THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR.

LES FLAMBOYANTES ANNÉES D'UNE STAR RATÉE, by Pascal H.
*SHORT EXTRACTS* OF THE 2012 FINAL VERSION RIGHT HERE!

ABSOLUTELY AMAZING!
Over 1,000,000 worldwide web readers already did! Hymne à Berlin, Hymne à la Sodomie, L'Épicier, Battery Park...Ratonnades à pédés!
A MUST READ! GLAMOROUS!! SEXUAL!!! DECADENT!!! And more!
Definitely NOT! Politically correct
!!! POWERFUL & SO REAL!
WorldCopyrights@SACD 2011/ # 245252, 75009 Paris, France.



Thursday, June 16, 2011

English translations down below each page.
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LES FLAMBOYANTES

ANNÉES

D'UNE

STAR


RATÉE


PascalH.

Extraits / Extracts

''Je détestais la classe ouvrière tout entière. Elle m'avait fait trop souffrir à montrer indéfectiblement du doigt, ignorante du reste, et ma voix de tantouze et ma démarche de gonzesse sur ce physique arabisant de macho qui lui, du haut de sa crête de cent quatre-vingt-quinze centimètres me mettait constamment en alerte. Les vaches! Et sa notion de travail pour gagner sa vie comme on dit, depuis tout gamin m'avait trop écoeurée, comme m'avait écoeuré le goût du saucisson et des petits pinards pas chers qu'elle trouvait toujours bons. Je préférai très tôt dès la sortie du lycée, aller traînasser sur les quais du Rhône autour de ses pissotières de cocagne pour y faire les cent pas d'une putain sublimée en tapette affirmée, à m'y branler dedans ou quémander là-dehors, fortune, fuir ce monde de péquenauds qui me tuait, avant que de conquérir, noble et beau, Hollywood et ses sommets, au plus haut. ''



THE FLAMBOYANT YEARS OF ONE FAILED STAR 

BY PASCAL H.


''I was indeed about to lay plenty of eggs as a big fat hen on the day I left that eighth working class home district of mine, and of which I hated all of it that made me hate, way beyond, the entire working class itself. It had all along made me suffer far too much since birth, by continuously pointing out the sound of my puffy voice as well as my queer's gait, all together carried with this Arab macho type face of mine I dragged along from the top of my six and half feet keeping me permanently alert, fully ignorant that they were of the rest I could carry inside. The swines! And its notion to make a living as they said, had through the years simply made me throw up. It had been as sickening as the taste of cheap wines and local meals they always found tasty were. I preferred to walk along the Rhone river bank of Lyon waddling like a whore by the public lavatories loitering, and wank inside, or search for fortune outside as an asserted faggot, escaping my way, the only way I knew then to be and that was my own, from that peasants' world that killed me, before my time of fame, at its highest peaks and higher, in Hollywood arrives. I just did not have to fall off the mountains.''



PRÉFACE / PREFACE. E->



English translation down below this page.


Quelques Extraits...


''Je n'avais eu que trois contrats dans une vie, et n'avais jamais travaillé, passant le reste du temps à être entretenu et me faire baiser, pour ignorer tout du futur et mieux vivre le présent. Les trois années à chanter au Moulin Rouge de Paris où il était venu de nombreuses fois m'y applaudir, il les avait oubliées. Les deux passées au Dunes de Las Vegas où il était venu quatre fois m'y visiter, ne comptaient plus, et l'unique film que j'avais à Berlin d'un premier rôle tourné, il ne l'avait jamais vu. Je n'avais passé le reste de ma vie de showgirl, qu'à m'occuper de mon cul.''


''Trente-cinq ans plus tard après notre dernier au revoir, je rencontrais, moi toujours divine pensais-je, lui les cheveux vieillis et l'oeil moins vif, mon premier grand amour. Enfin j'entends d'un premier grand amour ne pouvant le comparer alors aux milliers d'autres qui plus tard allaient me passer dessus, la première vraie grosse bitte maîtresse de mon éducation. Une circoncise, énorme, qui de ses couilles très british toujours pleines sur la banquette avant de la Rolls, m'avait tout appris de ma condition de salope et de femelle à fermer ma grande gueule pour la réouvrir aussitôt, large et bien dans l'axe du cylindre. Et, de son compte en banque bien garni, elle avait fait des merveilles et m'avait parfaitement enseigné à en vivre le luxe dont elle m'avait carrément instruit d'opulence. Le grand amour théorique de ma jeunesse, m'avait permis aux aurores de mon existence, d'entrer de suite dans la grande vie pour en connaître tous ses plaisirs infinis et constants, dès lors que j'avais su prendre le train en marche et qui lui, de sa locomotive à toute allure, m'avait permis d'une misérable situation de midinette tapineuse de province, d'en sortir, pour ne plus quitter Londres ni le Food Hall de Harrods où il me payait le caviar quotidien de mes luxures. Et il revenait me retrouver ce grand amour, là, tout seul, à l'aéroport de Lyon, la ville natale de mes tous premiers tapins, trente-cinq ans plus tard avec ses soixante dix balais bourrés de solitude, fouiller dans mes années passées pour savoir des futures, ce qu'il pourrait encore en tirer.
Dans les beaux paysages du Beaujolais où nous allions passer quatre nuits au château de Bagnols devant son parc et son lac à s'y raconter nos vies d'une autre époque, et celle de la Renaissance dont il appréciait les arts et les sciences, l'amour n'était plus au rendez-vous. Je ne savais trop quoi lui dire de mes rêves que j'avais pensé vivre aux quatre coins de la planète à la recherche de la gloire, en une reconnaissance absolue de mes talents. J'avais frappé à toutes les portes de Los Angeles pour y devenir acteur, à celles de Las Vegas pour y devenait chanteur, et de Melbourne à Paris en passant par Berlin, Tel Aviv, Vienne, Athènes, Nassau et Buenos Aires et que savais-je encore, j'avais fait le feu au cul, tout le reste et encore plus. Je devais lui raconter quoi à lui, lui qui d'une vie bourgeoise et confortable de pédé snobinard n'avait jamais pu avec ses millions et sa grosse bitte, quitter le sol de la terre. Je n'avais eu que trois contrats dans une vie, et n'avais jamais travaillé, passant le reste du temps à être entretenu et me faire baiser, pour ignorer tout du futur et mieux vivre le présent. Les trois années à chanter au Moulin Rouge de Paris où il était venu de nombreuses fois m'y applaudir, il les avait oubliées. Les deux passées au Dunes de Las Vegas où il était venu quatre fois m'y visiter, ne comptaient plus, et l'unique film que j'avais à Berlin d'un premier rôle tourné, il ne l'avait jamais vu. Je n'avais passé le reste de ma vie de showgirl, qu'à m'occuper de mon cul.
Les longs repas d'une cuisine raffinée autour d'une belle table, et les cognacs et le champagne devant les immenses cheminées, remplaçaient les silences de ses effarements à m'écouter. J'avais accepté son invitation la bouche alerte et déjà pleine, prête à le satisfaire au cas où, n'ayant rien à perdre. L'espoir à mon âge délabré d'y rencontrer un nouveau Dieu salvateur de jouvence et de billets de banque en qui croire, m'avait fait d'Israel déplacé. Son manoir du Dorset et la maison de Kensington m'attiraient encore entre les bons plats d'une cuisine d'exception et les dix millions de Livres sterling qu'ils représentaient, agitant vivement à tous mes esprits, les envies effectives de les dépenser, sans trop penser à ce qu'il y avait encore à jouir de délices avec les autres millions qui restaient en Suisse. Les cellules nerveuses de mon cerveau, en silence forcé, n'arrêtaient pas de ruminer et de bonnes grâces, les saints reliquats de ces tabernacles genevois, quand bien même le siège avant de sa nouvelle Bentley n'avait plus le même attrait, et que sa grosse bitte jadis didactique en ma présence, s'était éteinte et n'avait plus rien à m'apprendre. J'avais de toute façon déjà tout perdu et n'avais jamais rien gagné. Je connaissais les hommes et leur grosse queue par coeur, et le coeur là-dedans n'avait rien à y faire, j'aimais trop me faire mettre. Les auditions passées me renvoyaient en raté à chaque fois droit au mur, et je me réfugiais alors dans les bras des beaux mecs pour y être empalé et tout oublier des misères. Hors mis ces trois contrats d'une vie, j'avais obtenu des centaines d'autres rôles de putes, hors caméra, qui eux glorifiaient à mon mental, mes ouvertures anales et buccales à la place des oscars. Tout à coup après le gigot que nous avions commandé et bouffé en hommes distingués, le ventre plein et les babines arrosées, il me le faisait remarquer, distant et peu amusé, ma situation actuelle qui en fait n'était qu'une prolongation sans faille du passé, la décrivant en un nouveau personnage qui traînait désormais avec lui, une forme d'art. An ''art form'', dit-il dans sa langue natale. En midinette un peu idiote que j'étais restée, je trouvais cette approche pas mal, moins brutale que l'image d'un artiste raté, mais en quelques instants et bien au-delà et vite, elle me faisait très mal, et arrêtait net, mes divagations sur sa fortune que j'avais initialement présumée pouvoir de mes charmes un peu abîmés, reconquérir, et arrêtait net aussi, mon appétit. Je me sentais petit. Il pensait que j'errais encore mes talents en rêves sous quelques lumières du moment pour inventer le personnage que je m'étais fixé d'être. Pourtant, je n'inventais rien ni me m'etais fixé d'être quelqu'un d'autre de ce que je n'étais, j'étais, c'est tout, le même, et de l'adolescence à la ménopause. J'avais traversé les années à les vivre ces rêves, quatre décennies à faire jouir mon cul et mon âme, et à reproduire mes ovaires et mes rêves, et mes rêves encore, et j'y étais arrivé. J'avais accepté de mon grand corps et de l'extérieur, que tout était matière, pour ne me consacrer qu'à eux sur cette terre. Il ne comprenait ni mes phrases, ni mes mots, ni mon style de vie, et en était choqué, broyé d'impuissance à la pénétrer et à l'accepter.
Mon histoire était la mienne, son parcours le mien, que pouvais-je raconter d'autre? Je n'étais que le résultat de mes expériences de cul, immenses, queue après queue, mâle après mâle, tous aussi diverses les uns que les autres. Je les avais tous faits dégorger, ils se comptaient maintenant par milliers, et de ces expériences devenues avec le temps quasi scientifiques, certaines étaient lourdes et légères, d'autres fastueuses et minables. À défaut de ma gueule sur un grand écran en son stéréo, j'avais avec eux tous, de ces innombrables scènes lubriques, écrit mon mon propre scénario, avec ma grosse trique. J'étais une mosaïque de contrastes et je n'y pouvais rien. J'avais été riche et pauvre, chanteur et putain. J'arrivais à la soixantaine encore fraiche et svelte quelque part entre la guerre, le halo des projecteurs, la prison, les millions, la routine et l'extraordinaire, j'avais tout fait, et plus encore, et essayais de vivre de façon sereine, le moins malheureux possible de n'avoir pu vivre en artiste reconnu, ni même en salope amoureuse qui tous deux, cachaient tant bien que mal leurs peines. Il ne comprenait rien à ma vie, rien, absolument rien, rien à l'argent ni à l'amant que je n'avais jamais eus et n'avais toujours pas. J'étais incompris, et sans vouloir en faire, un incompris solitaire. Et je pensais alors en digérant cette pesante remarque et le gigot, que sans doute tout au long des années je l'avais toujours été. Il ne pouvait me situer dans le clan bien gardé d'une bienséance matérielle et morale. Ma vie grandement atypique déstabilisait manifestement, la sienne d'un homme riche, mais ordinaire, et pédé. Un bar, une verre, un mec, une petite queue pour s'envoyer en l'air et son tour était joué. Moi, c'était la terre entière qui m'était passée dessus, tous orifices confondus. Je n'avais que ça à raconter et à dire, et cette terre, vous allez la lire. J'étais honnête et n'avais rien à cacher du fin fond de mon subliminal vagin à la pointe de mes seins en passant par le petit vélo qui tournait en permanence dans mon cerveau. Il n'y avait de mes odyssées, aucun ombrage. Tout était clair, limpide, lucide, mais jamais modéré, ni sage.
En fait, il n'y avait rien à comprendre ni à vouloir le faire quand on savait aimer. Connaitre et aimer l'autre sans le calquer sur sa propre vie m'était chose facile, animale, instinctive, et ce flair naturel l'emmenait illico et à chaque fois sans me poser de questions, au creux de mon plumard, en une totale acceptation. Il avait peur de tout quand je n'avais peur de rien, en perpétuelle recherche d'une reconnaissance jamais atteinte et de mon absolu mâle que je cherchais encore. Je n'avais atterri nulle part et ça emmerdait le monde, ça l'emmerdait lui. J'étais toujours le même et celui que vous allez connaitre. Plus libre que lui, vous saurez l'accepter, ou le fuir. À vous d'y ajouter les adjectifs de ma vie et de se complaire à les interpréter, si vous le voulez ainsi. Je m'étais envolé, loin et haut, là où tous mes rêves m'avaient guidé, puis emmené, puis enlevé. Ils avaient été le moteur indiscutable de chaque voyage, et m'avaient fait parcourir la planète plusieurs fois dans tous les sens pour atterrir en leur coeur. À chaque départ, à chaque arrivée, l'élan était intact et passionné, vif et effréné. Vous allez entrer dedans, en moi, et dans chacun de mes nombreux amants. Il la voyait faraude et fanfaronne mon histoire. Pourtant je la connaissais bien, elle et le monde. Je l'avais absorbé de toute queue sur chaque continent, il était rentré dans mes veines, dans mon cul et dans mes neurones. Il était rentré encore et encore dans tout. Je l'avais bu. Je l'avais bouffé. Je l'avais entendu. Je l'avais chié. Il m'avait enculé, tant de fois farci, et je l'avais écouté. Il m'avait fait bander et réfléchir et pleurer. Mon savoir déréglait trop son égo bien bourgeoisement établi. Il ne déréglera pas le vôtre. Tout au plus il bousculera un peu vos valeurs et vos codes, peut-être. Il s'agissait en décidant de tout dire, de préserver et conserver radicalement mon existence des forces positives qui lui restaient. 
Alors, voilà, c'est à vous. Ce livre est à vous, il vous est dédié, corps et âme. Vous allez pouvoir page après page, avec doigté, vous seul, en privé, entrer dans la mienne et dans mon cul tous deux intimement connectés. À vous maintenant, d'y pénétrer, au plus profond, leur monde.
Car, de toute cette histoire de chanteur et d'acteur à trois contrats dans une vie, il ne me restait qu'à aller me faire enculer même si c'était depuis l'âge de quatorze ans, déjà fait. Entre les pompages de queues et les enculades à la chaîne et autres curetages, c'était bien là, les seuls contrats d'une vie que les Dieux avaient concédés, avec brio, d'exécuter, à Hollywood, comme ailleurs, pour que j'y fusse applaudi de bravos.''



