English translation down below.
''Un autre ange, gardien de ma sobriété, sans mini-jupe blanche ni un arc à la main s'annonçait à moi taillé dans la masse en un arc de triomphe à la gloire de la Virilité. Ses mâchoires sculptées et ses épaules parfaitement carrées, l'élégance du geste de ses doigts tenant sa cigarette et la lueur vive de son regard innocent couleur noisette me faisaient déjà rester pantois, la bouche ouverte du haut de ses deux mètres. Son accent arabe irrésistible si posé d'émotions à la diction parfaite d'un anglais raffiné et d'une tape franche dans le dos, m'invitaient entre potes à prendre une bière un baiser d'amitié sur ma joue en salut. J'étais totalement sous l'influence de cette pure beauté, fier d'être à ses côtés et d'entendre son souffle murmurer en riant son intelligence et sa sensibilité. L'homme lisait Lacan et venait de terminer ses études de médecine, si jeune il était déjà docteur. Et je l'imaginais en blouse blanche de son sérieux examiner les patients avec attention et prévenance à l'image de ses naturelles révérences. L'homme aimait les Hommes et son humanité. Il ne savait mentir et n'était que bonté. J'avais rêvé de lui les nuits, souvent, mais dès qu'il apparaissait à mes yeux, mon mental de femme à le satisfaire s'envolait aussitôt pour d'autres cieux qui ne laissaient place qu'à sa joie de vivre et son infinie générosité. Il aimait faire plaisir et toucher les coeurs sans rien demander en retour. L'homme était noble, porteur d'une dignité intérieure qui n'avait rien à voir d'un traité de morale. C'était chez lui, naturel. Je détestais les filles qu'il aimait. Aucune d'elles ne savait voir en lui sa grandeur, que ses fabuleux aspects physiques et ses attraits d'ordre social, pauvres petites putes. Il était allé passer quelques semaines à Berlin et connaissait tout de la ville. L'homme était avide de tout connaitre et absorbait en ces veines et ses esprits, les âmes. Il savait les respirer, ouvert à la vie, franc, pur et libre, ne voyant que le bon ignorant tout du mal. Un homme rare. Un ange, un vrai, un pur. Je ne pouvais à chaque fois que je le voyais, que prier les Dieux pour son infini bonheur intérieur. L'homme le méritait, absolument et sans condition. Je n'avais jamais rencontré de tous les hommes de ma vie, une telle bonté, et ne pouvais que le remercier d'être ce qu'il était. Je n'écrivais pas cela tous les jours.''
The man was eager to know everything and absorbed through his veins and spirits, the souls.
''An other angel, a guarding one of my sobriety, without a white mini skirt on or a bow in his hands was appearing to me, built by a sledgehammer in the rock as an arch of triumph to Virility. His sculpted jaws and his perfect square shoulders, the elegance of the gesture of his fingers holding a cigarette and the lively gleam of his innocent hazelnut eyes amazed me speechless as he came in, my mouth wide opened facing his six feet three. His irresistible Arabic accent that was so laid out of emotions with the perfect diction of a refined English as he frankly slapped my back between buddies, was inviting me to a beer with a kiss on my cheek as a warm greeting. I totally was under the influence of this one beauty, feeling proud to be next to him and hear his sighs whisper away his intelligence and sensitivity laughing. The man read Lacan and just finished his medicine studies, so young the man was already a doctor. And I could imagine him wearing a white overall attending with his seriousness and care to his patients, as obliged as his natural reverences always were. The man loved Mankind and its Humanity. He could not lie and was goodness only. I had dreamed of him some nights, often, but as soon as he appeared in front of my eyes, my mental of a woman to satisfy him vanished, to only leave room to other skies that led me admiring his joy of living and his infinite generosity. He loved to please people and touch the hearts without asking anything back in return. The man was noble, made of an inner dignity that had nothing to do with his morals. It was in him, natural. I hated the girls he loved for none of them could see his unique greatness but his fabulous physical aspects and his social assets, -poor little whores. The man had gone to Berlin to spend a few weeks there and knew everything of the town. The man was eager to know everything and absorbed through his veins and spirits, the souls. He could breath them, opened to life, frank, pure and free, only seeing the good ignoring everything of evil. A rare man. An angel, a real one, a genuine one. I could only pray each time I saw him, the Gods for his infinite ever long lasting inner happiness. The man deserved it, absolutely and without any condition. Such a goodness, among the so many men of my life, I had never met, and I could only thank him to be what he was. I was not used to write this every day.''
