THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
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Tuesday, June 7, 2011

Une Recette / A Recipe / E->

English translation below.


Quelques Extraits...


''Un dit-on populaire disait qu'on tient son mâle par le cul et la bouffe. Régaler les papilles génitales et gustatives de son mec en était la clef. Les lui faire valdinguer en un festival de paillardises. Celles génitales avaient su de leur excrétion se propager chez moi et s'y propager large. Ma gorge virtuose de sérénades à bites en était depuis longtemps irradiée. Et l'autre costaud pipeline en arrière-train de son calibre naturel, bien dilaté. J'avais de leurs petites éminences à la surface de leurs tissus et organes abondamment reçu leurs molécules en piqûres intradermiques. Celles gustatives avaient été amplement travaillées lors de foires typiquement gauloises. Elles se devaient de l'être. En tous les cas pour moi. Et ça n'avait pas été pas de la gnognotte cette histoire. Je le savais bien pour m'être tapé les incalculables nombres de Jules qui m'étaient passés dessus. Si peu d'entre eux avaient été des compatriotes, je les avais aussi séduits par une cuisine française comme un plus à offrir. Il s'agissait d'ail et de cochonnaille. Du Sud-Ouest de la France ou lyonnaise si possible. Comme disait mon ami Thierry, tout est bon dans l'cochon. J'y avais depuis ajouté les grenouilles, les escargots, les poulets de Bresse à la crème et toutes les sauces régionales pour atteindre leur queue. Aucun n'y résistait. Le sucré, le salé, l'acide et l'amer, c'est ce qu'il fallait à un mâle. Y'avait rien à jeter dans l'jambon. Rien. Pas une mince affaire cette histoire. Une histoire de papilles dis-je, génitales et gustatives. Assurément. Et les lui faire travailler. Les lui faire saliver. Plus intensément que les autres leur faire baver les babines. Plus copieusement que les autres les lui harceler. Afin une fois sa queue atteinte, de la garder et lui de le garder en entier. Afin qu'il revienne... IL admirait alors La Femme, sa femme, sa compagne, sa putain et sa cuisinière dans toute sa splendeur. La vénérant comme une déesse chez laquelle on rentre chaque soir d'une vie sans ne jamais s'en lasser et vivre l'amour du couple classique des sociétés occidentales. Comme dans les beaux films du cinéma français d'une époque ou ceux de Hollywood du temps de nos grands-mères. Une belle vie sans histoire avec un happy ending tout en baisant et bouffant comme des gueux dans le meilleur des mondes. Une joie naturelle d'être à deux bénie par les Dieux. Ça, c'était le temps de bonne-maman pour garder son mari. Laissant de côté sa vie de femme pour ne s'abandonner qu'à celle de son seul homme. Un temps ancien et révolu. Quand bien même le dit-on tenait toujours la route. Elles ne parlaient jamais de queues ni de bites ni de se faire enculer, de tailler une pipe ou de lécher le cul de leur mari, nos grands-mères... Ni d'en chercher un autre ou de partouser aspirant à d'autres plaisirs, ne connaissant du bonheur de leur chatte que celui qu'elles vivaient pour seule référence. Un unique certificat. Et tant mien que mal s'en complaire en un tout providentiel.
Je les enviais quelque peu ces grands-mères d'un autre âge. Moi, L'Homme absolu, mon absolu, je le cherchais encore. Oh! J'avais bien du le rencontrer. Et plus d'une fois. Parmi les milliers qui avaient défait leur braguette pour que je m'occupasse du reste, plus d'un s'était attardé sur mon sort. Le sucré, le salé, l'acide et l'amer, je le leur avais fait goûtés. Et ils s'en étaient tous régalés, avaient dégusté leurs desserts en panaché. Ils avaient tous festoyé. Et étaient tous revenus, assidus et à l'heure comme quand on vient chercher du pognon. Les autres aussi étaient tous revenus. Ils en voulaient tous encore de ces gourmandises et revenaient empressés, en glouton. Le cochon était trop bon. J'avais très tôt compris que pour garder un homme il fallait flatter l'égo de ses couilles. En pleine action ou non. Flatter Le Mâle en plein dans le mil de sa virilité. Avant et après les goinfreries. Oui, il fallait flatter ses couillles. Sa queue. Son foutre. Et le lui faire savoir haut et fort de mots crus ou plus subtils selon le coco. Au coin d'une phrase ou d'une rue selon le sujet bâfreur, assurément le lui dire et lui faire connaître son ravissement devant le grand et le fort. Aduler son