''I only got three contracts in my entire life, and never had worked, spending the rest of my time at being kept and fucked, ignoring the future to live the present better. The three years when I sung at the Moulin Rouge of Paris where he came so many times to applaud me, he had forgotten them. And the two years I spent at The Dunes in Las Vegas where he came four times to visit me, did not count anymore, and the only film in which I got in Berlin the first role, he never had seen it. I only had spent the rest of my life of a showgirl, attending to my ass. ''


''Thirty years later after out last good bye, I met, me divine as always thought I, my first big love with older grayer hair and less keen eyes. Well, I mean by first big love not being able to compare him to the thousands of others that would later get me laid, the first real big master cock of my education. A circumcised one, that with its British balls always full on the front seats of the Rolls Royce, that had taught me to live my condition of a female slut and shut my gob to open it straight back wide, in the right axis of the cylinder. And his well off bank account had made wonders and perfectly taught me to live in complete luxury of which I knew all of its opulence. That one big love at the dawn of my existence had allowed me to enter into the high life as soon as I had known to jump quickly on the running train to London that led me fast to the Harrods Food Hall and to the every day caviar of my lewdnesses, not letting me ever going back to my life of a provincial whore on the game. And that one big love was right here, alone in front of me at the Lyon airport, the town I was born in and had lived all my games, thirty-five years later with his seventy years of solitude, trying to dig in my passed years to find out if he could still get something out of them.
In the beautiful landscapes of the Beaujolais, we went to spend four nights at the Chateau of Bagnols in front of its park and its lake to tell our lives of an other age away, and the ones of the Renaissance of which he appreciated the arts and the sciences for love was not there anymore. I did not really know what to tell him about dreams I though I had lived throughout the world searching for glory as an absolute recognition of my talents. I knocked at all the Los Angeles doors to become an actor, at the Las Vegas ones to become a singer, and from Melbourne to Paris via Berlin, Tel Aviv, Vienna, Nassau and Buenos Aires and who knows where else, I had done with my constant burning ass, all the rest and more. What could I possibly tell to him, him who lived a bourgeois and comfortable life of a snobby queer all along, him who never with his millions and his big cock had been able to lift off the ground off the earth. Big meals of a fine cuisine around a nice table and the cognacs and the champagne we sap replaced it all. I had accepted his invitation my mouth already full, wide opened and quite alert to satisfy him just in case as I had nothing to loose. The hope at my wrecking age to meet a new saving God of youth and bank notes I could believe in had made me fly from Israel to here. His Dorset manor and the Kensington house still attracted me between the nice courses of an exceptional cuisine, and the ten millions of Pounds that they meant, infinitely moved in my spirits, the effective envies to spend them, without thinking too much of what for other delights I could spend away with the other millions that remained in Switzerland. The nervous cells of my brain, forced to be kept quiet, never stopped ruminating the holly remainders of these Geneva tabernacles, even though his fat prick once next to me didactic, now was pretty inactive on the front seat of his new Bentley and had nothing more to teach me. I already had lost everything anyways, and never had earned anything anyway. I knew men and their huge dick by heart though my heart was never at stake as I loved being screwed more than a lot. The auditions I had sent me each time back home as a failure, and I sheltered myself in the arms of beautiful handsome guys to be impaled and forget the present, only thinking surely, of the future contracts to come. I only got three in four decades, that was all my life, and got hundreds of roles as a whore off stage that glorified to my mind, my anal and buccal apertures instead of the oscars. Suddenly, after we finished the lamb we ordered, with a full belly and wined lips, he said, describing a new character that dragged along with him his passed, I was an ''art form''. As a stupid little girl I somewhat still was, I found this approach not bad, less brutal than the image of a failed artist anyway, till I realized in a minute, quite quickly and beyond these two words, it actually huts me and hurt me deeply, stopping on the spot, my rambling over his fortune I thought my slightly rotten charms could gain back, stopping also straight way, my appetite. I felt little, small, tiny, a peanut, a good to nothing, low. He thought I was still dragging along my talents and my dreams under some lights of the time in order to invent the character of my mind I fixed years back. I did not invent anything. I had kept crossing the crossroads of my dreams and living them, at making my ass and my soul blow, at reproducing my ovaries, and I had been there. He could not understand my phrases, nor my words, nor my style that shocked him.
to be continued



Langues / Languages. E->


English translation down below this page.


