THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Monday, June 6, 2011

16, Massada street. E->

Texte français en bas de page.


Quelques Extraits...


''I had lived in Rosh Pina. In Tel Aviv, in Savion, in Herzlya as well as in Ceasaria. Beautiful places to live so I had been told. Beautiful places indeed. For Israeli standards, -may be. Not mine. Definitely not mine. I was bored stiff in each location. Every single of them. Not really knowing where I was. As a matter of fact, much more than being bored stiff, I was close to despair. I hated this country that did not really know what a city is all about. I was lost in the middle of no where at every single time in an all made up country with no soul, no real People, no real History but the one of the twentieth century I already knew by heart. I had flown back to civilization more than once to breathe who I was and feel free. Paris, Berlin and Milan could then answer me back that I was still alive. Israeli Jews did not have the slightest idea of what living one urban life style means. The cost of it was how far they could go, -and only it. And how cheap was that to me. It hurt my ears every single time that I could hear it. They had so much to learn yet. Tel Aviv was the worse. The gathering of one entire peasantry nation. And they had the cheek to compare it to New-York City! They could only pretend what they had never known.''



''J'avais habité à Rosh Pina. À Tel Aviv, à Savion, Herzlya et Césarée. Des endroits superbes m'avait-on dit. En effet, très jolis. Aux goûts des israéliens, peut-être. Pas des miens. Absolument rien à voir avec les miens. Je m'emmerdai à mourir dans chacun d'eux. Dans chaque ville. Sans savoir ou j'habitais vraiment. En fait, j'étais plus proche d'un désespoir permanent que d' un ennui passager. Je n'aimais pas ce pays qui ne savait pas ce qu'est une vraie ville. J'étais perdu au milieu de nulle part à chaque fois dans un pays fabriqué de toute pièce, sans âme, sans vrais gens, sans une réelle histoire si ce n'est celle du vingtième siècle que je connaissais par coeur. J'étais retourné de nombreuses fois à la civilisation pour respirer qui j'étais et m'y sentir libre. Paris, Berlin et Milan savaient de leurs émanations me répondre que j'étais toujours en vie. Les juifs israéliens n'avaient aucune idée de ce qu'est vivre une vie urbaine. Son prix est la seule chose qu'ils semblaient connaître,- et la seule. Et comme l'entendre me désolait. Cela heurtait mes oreilles à chaque fois. Ils avaient encore beaucoup à apprendre. Tel Aviv était le pire. La réunion d'une nation campagnarde. Et ils avaient l'audace de la comparer à New-York! Ils ne pouvaient que prétendre ce qu'ils n'avaient jamais connu.''






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