extension de chair entre les jambes. Elle déterminait tout de son état. Faisait vibrer son âme. Déclenchait toutes ses sensibilités. Épanchait tout de son être. Conditionnait sa vie sociale. Sa vie affective. Un dominateur au lit l'était dans la vie. Un salaud au plumard aussi. Un passif romantique tout autant. Une larve sexuelle désoeuvrée, idem. Il n'y avait jamais rien d'autre à en tirer de leur vie ni à attendre d'eux un comportement différent autre que leur attitude respective sur le matelas. Flatter l'égo de ses couilles était explorer son essence même. Entrer dans l'intégralité de son être sans en laisser une miette. Malaxer en entier la mie et la croûte. Faire valser les papilles de ses besoins naturels au pieu et en dehors était le cajoler sans effort et lui faire boursouffler son égotisme. Il était inutile de vanter sa beauté, son style, ses activités. C'était brûler de l'encens pour rien. On ne flatte pas des artifices pour aller au coeur des choses. C'est en dessous du pubis qu'il fallait viser droit au but pour faire mousser sa vanité de mâle. Et alimenter une fois sa bite en vacance son estomac. Puis une fois rassasié, s'occuper de tous ses sens. Le gonfler de reconnaissances. Lui attester que lui et lui seul était Le Mâle inconditionnel, et intégral. Le seul . L'unique détenteur de sa masculinité. Et d'en souligner, aiguisé et adroit et au bon moment, chaque acte. Un geste de mec, une phrase de mec, une réaction typique du sexe fort. En sachant cerner au pic d'un action en cours de toute sorte, les points forts de ses marques qui distinguaient ses caractéristiques de Mâle. Tel un animal marque son territoire pour le délimiter, lui mettre en évidence le pouvoir de sa force. Brandir les marques de sa virilité physique et mentale et le lui dire aussitôt en plein acte, les unes indissociables des autres et toutes liées entre elles. En relever sa signature unique. Refléter dans son miroir l'exclusivité de l'empreinte de ses galons virils par excellence. Et sans les sublimer. Jamais. Jamais il ne fallait les sublimer. Le faire eût éclairé trop de vulnérabilité. Une leçon de chose des plus concrètes. Et des plus psychologiques. Il revenait alors en montrer et à chaque fois sa gratitude de son plein gré. Et j'en étais couronné. Son retour était mon allocation. Je gardais en permanence toutes mes sublimations et mes attentes sous-jacentes du grand amour absolu cachées et secrètes. Pas une seule seconde je les lui transmettais, les lui révélais, encore moins les lui insinuais. Ça, c'eut été le meilleur moyen pour qu'il s'en aille en courant et jamais ne revienne. Ses papilles devaient rester libres de goûter à d'autres saveurs afin qu'il se rendît compte de lui-même que les miennes étaient les meilleures pour revenir les faire valser en mes intérieurs. C'était autrement emprisonner sa construction de Mâle que de lui avouer les expectatives d'une petite rêveuse amoureuse, midinette idéaliste. C'était le priver de ses couilles à affirmer au monde sa personnalité. Le brimer. L'Absolu de mes rêves n'était qu'à moi. Il n'en avait rien à glander. Je laissais le sien, grand ou exigu, toujours s'exprimer de front feignant d'apprendre qu'il en fût pourvu. Il eut fallut qu'il eût le même pour de cet absolu n'en faire qu'un lui et moi en continu. C'en eut été l'unique clef de lui avouer mes attentes profondes. Celle-ci je ne l'avais pas trouvée. Je n'avais que celle qui le reconduisait fidèlement à ma porte; celle de faire bosser les petites excroissances charnues des papilles de la langue et celles à la pointe des pyramides rénales de leurs tubes collecteurs sans oublier celles mammaires et de les faire turbiner grave. Et cette clef-là était d'importance pour son régal. Ils connaissaient peu ou pas de leur femme la jouissance de cette cuisine. L'autre clef était de se taire. De la fermer. De la boucler et de lui laisser vivre sa vie de Mâle. Une clef pointue et aigüe. Il y en avait plusieurs au trousseau. Une clef dont chacun chacune des pays que j'avais habités s'efforçait d'en chercher la bonne serrure comme un écumeur de mer aux aguets son trésor. Il fallait en brasser mille pour trouver le bon. Ou faire fis de ses propres ambitions. Seules les siennes conféraient son intronisation. Mais la recette, elle, était toujours la même. Et la bonne pour qu'il revienne. J'en étais approximativement à plus de sept mille repas. La fréquence de mes