''Il y avait deux langues qui me rendaient folle et me faisaient jouir illico. Je pouvais en fermant les yeux m'allonger sous un gros porc aussitôt. Une vieille vache graisseuse et merdeuse dans des puanteurs de travailleur faisait aussi l'affaire autant qu'un vieux débris poisseux baveux et galeux au trou du cul mal décrotté qu'il fallait traire. Je pouvais de suite me faire tirer le bec par un jeune con prétentieux et ringard au tube encore pisseux et mal décrassé aussi sec, dès lors qu'il parlait à mon oreille, russe ou arabe. Leur bitte en ma croupe passée en revue n'avait alors de goût que le son de leur parade avec tambours et trompettes pour battre ma chamade.
Ce n'était pas l'hébreu qui me la faisait battre, bien au contraire. Je fuyais cette langue pour l'entendre, la lire et l'écrire et la parler le moins possible. Heureusement qu'ils avaient de bonnes queues circoncises ces
cocos-là pour me la faire battre plus effectivement. Ses sons heurtaient mes oreilles et surtout, la langue camouflait en une vision globale de perception, l'étendue d'un champ libre. Ils ne lisaient pas les lettres latines les unes après les autres comme nous le faisons en Occident une lettre après l'autre, voyelle après consonne en s'appuyant sur elle, mais ne recevaient en flash à leur cerveau, qu'une image globale du mot à l'instar de leur langue et qui les induisait souvent en erreur de son sens, retirant ainsi immédiatement toute subtilité d'une poésie approfondie qui touchait la pensée,n'en autorisant qu'une approche. Ils rognaient de fait les coins et recoins d'une tableau que leurs yeux ne pouvaient distinguer, en ne gardant d'entendement que la conception d'un panorama général d'ensemble. Toute la théorie de l'école de la Gestalt* devenait concrète au contact de cette langue. Percevoir à l'esprit l'intégralité de la forme sans en fignoler sensuellement les détails était plus important que d'en additionner le total des fractions. Il en était de même affectivement chez tous les sujets qui la parlaient, ce qui inévitablement établissait en eux dès la naissance, à mon goût un manque réel de dissertation, une lacune certaine qui les emmenait droit à leur but visionnaire en une seule prémonition intérieure, bonne ou mauvaise, mais toujours neutre et sans relief pour épicer suffisamment ma sensibilité. Car il n'y avait pas pour ma petite tête de nymphomane et sa propre perception du monde, trente-six solutions pour relier de ses sens le monde extérieur à son cerveau . Le mien se connectait à fleur de peau, bouche, nez et oreilles confondus, les yeux écarquillés en angles larges d'un travelling sur la surface plane qui se présentait devant eux, toujours à l'affut des détails dont mes esprits étaient émerveillés. Il n'y avait rien à faire, cette langue, pour moi, ne me le permettait pas, et bien au-delà de converger vers une unique et rapide vision globale d'un ensemble sur un mot, beaucoup plus loin au fond de l'être, obstruait de ses focus oculaires pris en bloc, les mises au point du coeur. Et c'est pour ça qu'a part leur queue, peu d'entre eux en hébreu ne pouvaient battre ma chamade.''


*Gestalt= mot allemand signifiant forme, figure. École berlinoise de psychologie et psychothérapie du début du XXème siècle.
Languages.
*Gestalt= German word for form, shape. Berlin school of psychology and psychotherapy of the early 20th century.


''There were only two languages that drove me crazy and could make me come at once. I could be when closing my eyes, topped by a big fat pig on the spot. An old greasy and shitty cow stinking foul smells could also do as much as any other disgusting dribbling and mangy uncleaned ass hole's wreckage I had to milk would have. I could in a second open my gob wide to be filled by some corny pretentious young jerk whose wishy-washy tube was still evaporating piss as long as he could speak to my ears, Russian or Arabic. Their cock reviewing with drums and trumpets my rump was then tasting nothing but the sound of their parade for me to be beating wildly.
It was definitely not the Hebrew language that made me beating wildly, on the contrary I tried to escape from this language as much as I could in order not to hear it, not to speak it, not to write it, not to read it. The locals with their circumcised performing cocks beat me instead other ways. The sound of the language hurt my ears and most of all, the language itself disguised into a global vision of perception, the expanse of a clear field. It did not allow to read Latin letters one after the other as we do it in the Western world, vowel after consonant clamping together, but hit the brain as a flash of a global image, which immediately withdrew any subtlety of a poetry that hit the thought, leaving only a general approach to it. It cut from watching the quoins and nooks of a picture eyes could not distinguish , only leaving room for one vision of a global panorama of the whole. The entire theory of the Gestalt* school made all of its sense through this language, letting the spirit perceive the entity of the form without getting sensually into the details, which was more important than the sum of the parts. And so were emotionally the subjects who spoke it. It inevitably had created in them since birth, a lack of dissertation to my taste, a gap which drove them straight to their visionary aim into one inner good or bad premonition, in any case never spicy enough for my sensitivity. For in my little head of a nymphomaniac and its own perception of the world, there weren't a thousand solutions to connect with the senses the outside world to the brain. Mine linked with it from under its skin, mouth, noise and ears overcome all together, my eyes opened wide through large angles as a constant traveling shot over the plane surface that exhibited in front of them, always lying in wait for details that enchanted my spirits. No way, for me this language definitely did not allow it. Beyond converging towards one quick and only global vision of the whole reading one word, way beyond deep inside one being, this language obstructed from its ocular focus taken in one lot, the focus of the heart. That is the reason why, apart from their cock, few of them speaking Hebrew could indeed make me be beating wildly.''


CONTRE NATURE / AGAINST NATURE. E-> 2011 version.


English translation down below.


Quelques Extraits...

''Habitué à vivre mes histoires que les scripts de mes fantaisies faisaient couler dans les veines de mon cerveau et de mon corps pour les jouer chaque jour dans les sentiers de ma réalité, le dernier con que je venais de rencontrer venait de me dire d'un air sûr de lui mais si naïf qu'il en effaçait l'effronterie, que mes actes et actions étaient contre nature. Je riais aussitôt aux éclats d'entendre un telle connerie. ''Contre nature''. Ça voulait dire quoi au juste?''

Aggressive or cuddly, could he ask to be else than he was?

''Used to carry on living the stories of the scripts of my fantasies that ran through the veins of my brain and body and made me perform each day in the paths of my reality, the last idiot I just met told me so sure of himself in such a naive way that erased the impertinence of it, that my actions and deeds were against nature. I at once screamed with laughter by hearing such a crap. ''Against nature''. What did that really mean?''


Ceci est mon corps, Ceci est mon sang. E-> 2011 version.

This is my body, This is my blood.
English translation below.


Quelques extraits...


''Je suçais des bittes comme on suce une hostie, religieusement, consciencieusement, attendant d'elle qu'elle fonde lentement sur ma langue et se jette en des cours d'eau violents, en aval du fleuve débordant alors de son cours normal, trop alimenté par ses affluents et qui inondait mes plaines. Une fois envolée de sa croyance, la fonte des neiges du haut de leurs pics dégoulinait en cascade dans mes précipices en d'immenses chutes d'eau que plus personne ni Dieu, ne pouvait réguler. Il était trop tard pour maitriser la nature de ses tremblements de terre qui les faisait gicler de mille feux, lançant haut et puissant dans mes cieux, tout de leur lave et autres poussières qui remplissaient de joie ma foi. Elles m'envahissaient coulant ainsi à flots dans le lit de mon canal, aussi de leur âme. Je priais les lèvres musclées, de cette offrande providentielle en mon corps et esprit, pour me purifier de mes transgressions aux lois religieuses qui elles, au verbe aimer n'avaient plus rien à ajouter ni ne savaient même plus, le conjuguer. Il ne me restait plus, dévote, que mes bittes à prier. À genoux je tenais ma bible en main la bouche ouverte et estropiée, recevant de Jésus et de ses apôtres leur bénédiction pour toutes mes actions de délivrance. Je portais sur les épaules ma croix en activant de surcroit, les excrétions pointues de leurs souffrances. Les sécrétions internes des glandes endocrines remuaient ciel et terre pour se transformer par l'opération du St Esprit, en des glandes exocrines qui elles jaillissaient au final de ma première communion, en tonnes, les fluides protecteurs de mon nectar béni. Je recevais alors de leurs sacrements, l'eucharistie à chaque pratique respectueusement buccale les jours de ma définitive confirmation. Ceci était son corps, ceci était son sang. Amen.''


This is my body, This is my blood.


''I sucked pricks the way you suck a host, religiously, conscientiously, waiting for it to slowly melt on my tong and flow downriver in violent streams, into the river off its normal run for too fed by its tributaries that now over flooded my plains. Once flown away from its belief, the snows smelting from their peaks dripped as cascades through my chasms into huge waterfalls that no one nor God, could regulate. It was too late to master the nature from its earthquakes that made spurt into thousand fires, bursting high and strong right to my skies, all of their lava and other dusts that filled my faith with joy. They invaded running that way their billow in the stream on my canal, also my soul. With muscled lips, out if this providential offering in my body and spirit, I prayed to purify me from my disobediences to religious laws that could not add anymore anything new to the verb to love, nor even knew anymore how to conjugate it. I only had left as a devout, my dicks to pray. On my knees I held my bible with my mouth opened and crippled, receiving from Jesus and from his apostles their blessing for of my deeds of deliverance. I carried on my shoulder my cross activating moreover, the sharp excretions of their suffering. The internal secretions of the endocrine glands took the entire universe by storm to change, operated by the Holy Spirit, into exocrine glands that threw at the finale of my first communion, in tons, the protective fluids of my blessed nectar. I received then from their sacraments, the Eucharist at each respectfully buccal practice on the days of my definitive confirmation. This was his body, this was his blood. Amen.''



ANDY WAHROL'S CAMPBELLS' SOUP. E->

English translation down below.


Quelques Extraits...


''Entre folles de grande classe éduquées, je modulais précipitamment mes allures en celles totales d'une pute, désormais sûre d'elle et de ses fonctions vaginales et buccales. J'allais être prise dans le tourbillon de deux bittes d'exception sur des matelas de dollars. Je n'arrêtais pas sans le sou, de vivre dans le luxe.''



