THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
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Tuesday, June 14, 2011

One evening at the MET, NYC. E->


Traduction française en bas de page. gs


Quelques Extraits...



''I was evil so he said. The Devil itself, and that was no joke. He meant it. My talents of a sophisticated slut had turned his mental purity of a fair proud father into an animal beast willing to fill up my oral hole anywhere, anytime his impressive ten inches needed to shoot his seed. Whether he was driving his limo, phoning his wife or walking in a park, visiting a church or a museum. At the Met one night, in a private box I had booked while watching Madame Butterfly both dressed with a tuxado on, Zlatko asked me to please him on the spot the way he needed it. The way I had taught him to free his needs. I wanted to reach perfection and devote myself to his beauty so I asked him to wait, knowing that would meanwhile also make us both feel greedy until I achieve the honor to satisfy him. Coming back from the foyer after the interval, I discreetly kneed down at his feet during the third act and started to work on his demanding tool with caring buccal ins and outs from the base to the top, concentrating on his knob with the right pressure of my lips and the perfect noise breathing that would lead him to a total and extreme pleasure letting him be the king and only think of himself . The tall blond exceptional Serbian manly beauty he was had to control his sighs and groaning for the audience next by not to pay attention. That made me feel to be the one in total control of his military power. A matter of do or die that my oral organs were commanding. Once I found the right axis that would cover the whole of his dick into my deepest throat, his long and strong blond hairy started to hold my nape gently and move it backwards and forwards to the rhythm of the intensity of his physical sensations, not giving me a single chance to escape till he exploded in silence direct in the pipe as I was grabbing his spread legs. The liquid coming down to reach my soul was my best reward. A decoration. A medal. Then he caressed my hair as a sweet tank you and I sat back on my sit. As Madame Butterfly started to sing ' Con onor muore' in the second act, his blond short beard brushed against my ear and he whispered ' You! turn me into a free man'. To hear it then was no more decoration. No more medal. I was blessed. I knew I could free a man from all codes.''



    ''J'étais le démon en personne disait-il. Lui qui avait quitté son club de football de Serbie, sa femme et ses trois gosses pour venir travailler ici. Mes allures de pute sophistiquée le séduisaient tant ajoutait-il à chaque fois et lui faisaient oublier tout comme mes performances de salope du fier père et mari qu'il était. Il devenait avec moi une bête, un animal, une machine à sexe dès lors que ses trente centimètres le titillaient trop et le enhardissaient à se débarasser au plus tôt de sa semence, que ce fut en conduisant sa limousine à n'importe quel moment, au téléphone avec sa femme, une promenade dans un parc ou visitant une église ou un musée, quelques toilettes ou autre confessional étaient toujours bien assez proches pour s'isoler et activer mon travail de tête. Un soir, j'avais réservé une loge au Metropolitan Opera pour y voir Madame Butterfly avec lui. Le sortir en public me faisait mépriser l'assistance tout entière et sa banalité. Habillé d'un smoking noir, coiffé chez Vidal Sasson et bronzé de chez Carita, je m'étais mis sur mon trente et un pour honorer sa virile beauté d'exception et le satisfaire au cas où de ses fréquents besoins instantanés. Privilégié et orgueilleux d'être le seul et l'unique homme de sa vie à le faire jouir. Et le faire jouir grandement ajoutait-il. Revenus du foyer à l'entracte, le spectacle l'ennuyait et il était prêt à quitter la salle. Il me dit qu'il voulait. Son besoin pressant revenait tout à coup et de ses yeux verts de prédateur méchant m'ordonna de sa main sur ma nuque de le soulager encore une fois, finalement revenus prendre place dans la loge. Le rideau de scène levé et les lumières éteintes au son de la cloche qui annonçait le prochain acte, je me glissai furtivement en glissant de mon fauteuil caché par le mur du balconnet qui me protégeait des regards des spectateurs d'à côté afin qu'ils ne virent point ma tête en action dépasser du dessus de sa braguette entre ses entre-cuisses bien écartées. Il me cala entre elles aussitôt agenouillé sortant de sa braguette ce phénoménal membre qui envahissait toutes mes pensées et que j'enfilai à pleine bouche d'un seul coup dans le bon axe oral de sa cavité sans aucun mouvement d'épaule. Manipulée alors de ses deux index appuyant sur la nuque la cadence de mes allers et retours sans un soupir. Sans une parole chuchotée. Je m'appliquai avec concentration. Je me voulais être sa putain parfaite et des plus performantes. Unique et incomparable, m'appliquant de la base de sa queue au sommet de son gland des bonnes pressions labiales pour l'extase qu'il méritait d'atteindre ne respirant que par le nez et sans bruit. Un remerciement à sa beauté et de me la prêter. Je m'y appliquai comme à une oeuvre d'art. Un ouvrage rare dont j'étais entrain de traire avec panache le liquide et qui arriva en giclant de jets continus dans le conduit, remplissant mon larynx de gloire et de bonheur à le délecter le long de mes parois digestives. D'un geste en me retirant une fois ma tâche terminée, il remonta sa braguette en faisant d'un sourire le signe de la victoire de sa belle main droite velue blonde. Mon âme recevait une médaille. Une décoration. L'absolue certitude de son plaisir extrême subjugué. Au moment précis quand Madame Butterfly commença au second acte à chanter 'Con onor muore'. J'étais béni des Dieux. Et une seconde fois encore lorsqu'il se pencha un peu plus tard reinstallé à mon fauteuil, à mon oreille pour me dire de sa barbe effleurant ma peau fébrile que je le rendais libre. Je pouvais libérer un tel homme de tous ses codes.''

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