rencontres rendait ce chiffre mathématique et je m'étais arrêté de compter le nombre de couverts. Des centaines d'entre eux étaient revenus mais je n'avais jamais trouvé les sept mille en un seul. J'étais devenu un expert de leurs papilles mais je voulais L'Homme. Avec chaque adjectif du dictionnaire qui lui incombe. Mon absolu voulait atteindre une perfection sans faille et sans condition. Sans concession. Un monde les pieds sur terre. Un monde de plaisirs. Et mental. Un monde perçu à deux à l'identique. Et le vécu qui s'en suit d'un mâle et de sa femelle. Chacun affirmé dans son fondement. Aucune autre place pour une autre identité. Il n'y avait rien à concéder. Ni pour Lui d'ailleurs. Il y avait ou il n'y avait pas. Lui le Mâle et le maître, moi cuisinière et majordome. Chacun sa place et les vaches étaient bien gardées comme disaient nos grand-mères. C'était le tout ou le rien. La cuisine était parfaite ou n'était pas. Il ne s'agissait pas d'un restaurant aux odeurs de graillon ni de domestique de passage pour le laisser tel quel aller voir ailleurs si la cuisine était meilleure. Ni d'aller chercher au dernier moment à l'épicerie du coin le vin blanc bon marché qui manquait au ragoût. J'avais peur de manquer de sel qui assaisonnerait dans ses yeux le mot toujours de son absolu et je ne rajoutais aucune autre épice à livrer le mien dès lors qu'il était trop différemment goûteux du sien. Et il l'était. Il en était bien loin. Je les connaissais les Mâles et leur goût culinaire. Ils aimaient trop se faire sucer et j'étais devenu un chef saucier. Il fallait que l'orgueil de leurs couilles sorte. Le faire mousser. Bien battre les oeufs et les faire monter. Faire monter tout. Faire mousser tout. Faire mijoter l'orgueil de leurs rognons et en vérifier la cuisson, puis le faire déborder. Faire déborder tout de leurs papilles comme les escargots dégorgent. Valoriser tout de leurs natures individuelles de bouc prêt à rejouer La Grande Bouffe. Savoir ajouter le porto, la crème, le fond de veau , le sel et le poivre et détendre avec un peu d'eau si le besoin s'en faisait sentir. Car le monde était si vaste pour qu'on vous le pique et ne manquait pas de restaurants. Il fallait ajuster à son goût exact. Je n'étais pas le seul à savoir les faire dégorger ces matous. Il fallait être sur ses gardes sans jamais le leur montrer. Il fallait s'en tenir à l'assaisonnement des ingrédients avec précision en mélangeant le tout à l'impérieuse vanité naturelle de leurs boulettes de viande qui activaient toutes les sécrétions de leur cerveau.
Ça, c'était exalter leurs papilles. Je préférais de leur exaltation passionnelle vivre l'instant en commun à flatter leur orgueil n'admirant que Lui avant son départ. Puis attendre son retour pour le retrouver intact. Non, ce n'était pas une histoire de tambouille. J'étais devenu un grand chef. Un Bocuse aux petits oignons à soigner ses clients en personne pour les faire jouir de tous leurs liquides en attendant de les refaire déguster. À nouveau de les régaler. Le temps m'apporterait mon Absolu en me laissant sublimer le même absolu avec d'autres entre temps. Car je voulais vivre cet absolu réaliste et constant. Et le vivre en un seul homme. En L'Homme tout court. Et pensais que la vie ne pouvait me l'offrir. Je continuais de flatter leur avènement d'être né phallocrate. Ils étaient tous L'Homme. Et le seul à l'être. Il fallait le Lui dire. Et je savais, femelle, comment le lui dire pour être un mâle moi-même. C'était ma recette à moi pour les autres de mon espèce. Chacun pouvait l'adapter à sa propre sauce. À chacun son mec, à chacun sa cuisine. Mais la base des ingrédients de ma recette à défaut de sauver mon âme ne pouvait varier. J'en étais mâle après mâle à chaque attablée persuadé.''


''I, very early, had understood what it took to keep a man yours, and that was to flatter his balls. In full action or not. To flatter The Male right in the center of his virility. Before or after his gobbling. Indeed, to flatter his balls was the key, as well as flattering his cock, his load, loud and strong and let him know it. With crude words or more subtle ones at the corner of a phrase, or of a street according to the greedy subject, but definitely let him know it. To adulate his extension of flesh between his legs. It determined all of his condition, and thrilled his soul. ''



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