''Je dansais, je dansais, je dansais encore sur les musiques de Kool & The Gang et de Donna Summer, en star, les mains dans les poches de mes pantalons de velours noir comme si je marchais, dandinant sous les boutons dorés de ma veste de daim rouge sang mes épaules en avant, en arrière, les Persol sur le bout du nez, dédaigneux et distingué je méprisais tous les regards des clients qui me croisaient sur la piste de danse du studio 54. J'étais jeune et j'étais beau, j'étais belle, une putain royale invincible et intouchable, la star du Moulin Rouge de Paris qui revenait des Bahamas enfin débarrassée d'Hector et de ses misérables envies, toute bronzée et qui faisait, avec éclat, rayonner ses dents blanches sous les projecteurs aux cents couleurs à l'affut d'une queue friquée qui remplirait mes trous à m'en faire gueuler, et les creux de mon compte en banque pour ne plus y penser. Je partais à Las Vegas dans trois jours de La Guardia Airport avec la TWA et la ferme certitude d'y vivre toutes mes gloires. Personne ne m'y connaissait dans cette disco, mais on m'observait. On m'y guettait. J'y gesticulais comme sur la scène du Moulin, tout à fait à l'aise, et les gens pour laisser évoluer mes élégants pas de danse s'écartaient pour m'applaudir et m'admirer. De telles vanités, je n'en pouvais plus d'être imbu de moi-même. J'étais dès la première heure de la soirée dans cette boite de la cinquante quatrième rue, le centre parfait d'attraction dont je jouais à la perfection le rôle de mon accent volontairement français, à la conne, d'un parfait anglais, petite provinciale émerveillée d'être à Nouillorques dont je me foutais complètement, sauf de Prévert. Retourné au bar y fumer et m'abreuver de bulles bien fraiches de Champagne dans l'impatient espoir d'y faire une rencontre d'une nuit qui m'allongerait en pute sur le plumard de ma chambre d'hôtel pour m'y baiser, divine, un des serveurs de la salle venait d'un grand sourire m'annoncer que la table, là-bas, plus loin, celle qui dominait la piste, m'invitait. Ce monsieur aux cheveux gris blonds qui me paraissaient à distance un peu sales, la peau blanchâtre quasi maladive m'était totalement inconnu et ne mettait de sa cinquantaine, d'aucune façon mes envies en appétit, moi qui rêvais en femme fatale de l'Absolu Mâle pour me culbuter. il n'y avait que les lunettes que nous portions à l'identique qui semblaient de cette toute première approche nous réunir, même si j'avais remarqué de la piste qu'il m'avait observé danser. En femme du monde dans mes beaux vêtements achetés à St Germain des Près, j'acceptais toutes dents luisantes dehors que renforçait de luminosité mon bronzage, l'invitation, et, d'un pas décidé mais sans précipitation, je m'avançais à la table une coupe à la main pour le remercier. Il était accompagné d'un beau jeune homme de mon âge qui lui, par contre, pouvait de suite me tirer dans les chiottes s'il le voulait. Il correspondait de sa barbe noire et de ses cheveux mi-longs sous son beau costume d'Yves St Laurent dont j'avais de suite en m'avançant, repéré les entre-cuisses bien gonflées, entièrement à l'idée de la grosse queue de service dont j'avais besoin cette nuit pour m'excaver. Mais je l'ignorais. C'est l'autre qui m'invitait, et qui de suite, me proposait de m'asseoir en congratulant mes talents de danseur. Lui Andy, moi Pascal.H, l'autre beau Jules s'appelait Declan, sous les présentations d'usage je savais déjà que je lui plaisais, à lui, et à l'autre. Nous étions entre femmes du monde, d'égal à égal. La soirée s'annonçait d'une partouze grandiose dont je serais l'ingrédient du sandwich. Il me demandait ce que je faisais ici et je lui répondais que j'y faisais la pute en attendant d'aller la faire dans les sables du Nevada. Il s'éclata de rire aussitôt en ajoutant du tac au tac qu'il y faisait la même chose sur le béton local. Il ouvrait une autre bouteille de Champagne, et j'observais la salle nous regarder. Je ne savais pas qui il était, il n'était pour moi que Andy que je venais à l'instant de rencontrer, ne pensant de sourires discrets de petite garce, qu'à la bitte de Declan qui me défoncerait plus tard sans me préoccuper de la présence de Andy Warhol dont je connaissais vaguement le nom mais pas le visage. C'est Declan qui venait de le dire en parlant d'art et d'une exposition qui était proche, et moi, je parlais alors de la scène du Moulin Rouge où je chantais et de Nassau d'où j'arrivais. Mais je calmais à son égard aussitôt, ma distanciation à l'écoute de son nom, déjà prêt à passer à la casserole dans l'attente d'avoir le mien qu'il rendrait peut-être aussi célèbre que le sien. Entre folles de grande classe éduquées, je modulais précipitamment mes allures en celles totales d'une pute, désormais sûre d'elle et de ses fonctions vaginales et buccales. J'allais être prise dans le tourbillon de deux bittes d'exception sur des matelas de dollars. Je n'arrêtais pas sans le sou, de vivre dans le luxe. J'allais pour être désiré d'avantage, redanser sur les notes de La Vie En Rose qui passaient à l'instant chantées par Grace Jones, et je quittais un moment la table pour aller élégamment me dandiner sur la musique. Je sentais derrière mon dos, la fièvre de Andy Warhol et de Declan monter du dessous de leur braguette, électrique. Et j'en rajoutais, dansant alors avec de belles femmes dans mes bras que je retournais comme pour les enculer, collées au cul devant moi mes mains alors sur leurs hanches. Elles se laissaient faire ces petites mégères, me demandant alors si j'étais un ami de Andy Warhol ce à quoi, bien sûr, je répondais oui.
Au retour l'air terminé qu'enchainait ''I miss you'' des Rolling Stones le DJ, je finissais mon verre et Andy me demandait si je voulais les accompagner. Ils allaient dans un bar du Village, un bar avec une chambre noire ajoutait-il. Declan parlait peu. Je pense qu'il était le Minotaure de service dont je me régalais par avance de sa force immense à l'oeuvre dans mes orifices, calé dans les bras de Warhol pour un parfait équilibre. Nous étions, mondains, entre salopes, de grands connaisseurs. Je disais oui. Sur le trottoir en attendant le taxi, les passants nous dévisageaient tous les trois, et surtout lui, Andy, le fameux Warhol que je ne connaissais pas, s'attardant après sur Declan et moi pour savoir qui de célébrités à l'accompagner, nous pouvions bien être. Tous trois montés derrière, moi au centre jambes contre jambes serrées de l'un et de l'autre qui me pelotaient les cuisses, je bandais déjà et le chauffeur descendait sous les lumières de Broadway en regardant en silence dans le coin de son rétroviseur, ces deux grands bruns se caresser tandis que la star aux cheveux couleur platine décolorée entourait ma nuque caressant de temps à autre délicatement des doigts, celle de Declan. Nous étions partis pour le grand jeu, bien décidés aussi silencieux que le chauffeur, à s'envoyer en l'air en des voluptés les plus salaces possibles, et moi de cette luxueuse intimité, tout aussi décidé à en tirer tous les profits. Le chauffeur de taxi en arrivant devant le bar demandait à Andy un autographe tandis que je lui sortais un billet de vingt dollars qui réglait sa course. Le bar était minable, aux moquettes déchirées et aux odeurs de transpiration et de foutre, de bières et de mégots, les murs rouges et noirs délabrés et la clientèle en jeans déchirés, la biite à l'air en train de se faire sucer. D'autres au fond s'enculaient, juste à côté de la baignoire où d'autres y pissaient sur des belles gueules de machos barbus la bouche ouverte en attente et qui à poil, se branlaient. Le contraste de nous trois endimanchés puant le fric, le parfum et le Champagne était divin, mais nous n'étions pas de ces gays là, si lointains. Ils connaissaient tous Andy qui aimaient les observer baiser, et le barman lui versait aussitôt à notre arrivée son whisky préféré pendant que la sève pour moi commençait à monter de voir tant de beaux mecs s'enfiler. Declan se frottait la bitte déjà bien dure que je sentais par tous les Dieux devenir énorme, contre moi en attendant son verre, et pelotant mes seins sur mon pull de cachemire, il embrassait Andy. Nous étions enfin dans le vice des plaisirs qui nous était familier tous trois réunis, entourés de dizaines de mâles en rut sans savoir encore de la nuit qui allait prendre qui. Je comprenais de l'excellent anglais et des naturelles et élégantes manières de Andy, la sophistication de son esprit de voyeur qui rejoignait le mien, comme des caméras qui prennent à distance des scènes de la vie sans s'inclure dans l'action du moment, même si parfois, lui, le corps ne s'y entendait pas et comme ce soir, nous faisait défaut pour nous rabaisser à vivre notre vie de simples bougresses en chaleur. J'avais comme lui, eu ces mêmes visions-là dans les bars cuir de Paris après mes soirées au Palace. Nous devenions alors des travestis et de son regard sur le mien pendant que Declan continuait à lui rouler des pelles, je sentais la caméra de mon oeillade sur son acte le déranger de n'être qu'un homme fait de chair. Je les laissais ainsi un moment au bar pour aller branler trois ou quatre queues dans la chambre noire et le leur dis. À mon retour, je venais en fait d'en sucer une, Declan et Andy discutaient en observant le manège incessant des mecs habillés de cuir se draguer, et qui n'arrêtaient pas tard dans la nuit, d'arriver. Le bar était maintenant plein et d'un gentil sourire, Andy me proposait de passer la nuit avec eux deux, chez lui. Je ne voulais pas aller chez lui, la notoriété de son nom m'en empêchait de peur de passer pour un opportuniste de pacotille, et en star que je voulais être d'égal à égal, je refusais son invitation en leur proposant de venir à mon hôtel, ce qu'ils acceptaient de suite. Après tout, la suite du Waldorf Astoria d'où j'avais déjà de nombreux souvenirs valait bien son appartement pour une baise à trois, et classait de suite le chic du personnage qui devenait ainsi de fait, au même niveau que le sien de descendre dans un palace. Je me sentais aussi célèbre qu'une boite de Campbells' soup, une bouteille de Coca-Cola, ami de Tennessee Williams et de Jimmy Carter, collaborateur, moi aussi à mon tour et pourquoi pas, associé de Paul Morrissey. Je n'avais jamais quand bien même je le connaissais mal, considéré son art comme du grand dont je ne retenais que le nom de pop art en des peintures et photos atrophiées qui en faisaient le génie et la popularité, et le sien immensément connu aux quatre coins de la planète. Les cellules de mon cerveau encore en action pensaient plus aux millions qu'il devait avoir qu'à ses créations. Arrivés à l'hôtel, je commandais trois bouteilles de Roederer Cristal que l'on nous montait quelques minutes plus tard. La nuit vers les cinq heures du matin pouvait, Andy et moi agenouillés devant le beau Declan, commencer. Et elle commença.
À huit heures nous avions terminés nos activités et beuveries, en fait, assez sensibles et douces, fatigués par trop d'action et notre dernière discussion sur l'apocalypse de notre société la troisième bouteille de Champagne terminée, et ma vision des USA qui étaient pour moi nouveaux et qui apparemment, l'intéressait de connaitre même si l'homme connaissait déjà presque tout. J'avais mis en avant ce rêve quasi de naissance de conquérir de mes talents Hollywood, et de laisser pleinement vivre toutes les fantaisies de mes esprits du bout de ma queue à l'idée la plus pointue. Il venait de me répondre que gamin, il avait eu les mêmes attentes, avec la ferme différence peut-être plus aiguë qu'en Europe étant né américain, de faire de l'argent. Je trouvais si tôt le matin cette affirmation si honnête, si libre et libérée, qu'elle me donnait des ailes. Il était lui aussi, vingt-cinq ans plus tôt, évidemment passé par là et l'Amérique lui avait les bras grands ouverts, souri. Il pouvait m'en apprendre des choses de la vie d'une star en stand-by. Je n'étais pas le premier connard venu et de mon second séjour dans cette ville sans connaitre encore la côte ouest, je parlais avec ma jeunesse à ce personnage mondialement connu d'égal à égal, et il me le faisait savoir. C'était dans l'air, palpable. Il était c'était certain, tout à fait sincère, sans leurres ni mensonges, quelque peu aussi gamin que moi, visionnaire sophistiqué mais cool, mondain pour les autres, en fait il n'était que lui-même, à survoler le monde pour l'observer, un peu comme je le faisais couvert de paillettes sur la scène du Moulin Rouge regardant surélevé, des planches les yeux brillants du public affamé de rêves et de sensations fuyant un quotidien désabusé. Il me mettait en confiance et valorisait mon intelligence tandis que Declan commençait à s'endormir. Puis ils partaient tous les deux au petit jour d'un matin glacial et Andy m'invitait le soir chez lui à dîner en inscrivant sur le cabinet Louis XV du hall d'entrée, son adresse et son téléphone, soixante-sixième rue est, pour neuf heures, entre Madison et Park Avenue ajoutait-il. J'avais déjà rencontré Shirley Mc Laine à Paris et Shirley Bassey à Londres, Ginger Rogers et d'autres au Moulin Rouge, et être invité par un tel nom ne m'impressionnait pas, mais surpris, j'étais ravi d'une telle marque et assurance à être l'un des convives en ses murs. Nous avions lui et moi entièrement satisfait le beau Declan de ses attentes comme une simple distraction, quelque part plus intéressés lui et moi par notre discussion que nous avions menée avec passion. Il ne me considérait donc pas comme un simple objet sexuel de salon. Je les embrassais tous les deux sur le pas de la porte d'un au revoir à la française qui les fit sourire en leur disant à ce soir, et allais prendre un bain puis me coucher. (...)


