, took my cigarettes and obeyed to his command. He stood at the window's hole without playing with himself lightly touching my shoulders as I stood next to him. I was waiting for a sign to satisfy him. He carried on commentating the lovemaking of the two on the beach like the way one would comment a football game. Go on, get it inside, off, push, were the words I could hear before he started to watch more discretely through an upper gap by climbing up six bricks off the ground grabbing then the ones above to stand still watching, his waist precisely at the level of my mouth. What I was longing for happened. He firmly staid immobile. Not a single gesture, not a single move, not a single sound as I started to operate my very best oral skill in full action as he said; 'now you can go ahead'. Such a beautiful young man deserved the best. A treasure was being offering to me. A regular and powerful one. Still staying up there firmly immobile at my intense buccal ins and outs sucking and sucking for one hour, I finally got my reward when he shot his liquid deep in to the sound of his strong sighs one second before the violent explosion. Once liberated from the last drop of his desires, he jumped down and left. I then got an other present by hearing him say one last phrase. The one that was telling me I sucked like a god. I wondered what god had to do with it and smiled. Then he suddenly disappeared rushing through the dunes without letting me a chance to see him going away. I slowly walked back to mine and into my solitude, sublimating one more time one love of a lifetime, an illusory love. I was used to it. '
'


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