''Un autre ange, gardien de ma sobriété, sans mini-jupe blanche ni un arc à la main s'annonçait à moi taillé dans la masse en un arc de triomphe à la gloire de la Virilité. Ses mâchoires sculptées et ses épaules parfaitement carrées, l'élégance du geste de ses doigts tenant sa cigarette et la lueur vive de son regard innocent couleur noisette me faisaient déjà rester pantois, la bouche ouverte du haut de ses deux mètres. Son accent arabe irrésistible si posé d'émotions à la diction parfaite d'un anglais raffiné et d'une tape franche dans le dos, m'invitaient entre potes à prendre une bière un baiser d'amitié sur ma joue en salut. J'étais totalement sous l'influence de cette pure beauté, fier d'être à ses côtés et d'entendre son souffle murmurer en riant son intelligence et sa sensibilité. L'homme lisait Lacan et venait de terminer ses études de médecine, si jeune il était déjà docteur. Et je l'imaginais en blouse blanche de son sérieux examiner les patients avec attention et prévenance à l'image de ses naturelles révérences. L'homme aimait les Hommes et son humanité. Il ne savait mentir et n'était que bonté. J'avais rêvé de lui les nuits, souvent, mais dès qu'il apparaissait à mes yeux, mon mental de femme à le satisfaire s'envolait aussitôt pour d'autres cieux qui ne laissaient place qu'à sa joie de vivre et son infinie générosité. Il aimait faire plaisir et toucher les coeurs sans rien demander en retour. L'homme était noble, porteur d'une dignité intérieure qui n'avait rien à voir d'un traité de morale. C'était chez lui, naturel. Je détestais les filles qu'il aimait. Aucune d'elles ne savait voir en lui sa grandeur, que ses fabuleux aspects physiques et ses attraits d'ordre social, pauvres petites putes. Il était allé passer quelques semaines à Berlin et connaissait tout de la ville. L'homme était avide de tout connaitre et absorbait en ces veines et ses esprits, les âmes. Il savait les respirer, ouvert à la vie, franc, pur et libre, ne voyant que le bon ignorant tout du mal. Un homme rare. Un ange, un vrai, un pur. Je ne pouvais à chaque fois que je le voyais, que prier les Dieux pour son infini bonheur intérieur. L'homme le méritait, absolument et sans condition. Je n'avais jamais rencontré de tous les hommes de ma vie, une telle bonté, et ne pouvais que le remercier d'être ce qu'il était. Je n'écrivais pas cela tous les jours.''
The man was eager to know everything and absorbed through his veins and spirits, the souls.
''An other angel, a guarding one of my sobriety, without a white mini skirt on or a bow in his hands was appearing to me, built by a sledgehammer in the rock as an arch of triumph to Virility. His sculpted jaws and his perfect square shoulders, the elegance of the gesture of his fingers holding a cigarette and the lively gleam of his innocent hazelnut eyes amazed me speechless as he came in, my mouth wide opened facing his six feet three. His irresistible Arabic accent that was so laid out of emotions with the perfect diction of a refined English as he frankly slapped my back between buddies, was inviting me to a beer with a kiss on my cheek as a warm greeting. I totally was under the influence of this one beauty, feeling proud to be next to him and hear his sighs whisper away his intelligence and sensitivity laughing. The man read Lacan and just finished his medicine studies, so young the man was already a doctor. And I could imagine him wearing a white overall attending with his seriousness and care to his patients, as obliged as his natural reverences always were. The man loved Mankind and its Humanity. He could not lie and was goodness only. I had dreamed of him some nights, often, but as soon as he appeared in front of my eyes, my mental of a woman to satisfy him vanished, to only leave room to other skies that led me admiring his joy of living and his infinite generosity. He loved to please people and touch the hearts without asking anything back in return. The man was noble, made of an inner dignity that had nothing to do with his morals. It was in him, natural. I hated the girls he loved for none of them could see his unique greatness but his fabulous physical aspects and his social assets, -poor little whores. The man had gone to Berlin to spend a few weeks there and knew everything of the town. The man was eager to know everything and absorbed through his veins and spirits, the souls. He could breath them, opened to life, frank, pure and free, only seeing the good ignoring everything of evil. A rare man. An angel, a real one, a genuine one. I could only pray each time I saw him, the Gods for his infinite ever long lasting inner happiness. The man deserved it, absolutely and without any condition. Such a goodness, among the so many men of my life, I had never met, and I could only thank him to be what he was. I was not used to write this every day.''
No comments:
Post a Comment