''Between educated high standards queens, I suddenly adjusted my moves into the ones of a total whore feeling her buccal and vaginal functions being totally operational. I was about to be done in a whirl of two dicks of exception on mattresses covered with dollars. I never stopped being broke, living in luxury.''


''I was dancing, dancing, dancing on and on till the end of the night to the sound of Kool & The Gang's and Donna Summer's musics, putting my hands in my black velvet trousers' pockets as if I walked, waddling along backward and forward my shoulders under the golden buttons of my red suede jacket and wearing Persol sun glasses at the extremity of my noise, vain, and stylish. I despised everybody around that was looking at me dancing away on the Studio 54 dance floor. I was young and handsome, a pretty babe, a royal untouchable and invincible whore who as the star of the Moulin Rouge, just came back from the Bahamas, all tanned and at last rid of Hector's miserable envies, now free to show off all teeth out shining under the hundreds of colored spotlights, and search for some pretty well off cock that would fill up my holes to make me scream as well as the lacks of my bank account for me to stop thinking about it. I was on my way to Vegas three days later from La Guardia airport flying TWA with the definite certainty in mind to live there all of my glories. No one knew me here in this disco, but they did watch me and did not miss any of my moves. I danced the way I performed on the Moulin Rouge stage, totally sure of myself, and people around stepped backwards to admire my elegant steps and applaud. Such vanities, I did not have enough of, I wanted more to be full of my own self. I was, since the very first hour of the night in this disco on 54th street, the perfect center of attraction I perfectly used to play with my overdone French accent, the part of a lousy provincial little girl with a perfect English who was absolutely marveled at the surrounding and happy to be in New York of which I could not care less. I only dreamed to be rich and famous under the fake crystal Las Vegas chandeliers, nearer to L.A., showing my face in town walking on the bright red acrylic Strip big hotels' carpets. I did not care about Broadway theaters, they were far too European for me. I wanted to live at its fullest the decadence of a factitious and made up America that was new to me, and in which I delighted myself living its apocalypse at the early era of the 80's I was about to write. Back to the bar to quench my thirst with cold bubbles of Champagne and smoke a cigarette, I was wondering, impatient, who next in my hotel room would get me laid, divine, when one of the waiter with a big smile came to tell me that the table over there, a bit farther, the one in the middle facing over the dance floor, invited me to a drink. This face with grey blondish white hair that looked dirty to me from afar, this almost sickly whitish skin in its fifties were totally unknown to me, and in no way raised the envies of the appetite I had to be as a femme fatale, screwed by the Absolute Male. Only the sun glasses we both wore the same way seemed to gather us for that first approach, even though I did have noticed that guy watching me more than once when I was dancing. As a high society Lady wearing beautify clothes I had bought in St Germain des Près, I smiled back and slowly, with no rush, walked, debonaire, toward the table a glass of Champagne in my hand to thank him. He was sitting next to a very good looking young man of my age who could at once have fucked me in the toilets if he had wanted to. He was, with his black short beard and long dark hair, with his Yves St Laurent suit from which I had spotted walking toward them both, the big hump under the zipper, the perfect idea I had of the handy cock I fancied that night to dig my needs. But I ignored him. It was the other guy who invited me and kindly asked to take a seat and join, congratulating my talents as a dancer. He was Andy, I was Pascal, and the other stud's name was Declan. After the usual and civilized way of introducing ourselves, I could feel they both fancied me. And we were as ladies of the world, equal to equal. I could also feel the rest of the night about to be a grandiose sex party of which I'd be the ingredient of the sandwich. He asked me what I was doing here and I answered him straight back I was here a whore on a stand by before working as such in the Nevada sands. He laughed loud and gave tit for tat the same answer, adding he was more a local one. He opened an other bottle of Champagne as I felt the public watching us. I did not know who he was. I only knew he was the Andy I just met, only thinking with discrete smiles of a little bitch, of Declan's dick that later would fuck me with or without the presence of Andy Warhol whose name I vaguely had heard with no face on it. It's Declan who just had said it, speaking about a very near exhibition that was about to take place, as I spoke about the stage of the Moulin Rouge where I sung , and about Nassau I was arriving from. But I held back the kind of distance I kept toward him by hearing his name, now ready to be more opened to his passing fancies knowing that may be, he might help to get mine as famous as his. Between educated high standards queens, I suddenly adjusted my moves into the ones of a total whore feeling her buccal and vaginal functions being totally operational. I was about to be done in a whirl of two dicks of exception on mattresses covered with dollars. I never stopped being broke, living in luxury. I was, in order to be desired more, now leaving the table to go to the dance floor and do my bit again, this time on La Vie en Rose Graces Jones was singing, slowly, elegantly, swinging my body to the music. I could feel behind my back, Andy Warhol and Declan's fever raise, electric, from under their fly. And I was over doing it, dancing with beautiful women in my arms I turned round as if I was about to fuck them, stuck to their ass holding firm, their hips with my hands. And they left themselves go those little shrews, asking me if I was a Andy Warhol's friend, to which of course, I answered yes.'' (...)


Berlin 2009. E->

English translation below.


Quelques Extraits...


''J'en oubliai totalement mes rêves d'artiste d'antan pour ne vivre avec assentiment et abnégation que l'artiste raté que j'étais, que je fus, que j'étais devenu, que je suis et sans doute avait toujours été. Et quel bonheur de l'être. Quel bonheur de l'être quand Berlin tout entière m'homologuait comme Pascal. Tout simplement Pascal sans autre connotation de ce qui est ou eût pu avoir été en un autre temps, en un autre espace. Seule ma présence à Berlin suffisait à réunir ces deux composantes en une constance de vie. ''


I could walk in her streets with holes in my shoes.


''I had already forgotten that little young man I had met last Summer on my Israeli beach and that had put me down an made me loose my mind with his lies and sarcasms. Berlin was making me stand up again. Just like my three decades friendships were. Twenty two years later after I left. They were opening their arms again to me as if we said good bye last night. I was back in my twenties. Back with my friends and had conquered new loves. Beautiful young and true and handsome new faces. No more lies. Real Berliners and original Prussians that could drink Champagne in fine crystal glasses just the same way they could eat a fried sausage and French fries with their hands drinking some cheap local sparkling wine. And they knew how to make me fly high to the top of total physical eaxctasy. Indeed to the top. With as a plus, the depth of their big blue Teutonic eyes while screwing hard and deep with boldness between my legs.''



Réveil / Waking up. E-> 2011 version.

English translation soon on line.


Quelques extraits...


Image suivante...


''Chaque matin, à ci
nq heures, le soleil déjà brûlant me réveillait en caressant ma peu de ses flammes au son des oiseaux qui chantaient parmi les roses du jardin et dont les parfums, mélangés à ceux de l'air marin de la grande bleue en face de moi, me faisaient se lever en une Alice aux pays des merveilles, en petite gamine toute heureuse d'être en vie, en une star de Bel Air sans contrat à la Metro-Goldwyn qui s'emmerdait d'être inactive, et en avait plus que marre de rêvasser sur des insectes qui butinent. Elle ne pensait aussitôt éveillée, qu'à sa vie utérine en besoin constant et immédiat d'être inondée par la plus grosse queue possible et inimaginable qui la remplirait, peu importe par qui elle était portée. Ses tétons fermes et franchement pointés vers l'horizon criaient au monde à qui voulait l'entendre, leur exigence régulière à être sucés et mordillés à la pression labiale exacte, de leurs besoins. Elle cambrait alors sa poitrine pour les offrir encore d'avantage à l'épicier de la veille, au plombier d'hier, au garagiste du lendemain, au chauffer de taxi ou au libraire du jour, bref, à n'importe quelle bitte de beau ou moins beau mâle qui avait bien à un moment ou à un autre, une envie comme elle, de se les vider un max, illico. J'aimais jouir comme une envie de chier. Et je cherchais à chaque fois, chaque matin, plus tard à l'heure du thé, à celle du déjeuner ou au hasard d'un supermarché, mes chiottes, où je pouvais déféquer, chez moi, au hasard d'une rue, au volant de la voiture, dans un ascenseur, un restaurant, dans un parc, à la plage, au ski, au théâtre, dans une boutique, en avion, dans un train, là où le temps et l'espace de ma vie vaginale se trimbalait afin d'être clair et net, apaisée, jusqu'à ce que les cellules de son col de l'utérus reprennent de plus belles leurs activités pour être à nouveau et vite, étouffées par un bâton énorme qui garnirait mon trou affamé. Mon cerveau et ma cervelle n'en avaient plus rien à foutre de savoir et de philosophie, ils étaient en entier envahis de leurs neurones, d'une vision en un diagramme formant de long en large, une gaillarde verge de vingt centimètres sur cinq, au moins, robuste et infrangible, déployée au paroxysme de sa puissance et qui portait en trophée, son gland circoncis en béton armé, toujours paré à m'abreuver de sa source en lisant les pages de mon unique bible. Mes besoins de baise étaient immenses, maladifs et chroniques, ils me rongeait à chaque chapitre comme un cancer, et aucune chimiothérapie ne pouvait rien y faire. Des ongles des pieds à la pointe de mes cheveux, j'étais foutue, complètement ravagée. Il n'y avait que le foutre de mes mecs qui en permanence, pouvaient de leurs piqûres me curer, mais seule une grosse aiguille, les petites n'y faisant rien, pouvait me transfuser d'un abondant sérum qui soulageait pour un moment, toutes mes souffrances. Je recommençais aussitôt peu après, à avoir mal, encore et encore, dévorée corps et âme par cette maladie qu'aucun docteur ne pouvait guérir, sauf s'il sortait de ses jeans derrière sa blouse blanche, son énorme bitte, détruisant déjà de sa force au sortir des sous-bois, tous les soldats des armées à liquider. Dès que je voyais une ceinture arriver, un bouton à défaire, une braguette trop gonflée, je divaguais de bien être avec sur ma table de chevet, déjà tous les médicaments nécessaires qui allaient me calmer. Et j'avalais chaque pilule une à une, m'en délectant encore mieux que du caviar d'Iran. Leurs années d'études à tirailler sur cobayes de ports en parts les salopes maitresses de leur éducation, leur avaient appris, et sans répit, à bien se caler dedans celle ci-présente, avec une infinie compétence, et tout balancer de leur sérum physiologique jusqu'à la dernière goutte pour en ressortir totalement clean. Il n'était pas question qu'ils ratent leur coup, il en allait de leur nature d'étalon né pour bourrer, et de leur école, à honorer. Un long nez, de grandes oreilles, de grosses mains dont le majeur était nettement plus imposant que la moyenne, soumettaient à mes esprits et sans artifice, la taille infinie de leur engin qui allait culbuter mes orifices. J'en sentais déjà en mes veines et de loin, la réaction curative qui allait de cellules, remettre les miennes à neuf, et étouffer ainsi de leur chimie, le besoin vital de leur petite garce à se faire bourrer, dans l'oeuf. Mes sécrétions coulaient des rivières en torrents pour évacuer de ses maux, mon cancer. Il me bouffait la gorge et la croupe et le cerveau, et dès que j'étais transfusée de liquides séminaux, il m'en fallait encore, j'avais encore mal, aussitôt. À l'hôpital neuro-psychiatrique de mon imaginaire, c'est alors en bataillons entiers sortis tout droit de l'université qu'il fallait venir me soigner, à grands coups de grosses triques, inflexibles et solides, toutes de leurs polices, libertaires. Seul leur gigantesque matraque baveuse et humide en main pouvait en urgence et à la chaîne, alléger mes peines, et assommer leurs supplices en injectant direct, leur intraveineuse en ponction vaginale, ou buccale. Je n'étais pas regardante sur les grands moyens à me calmer tant qu'ils introduisaient leur aiguille creuse et pointue à déformer mes ouvertures qui s'infectaient alors, en un gros quiste aux amygdales ou en mon canal rectal. Les deux à la fois étaient aussi possible et nécessaire dans les moments pressants d'un pronostique vital qui engageait sans surprise, l'acte médical à m'anesthésier de quantités indécentes de foutre pour survivre. Il fallait m'entailler en permanence pour diminuer les tourments de mes diaboliques maux, et je devenais pour tout le corps médical, le patient privilégié de l'hôpital sur lequel ils se devaient tous d'exercer leur savoir d'inciser en amont pour ainsi et enfin, soulager de leur énorme bitte mes infernales douleurs et me récupérer saine et sauve en aval. J'étais leur cobaye d'honneur, mais aucune de leurs techniques ne pouvaient tempérer mes grandioses et incessants besoins de nique. Ils devaient inventer en laboratoire, une queue, grosse, une barre d'acier, toujours rigide, qui fournît en permanence, le nécessaire vital à mes organes et tissus d'un arrosage constant de jouvence, et qui à lui seul, me remettait quasi à neuf, fraîche et gamine, en une bonne convalescente, et cela jusqu'aux prochains syndromes du mal qui faisaient divaguer grave, tous azimuts, les corps cellulaires de leur noyau, dendrites et axones. Le cytoplasme qu'ils me transfusaient direct de leur virile semence, était le seul liquide qui remettait d'aplomb mon manque de protéine et de minéraux d'organistes alors restockés sans fin dans mes cellules. Les énergies chimiques se libéraient d'elles-mêmes de leur queue pour faire bander la mienne en transférant tous les composés spécifiques d'une femme psychologique estropiée. On ne pouvait me la couper. J'étais trop viril. Une dame de deux mètres baraquée comme je l'étais, n'aurait pu être sans particule, que mal baisée. Je préférais garder mon âme de femme, cancérigène, qui dévorait les parois musculaires et fibreuses de mon vagin, en un corps d'homme d'une salope femelle qui coulait ses rivières, pérennes.''



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Des grecs et des autres. / About Greeks and others. E-> 2011 version.

English translation down below.


Quelques extraits...


''Églises et synagogues et mosquées étaient remplies de mes contemporains guerriers, les couilles plus légères et l'esprit serein, alors entièrement disposés maintenant, à aller prier.''


'' Certains me demandaient d'aller me faire voir chez les grecs, c'était déjà fait, j'avais vécu en Grèce, et d'autres me traitaient de tante et de pédale, de trou souillé de merde et de bouche fécale, en restant au goût du jour le sourire avenant et les yeux brillants, bien sûr en langue de bois, sans le dire, - la mienne était plus agile. Ils n'en pensaient pas moins de toute façon malgré les quartiers pédés des grandes villes occidentales qui réservaient de leurs bars, les chambres noires en sous-sols pour de bonnes parties anales, et buccales, ouverts vingt-quatre heures sur vingt-quatre. On s'y enfilait à tour de bras et les grecs n'y étaient vraiment pour rien. Les centurions et légionnaires des puissantes et viriles armées romaines avaient suivi la cadence d'enculages de masse et de pompages de queue entre guerriers après la bataille, bien avant l'heure, et elles avaient du avoir à fournir un sacré travail, mes consoeurs. Ils ne devaient pas y aller de main morte sous leurs tentes, au repos; les expériences des militaires américains, français et israéliens, troufions et gradés confondus, m' avaient données deux mille ans plus tard, du fil à retordre, et la preuve qu'en revenant du boulot les hormones vasoconstrictrices gonflées à bloc d'adrénaline, affamés, ils savaient s'occuper d'un cul, et d'une bouche pour leur pinne. Et, quelques heures avant la leur, il y avait eu la bible, David et Jonathan et Sodome et Gomorrhe, j'habitais désormais en face, et avant que les sages et les apôtres et Allah viennent foutre leur nez là-dedans ne pouvant le foutre ailleurs, de Perse à Byzance via Jérusalem et Luxor, ils n'avaient pas du se faire prier pour se faire enculer, c'était l'une des moeurs les plus pratiquées. Il fallait qu'en hommes d'action, ça sorte dans le plus dur, après de féroces fornications, et sous le soleil brûlant, ils étaient tous atteints de plus violentes pulsions. Des millénaires plus tard, morales après nouvelles morales, je m'en délectais tout autant dans le silence de leurs lois, tout aussi librement. Ils n'en disaient mot, de Rome à Sodome, peu importe la religion et ses dogmes, mais savaient illico, écarter un fion, et le bourrer à fond. Debout, ils se démenaient comme des lions, tenant fort dans leurs mains ma petite tête à leurs genoux, pour de leurs couilles se vider, et du sommet de leur bitte en mon larynx, l'écarter pour mieux l'enfoncer, et sans concession. Je n'avais pas besoin d'être passéiste ni historien pour savoir qu'au-delà de toute frontière méditerranéenne, ils savaient tous et grandement, prendre les choses en main. Églises et synagogues et mosquées étaient remplies de mes contemporains guerriers, et moi, la fille à soldat au trou amoureux toujours épilé et huilé et sans peine à portée de main, je les regardais partir se rendre à leur lieu de piété, les couilles plus légères et l'esprit serein, alors entièrement disposés maintenant, à aller prier, avant qu'ils ne revinssent dans la croupe de mes entre-cuisses, s'y perdre et me culbuter.''


''Churches and synagogs and mosques were full of my contemporary warriors, now with lighter balls and a serene spirit, entirely set then, to go and pray. ''


''Some could tell me to go and get stuffed by the Greeks, that was already done, I had lived in Greece, and some others treated me as a queer, a shitty soiled hole and a faeces mouth, remaining up to date with a nice smile and shining eyes and of course a silent tong, - mine was more nimble. Nevertheless they could not think any other way no matter the gay areas of the occidental cities that had in their bars, reserved down basement black rooms for good anal and oral parties that were opened around the clock. They were massively fucking there and the Greeks had nothing to do with it. The centurions and the legionaries of the powerful and virile Roman armies had followed the rhythm of mass screwing and cock sucking between warriors after the battle, way before time, and my sisters colleagues must have had a hell of a job to finish them all off. Under their tents resting, they must have pushed hard and tough; the experiences of my American, French and Israeli soldiers, private second class ones or officers, had given me two thousands years later, rough times, and the proof that coming back from work with overfull hormones of adrenaline, greedy, they knew how to handle an ass and a throat for their eager prick. And, some time before theirs, there had been the bible, David and Jonathan and Sodom and Gomorrha, I now lived right in front, before the sages and the apostles and Allah came to mind the business unable to attend to their own, as from Persia to Byzance via Jerusalem and Luxor, they never had been so fussy to get fucked when that was one of the most common practice. They needed as action men, to get it all out in the hardest, after ferocious fornications , and under the burning sun, they all were hit by severe pulses. Millenniums later, morals after new morals, I delighted myself just as much with it the silence of their laws, and just as freely. From Sodome to Roma, they did not say a word no matter the religion or dogma, but all knew on the spot, part a rump and stuff it, deep. Standing, they struggled like lions, strongly holding in their hands my little working head at their knees for their balls to get emptied, driving in with the peak of their dick, the deepest of my larynx without any concession. I did not need to be a backward-looking guy or an historian to know that beyond all Mediterranean frontiers, they all knew and greatly, handle things. Churches and synagogs and mosques were full of my contemporary warriors, and I, the soldier's slut with the loving oiled and hair freed hole always at hand, I could see them go to their place of piety with lighter balls and a serene spirit, entirely set then, to pray, before they'd come back into my rump to lead themselves astray and tumble me right through it.''



Buenos Aires, Argentina. E->

English translation below.


Quelques Extraits...


''Heureusement que j'avais rencontré Fellini. Il m'avait appris dans son salon de la Via Margutta à laisser voler mes rêves haut et à les laisser retomber aussitôt dans un cruel réalisme. Je faisais figure ici sur le terrain de ce tout premier grand voyage de grande pute, en remémorant préceptes synthèses et théories de Federico, d'apprentie. De petite écolière. Et cet apprentissage local après celui de Nassau qui m'avait déjà renvoyé droit au mur des nuits de La Cabiria allait définitivement éclairer toute ma vie.''



'' Thanks God I had met Fellini. He had taught me in his sitting room of Via Margutta how to let my dreams fly high as can be and drop them down dead at once to cruel reality. I was in this very first big journey learning to be, on the ground, an apprentice builder. And this new training of mine was about to build up and throw light on my life for the rest of it.''


Petite chirurgie / Minor surgery. E->

English translation down below this page. gs

Quelques Extraits...


''Mes trous étroits les régalaient; car ils avaient de fait d'une monture entaillée à sa tête, l'absolue nécessité d'une pression à chaque excavation, d'une résistance en bout de ligne qui entrainait, implacablement, d'un cuir oxydé devenu trop rêche, l'assaut sérieux et arrogant et sans condition, d'une attaque de vissage et de martelage de vive force qui les rendait plus sensitifs, pour enfin, faire jouir la structure.''


''Les vieilles teutonnes bedonnantes de Berlin et leur ennui de vieilles tantouzes blasées qui n'avaient plus rien à prouver, leurs histoires de grosses queues à savoir qui de la dernière avait baisé leur petit trou du cul au mieux, et celles du dernier petit étudiant qui s'était fait sucer le gland pour un peu d'argent, m'emmerdaient. Elles m'avaient toutes fait chié, assourdi, excédé ces pédales sans envergure, toutes des retraitées. Israël me manquait. Ici, il y avait le ciel, le soleil et la mer, et les circoncis, et je préférais cette chanson de François Deguelt à la leur exclusivement construite de culture gay aux prépuces bien camouflés derrière leur petite braguette. Ici, il y avait mes jeunes et virulents militaires qui m'ouvraient à l'infini de leur beauté de grands gaillards une mitraillette en bandoulière, les horizons du grand large avec leur gland coupé à vif de paillard. Ils m'éventraient de leur bitte de sémites circoncise qui elle, ne parlait jamais d'elle mais agissait, de partout, n'importe où, si habile, si toujours immédiatement prête à s'enfourner dans une quelconque rondeur sous le soleil qui tape pour se les vider sans tarder, et toujours un max. Elles m'avaient fait rester au pays ces bittes de guerrier. Elles m'y avaient fait revenir et je venais d'annuler mon retour sur Berlin. Cette absence de bout de chair m'y avait délicieusement contraint; elle les dotait d'une vertigineuse énergie de tous les astres réunis qui de leurs forces infinies me rendaient la lumière, empalé à tout bout de champ par leur bâton de berger, d'une solidité et d'une robustesse à toute épreuve, jamais égalées. Les Juifs de mes armées avaient fait de moi leur putain attitrée, et de fait oublier le temps sans retour possible des miroirs de ma ménopause. Belle et bronzée, ils étaient tous à mes pieds, sous leurs étincelants cheveux noirs et leurs épaules de géants musclées, bitte pointée en main derrière leurs larges treillis, toujours prête à canonner pour remplir mes orifices selon leur bon besoin. J'étais honorée. Glorieuse. Adulée. Sollicitée sans cesse. Les talents de ma bouche ouverte sur leur colonne abrupte les captivaient comme me captivait moi, la pièce de leur lichette sectionnée. J'étais leur reine. Le trou à foutre favori des mutilés. Une cuvette gloutonne dans laquelle ils pouvaient vider à chaque instant, leurs désirs de mâle trop gonflés et trop pleins de petites bêtes couleur blanc cassé et remplies d'histoire qui titillaient dans la canicule, vivement leurs couilles trop lourdes. Ils savaient tout de mon favoritisme et n'arrêtaient pas de défiler pour exploiter, et au plus juste, la distribution de mes avantages. À la plage, en voiture, en chambre ou derrière un palmier, dans un bus, nuit et jour ils pouvaient se les vider après une longue et sérieuse induction sur mon ouvrage, à aller des effets aux causes en une vaste élaboration de mes techniques à les faire jouir. À bout de souffle les lèvres musclées, je talonnais dur, la gorge foncièrement enfoncée. Leur petite chirurgie me faisait bosser dare-dare, en une folle frénétique, une bête de somme mythique. Trop frictionné depuis la naissance, leur gland et ses nervures étaient vite devenus au cours des années, une boule de béton armé qui démolissait tout sur son passage, carénée d'une irrigation sanguine sans faille, et qui elle, maintenait le cylindre du pilonne droit et fier, dur comme du fer. Mes trous étroits les régalaient; car ils avaient de fait d'une monture entaillée à sa tête, l'absolue nécessité d'une pression à chaque excavation, d'une résistance en bout de ligne qui entrainait, implacablement, d'un cuir oxydé devenu trop rêche, l'assaut sérieux et arrogant et sans condition, d'une attaque de vissage et de martelage de vive force qui les rendait plus sensitifs, pour enfin, faire jouir la structure. Agenouillée la gorge entaillée, ou les quatre pattes en l'air admirant mon juif forniquer, j'oubliais Berlin, totalement éventrée. Je buvais leur semence comme on avale une hostie en priant leur amour et leur délivrance. Leur jeune présence et leur délectation sous le soleil de plomb, lui et les vents chauds qui brûlaient ma peau de femme errante et désoeuvrée, me faisaient gueuler, et les implorer pour leur parfait bonheur, de me tirer encore plus fort. Ils escamotaient en mes boyaux tout de leur histoire et me transperçaient, rigoureux et inflexibles, sans considération ni limite, de leurs coups de bitte infernale, de gloire. Leurs mains sur ma tête ou tirant mes oreilles, communiquaient la cadence de mes succions à cette âpre surface abîmée et coriace, ou bien s'agrippaient aux barres et poignées de mes hanches pour m'enculer parfait, les nerfs érecteurs alors bien compressés dans le canal de mes parois qui en les raclant, se décapaient. Il était bien loin l'appartement de la Viktoria-Luise Platz. Il en avait vu lui aussi défiler des bittes, à la chaîne, les unes après les autres. Mais jamais d'aussi belles, jamais aussi puissantes, et toutes avec prépuce. Voilà qui aurait d'avantage plu à Monsieur Voltaire. Mais il n'y avait rien à faire. Je préférais le grandiose coït de mes dégénérés qu'il avait avec tant de fiel et de haine, décrits comme tels. Le cher homme n'avait jamais du se faire mettre. La virilité des sémites n'avait aucun égal. Aucun. Et ma féminité de salope qui avec eux s'était de fait, bigrement décuplée et les rendait tous folles, ces petits bonshommes sans bout de peau autour du gland. Et moi, de cette ablation, j'étais devenu une détraquée, une envoûtée totale par l'infinie vigueur que le forage exigeait, une maniaque obsessionnelle et visionnaire au service des amputés.
Tiens! ça sonne! Un autre appel d'une queue circoncise qui va m'empêcher de continuer à écrire. Je dois encore sucer, ou m'allonger, tout dépendra de lui. Cette fois-ci, au domicile de Jonathan, qui lui ne me parle que de ses gonzesses que je ne vois jamais et qui si mal, le pauvre, le sucent. À vingt-trois ans, il m'avait aussitôt, il y a longtemps, dans le bus mis la main sur ma cuisse en retirant sa mitraillette, puis l'avait longuement pelotée, caressée, ses genoux collés aux miens, et de son autre main sur la braguette de ses treillis verts, il avait essayé de cacher l'énorme bosse de sa barre de fer entrain de bander, me disant à l'oreille de sa barbe noire de troufion, qu'il avait un besoin subit et incontrôlable, d'éjaculer. Il fallait que ça sorte, l'incision de la blessure ouverte avait été trop frottée, et les frictions répétées sur ses pantalons l'avaient trop excité. Nous étions alors descendus au premier arrêt et je l'avais contenté, comme il le méritait, aspiré dans le cagibis d'une libératrice allée, le foutre de ses vingt centimètres qui n'arrêtait pas de gicler du haut de son rouleau d'acier, destiné par ses Dieux depuis tout gamin, à tout et sans pitié, laminer. Sa gueule esquintée de farouche guerrier des déserts tuant les arabes pour ne plus procréer, ses bras poilus et musclés des ténèbres qui me saisissaient immobile afin qu'il pût mieux me creuser, et son tronc d'absolu Maître en action commandée, valaient bien la chandelle de tout arrêter. Car il y avait un boulot dingue sur celle-ci. Un monstre rugueux et rêche de fermeté à traire. Un manche raboteux de rigidité à faire gicler. Il me rappelait de ses jambes arquées de footballeur en train de me tirer, l'impériale virilité dictatoriale de Zlatko de Battery Park. Pas une histoire de petite fille. Pas de temps pour penser. Ni de temps à perdre. Une besogne qui devenait une oeuvre d'art et qui me faisait inexorablement retourner à ma tâche d'artiste. Mon unique auspice.
Alors je vais pour l'instant vous laisser. Je dois retourner à mes occupations. Oublier, encore oublier, oublier Berlin et ses tantouzes handicapées. Oublier tout. Les amours vécus, les spotlights de Las Vegas et mon manque d'espérance. Ma vie était un enfer de oisiveté, d'impuissance et d'inactivité, que seules les salacités de mes militaires m'enseignaient avec brio de me défaire. Et, sucer des bittes estropiées, devenait la seule condition de mes vanités, la seule scène où je pouvais, engorgée ou enculée, exercer mon art, y être applaudi et adulé, jusqu'à la dernière goutte de leur divin et abondant liquide, de gloire inondée. ''



''My narrow holes feasted them; for they had in fact with a gear cut at its head, the absolute necessity of a pressure to each excavation, the need of a resistance at the end of the line that implacably, with an oxidized leather that became too rough, implied without any condition, the serious and arrogant assault as an attack by storm of screwing and hammering that made them feel more sensory to, at last, make the structure come.''


''The old fat bellied Teuton Berlin queers that with their faggot's boredom had nothing else to prove, together with their stories of big cocks telling who last had fucked their little ass hole best, and the ones of the last little student whose knob they sucked for some money, bored me stiff. They all shitted me off those impotent morons, they had all deafened me, exceeded me those retired broads. I missed Israel. Here, you had the sun and the sea, and the circumcised dicks, and I much preferred this surrounding rather than the one made of gay culture and well hidden foreskins behind their zipper. Here, I had my young and virulent soldiers that opened to me with their beauty of tall and strong guys a big gun across the shoulder, the horizons out to the sea with their lewd open cut acorn . They disemboweled me with their circumcised semite knob which never talked about itself but acted, everywhere, anywhere, so skillfully, always immediately ready to shove into some roundness under the burning sun to empty their balls, and to the max. These warriors' cocks had made me stay in the country. They has made me come back and I just cancelled my return to Berlin. This lack of flesh had deliciously forced me to do so; it endowed them of a dizzy energy of all the stars united together which with their infinite forces made me see the light, empaled around the clock by their heavy stick of an incredible solidity and robustness that never had been equaled. The Jews of my armies had made of me their appointed whore, and made me forget the no return possible mirrors of my menopause. Handsome and tanned, they were all at my feet with their shining black hair and their giant muscled shoulders, cock in hand pointing out behind their baggy army trousers always ready to cannonade to fill up my orifices according to their need. I was honored with glory, adored. The talents of my opened mouth encircling their abrupt column captivated them the way I was captivated from that piece of cut off nibble. I was their queen. The favorite cum hole of my mutilated guys. A greedy basin in which they could at any moment, empty their males desires that were too swelled and too full of historical off white little beasts that too heavily ticked in the heat, their far too heavy balls. They knew all about my favoritism and never stopped to come in a row and justly exploit, the distribution of my advantages. At the beach, in the car, in bed or behind a palm tree, in a bus, night and day they could empty them after a long and serious induction on my work at making them come with my huge technical elaboration. Out of breath and with my muscled lips, I heeled out tough, my throat thoroughly driven in. Their little surgery made me work the hard way, as a frantic loony, a mythical beast of burden. Too rubbed since birth, their acorn and its nervures had quickly become through the years, a ball of reinforced concrete that demolished everything on its way, careened by a reliable blood circulation that kept straight and proud, the cylinder of the pylon as hard as steel. My narrow holes feasted them; for they had in fact with a gear cut at its head, the absolute necessity of a pressure to each excavation, the need of a resistance at the end of the line that implacably, with an oxidized leather that became too rough, implied without any condition, the serious and arrogant assault as an attack by storm of screwing and hammering that made them feel more sensory to, at last, make the structure come. On my knees my throat engorged, or on all fours admiring the fornication of my Jew at hard work, I forgot Berlin as I entirely was disemboweled . I drunk their seed as you swallow a host preying for their love and deliverance. Their young presence and their delight at bumping me under the hot sun together with the winds that burned my skin of a wandering and idle woman, made me scream, and implore them for their absolute happiness, to fuck me even stronger. They conjured away deep in my guts all of their history and, inflexible, drastic, without any consideration or limit, with their thumps of infernal dicks, pierced me of glory. Their hands on my head holding firm my ears ordered the rhythm of my sucking on this sharp and tough surface, or grabbed to my hips handles to fuck me perfectly, the erected nerves then well pulled against the walls of my canal that cleaned them all of when scraping. My apartment at Viktoria-Luise Platz was damn far. And it had had its great deal of cocks dropping by, in a row, one after the other, but never such beautiful ones, never so powerful ones, and all of them with a foreskin. That would have pleased Mister Voltaire, but I could not do a thing. I preferred the grandiose coitus of my degenerated fellows he had with so much gall and hatred described to be so. The dear man had probably never been done. The virility of the Semites had no equal. None. And my feminity of a slut had with them, greatly increased in order to make these little men with no skin around their acorn, crazy. And I, out of this removal, I had become a loony, totally bewitched by the infinite strength the drilling required, an obsessed maniac and a visionary at the service of the amputated guys.

Sorry! The phone's ringing! An other call from a circumcised dick that's gonna stop me from writing. I must suck again, or get laid, that will depend on him. This time at Jonathan's place, who only talks about his broads I never see and that so badly, pour guy, suck him. At twenty three years old, he had the minute he saw me, long ago, put his hand on my leg as he moved his rifle for me to sit in the bus, and had a long time pawed it, caressed it, his knees pressing mine, and with the other hand on the zipper of his green army trousers, he tried to hide the enormous iron hump that got so hard, telling me to my ear with his soldier black beard, that he suddenly felt the immediate and uncontrollable need to ejaculate. He had to throw, the incision of the open wound has been too scrubbed, and its repeated frictions against his trousers had excited him too much. We then had got off at the first stop and I had satisfied him, the way he deserved it, I had vacuumed off in some shed of a liberating path, the load of his eight inches that never stopped spurting from the top of his iron roller meant by his Gods since childhood, to wipe out everything that moved without mercy. His scarface of a fierce deserts warrior killing Arabs for them to stop procreating, his dark hairy and muscled arms that held me still for him to dig in better, and his trunk of an absolute Master under legal action were worth stopping everything. For I had o lot of work to achieve on that one. A rough and sharp monster to milk he was. One rough hose of rigidity to make blow. He reminded me with his bow legs of a footballer stewing me, of the imperial virility of Zlatko in Battery Park. No story for a little girl. No time to think. No time to loose. A job that became a work of art and that brought me inexorably, working back on my task of an artist. My one and only omen.

So I'm going to leave you for the time being. I must go back to my occupation, and forget, forget again, Berlin and its handicapped queers. Forget everything. My lived loves, the spotlights of Las Vegas and my lack of hopes. My life was an inferno of idleness, powerlessness and inactivity that only the salacities of my military guys taught me with brio to get rid of. And, sucking crippled dicks became the only condition of my vanities, the only stage where I could, engorged or fucked, practice my art and be, applauded and adulated, till the last drop of their divine and abundant liquid that flooded me with glory.''